PAPEETE, le 11 mai 2018- Les dix candidates aux Miss Tahiti 2017 ont toutes le même objectif : être au top le 22 juin 2018, soir des élections. Pour y parvenir, elle suivent un programme intense où se croisent répétitions, coaching sportif, cours de nutrition…
Mettre toutes les chances de son côté pour accéder au titre de miss Tahiti n’est pas une mince affaire. Pendant trois mois, les candidates doivent s’entrainer, se former, se préparer, de façon très intensive. Ce samedi 5 mai, alors que d’autres candidats se préparaient également nos dix vahiné étaient au centre Vaima Fitness Center pour suivre un cours de diététique avec Aurélien Beshayes, coach nutritionniste. Bien manger pour être belle tout en préservant sa musculation. Le cours s’est poursuivi par une séance de Fitness, ou les candidates ont appris à sculpter leur corps.
« Faire du sport en mangeant mal n’a pas de sens » pour le coach du Vaima Fitness Center Aurélien Deshayes. Il a pu initier nos candidates aux règles d’hygiène de vie de base. Il s’agit en effet d’avoir une relation à la nourriture équilibrée. On ne parle évidemment pas de régimes drastiques mais simplement d’équilibre alimentaire en évitant les produits connus pour être néfastes, tout en développant en parallèle l’activité physique.
« Bien manger, c’est également combattre le stress, bien se sentir dans son corps et dans sa vie », belle leçon de vie de la jeune maman Vaitiare a toutes ces jeunes filles « spécialement curieuses cette année par rapport à tout ça. » Avec le succès grandissant du fitness, retrouvera-t-on sur les podiums des Miss un peu plus sportives et musclées que d’habitude ? Elles seront, en tous cas, mieux informées quant aux bonnes règles d’hygiène de vie qui pourront leur être utiles, tôt ou tard.
Au mois de mai, le rythme des entrainements est particulièrement intense avec une répétition tous les deux jours.
Apprendre à marcher, à se déplacer, à bouger, à porter sa tête, poser ses épaules, se maquiller, sourire, se coiffer, tout un rituel auquel elles ne peuvent se soustraire . Mais la motivation est là et l’enjeu est de taille, et l’ambiance est au beau fixe.
Le samedi 2 juin, pour la soirée de gala, elles seront déjà bien prêtes.
retrouvez tous les portraits des Miss dans notre page dédiée
Mettre toutes les chances de son côté pour accéder au titre de miss Tahiti n’est pas une mince affaire. Pendant trois mois, les candidates doivent s’entrainer, se former, se préparer, de façon très intensive. Ce samedi 5 mai, alors que d’autres candidats se préparaient également nos dix vahiné étaient au centre Vaima Fitness Center pour suivre un cours de diététique avec Aurélien Beshayes, coach nutritionniste. Bien manger pour être belle tout en préservant sa musculation. Le cours s’est poursuivi par une séance de Fitness, ou les candidates ont appris à sculpter leur corps.
« Faire du sport en mangeant mal n’a pas de sens » pour le coach du Vaima Fitness Center Aurélien Deshayes. Il a pu initier nos candidates aux règles d’hygiène de vie de base. Il s’agit en effet d’avoir une relation à la nourriture équilibrée. On ne parle évidemment pas de régimes drastiques mais simplement d’équilibre alimentaire en évitant les produits connus pour être néfastes, tout en développant en parallèle l’activité physique.
« Bien manger, c’est également combattre le stress, bien se sentir dans son corps et dans sa vie », belle leçon de vie de la jeune maman Vaitiare a toutes ces jeunes filles « spécialement curieuses cette année par rapport à tout ça. » Avec le succès grandissant du fitness, retrouvera-t-on sur les podiums des Miss un peu plus sportives et musclées que d’habitude ? Elles seront, en tous cas, mieux informées quant aux bonnes règles d’hygiène de vie qui pourront leur être utiles, tôt ou tard.
Au mois de mai, le rythme des entrainements est particulièrement intense avec une répétition tous les deux jours.
Apprendre à marcher, à se déplacer, à bouger, à porter sa tête, poser ses épaules, se maquiller, sourire, se coiffer, tout un rituel auquel elles ne peuvent se soustraire . Mais la motivation est là et l’enjeu est de taille, et l’ambiance est au beau fixe.
Le samedi 2 juin, pour la soirée de gala, elles seront déjà bien prêtes.
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Parole à Aurélien Deshayes
Comment s’est déroulée votre rencontre avec les candidates ?
« On a abordé les questions de l’hygiène de vie, de la santé, de l’activité physique, de la nutrition…On a étudié les différents facteurs de risque qui régissent un peu le quotidien et qui sont liés au sommeil, à l’hydratation, à la nutrition, au stress, autant de facteurs qui sont susceptibles de faire apparaître cancer, diabète ou maladies cardiovasculaires…Avant de penser nutrition, on pense à l’hygiène de vie en général. On a également vu comment elles pourraient commencer à faire un peu plus attention à leur quotidien, si elles sentent qu’elles en ont besoin. »
On part de loin ou certaines ont déjà des bases ?
