Tahiti le 26 septembre 2023. Un vœu demandant la citoyenneté ma’ohi a été publié ce mardi au Journal officiel.
Après la journée de réflexion organisée par le député Tematai Legayic sur la citoyenneté ma’ohi à Paea, voilà le gouvernement de la Polynésie française s’est à son tour prononcé sur cette demande de citoyenneté, sans consultation populaire, au travers un vœu publié ce mardi 26 septembre au Journal officiel de la Polynésie française.
Dans le programme du Tavini aux dernières élections territoriales, la demande de la citoyenneté ma’ohi était accolée à la demande de la mise en place d’une élection du président de la Polynésie française au suffrage direct, comme dans l’Hexagone.
Toujours dans le programme du Tavini, cette citoyenneté ma’ohi doit être condition de « garantir la priorité d’embauche aux résidents locaux ».
Au Journal officiel, le gouvernement de la Polynésie, à travers la signature de son président, Moetai Brotherson, « formule le vœu de l’institution d’une citoyenneté Ma’ohi entraînant des conséquences juridiques pour celui qui l’acquiert, citoyenneté consacrée et sacralisée dans la Constitution. »
De quoi alimenter le prochain discours du président qui prendra prochainement la parole à New York face à la 4e commission de l’ONU traitant des questions relatives à la décolonisation.
Après la journée de réflexion organisée par le député Tematai Legayic sur la citoyenneté ma’ohi à Paea, voilà le gouvernement de la Polynésie française s’est à son tour prononcé sur cette demande de citoyenneté, sans consultation populaire, au travers un vœu publié ce mardi 26 septembre au Journal officiel de la Polynésie française.
Dans le programme du Tavini aux dernières élections territoriales, la demande de la citoyenneté ma’ohi était accolée à la demande de la mise en place d’une élection du président de la Polynésie française au suffrage direct, comme dans l’Hexagone.
Toujours dans le programme du Tavini, cette citoyenneté ma’ohi doit être condition de « garantir la priorité d’embauche aux résidents locaux ».
Au Journal officiel, le gouvernement de la Polynésie, à travers la signature de son président, Moetai Brotherson, « formule le vœu de l’institution d’une citoyenneté Ma’ohi entraînant des conséquences juridiques pour celui qui l’acquiert, citoyenneté consacrée et sacralisée dans la Constitution. »
De quoi alimenter le prochain discours du président qui prendra prochainement la parole à New York face à la 4e commission de l’ONU traitant des questions relatives à la décolonisation.