« Certaines sont déjà suivies par un nutritionniste, d’autres sont comme la plupart de nos jeunes, très mal informées. On a beau avoir un physique athlétique et plutôt mince, on se rend compte que certaines ont six, huit, dix facteurs de risque sur les vingt qui existent, ce qui est quand même très important. L’apparence est parfois trompeuse car les conséquences d’une mauvaise hygiène de vie peuvent se manifester négativement après des années. On a tous quelque chose à travailler. »
On mange mal mais cela ne se voit pas quand on est jeune, c’est ça ?
« C’est le cas pour beaucoup ici en Polynésie où nous sommes très touchés par l’obésité. Il y a un gros souci à gérer. L’éducation alimentaire doit être faite par les parents. Il faut instaurer de bonnes habitudes dès le plus jeune âge pour arriver à changer l’avenir. Pour les adultes, c’est plus difficile car ils sont installés dans leurs habitudes mais ce n’est pas impossible. Pour ceux qui ont la trentaine, il est largement possible de prendre les choses en main sans attendre. »
Faire du sport en mangeant mal est quelque part absurde ?
« Trois aspects influent sur la santé : il y a la nutrition, l’activité physique et le repos. Quand un des trois aspects est mal géré, cela se répercute sur les autres. Il y a aussi la question de la quantité de la nourriture et de sa qualité. Faire du sport sans une bonne alimentation, ce n’est pas logique. Manger ne fait pas grossir, il faut juste dépenser l’énergie que l’on apporte à notre corps au quotidien. On a besoin d’environ 1 800 kilocalories par jour. Si on mange trop et qu’on ne dépense pas ces calories, on grossit. A l’inverse, si on mange mal et qu’on dépense beaucoup, on aura des carences. »
Il ne faut pas trop manger le soir ?
« Manger, c’est comme mettre de « l’essence » dans votre véhicule. Si on ne dépense pas son « essence », elle s’accumule. Donc, mettre de « l’essence » avant de dormir ce n’est pas logique. Il faut mieux bien manger le matin. On peut manger le soir mais il vaut mieux manger léger pour faciliter la récupération, aussi bien physique que mentale. Quand on mange trop à midi et qu’on a ensuite un coup de barre, c’est la digestion qui se met en route, le soir c’est pareil. La digestion prend beaucoup d’énergie, il vaut mieux donc ne pas trop manger pour pouvoir réellement récupérer en profitant au mieux de sa nuit de sommeil. »
Que pensez-vous du véganisme ?
« Il n’est pas utile de manger autant de viande. Le véganisme, pourquoi pas, mais cela dépend du tempérament de chacun. Il faut faire attention à la planète. L’industrie alimentaire vient créer un impact sur la société qui va être très difficile pour les générations à venir, il faut que l’on pense à ça. Si on peut trouver des aliments végétaux qui peuvent nous apporter ce dont nous avons besoin sans aller chercher systématiquement ce côté industriel, ce côté viande, pourquoi pas, tant que l’on reste en bonne santé. »
« Le véganisme propose désormais d’excellents produits, naturels, bio. Sans être excessif, je pense que c’est important de s’y intéresser, tout en évitant le stress parce que se forcer à manger certains aliments sans en avoir envie, c’est du stress et ce n’est pas bon. Il faut y aller progressivement pour pouvoir rester bien dans sa peau et bien dans sa tête. »
Les efforts de nutrition ne se verront pas forcément sur les candidates ?
« Effectivement car l’élection va arriver très vite, le cours de nutrition ne va pas changer le résultat de l’élection. Ceci dit, elles peuvent toujours améliorer un peu leur physique, certaines ont déjà senti quelques petites différences mais surtout elles peuvent apprendre pour leur avenir, pour bien vieillir, pour pouvoir transmettre à leur entourage. » Propos recueillis par SB
« On a abordé les questions de l’hygiène de vie, de la santé, de l’activité physique, de la nutrition…On a étudié les différents facteurs de risque qui régissent un peu le quotidien et qui sont liés au sommeil, à l’hydratation, à la nutrition, au stress, autant de facteurs qui sont susceptibles de faire apparaître cancer, diabète ou maladies cardiovasculaires…Avant de penser nutrition, on pense à l’hygiène de vie en général. On a également vu comment elles pourraient commencer à faire un peu plus attention à leur quotidien, si elles sentent qu’elles en ont besoin. »
On part de loin ou certaines ont déjà des bases ?
« Certaines sont déjà suivies par un nutritionniste, d’autres sont comme la plupart de nos jeunes, très mal informées. On a beau avoir un physique athlétique et plutôt mince, on se rend compte que certaines ont six, huit, dix facteurs de risque sur les vingt qui existent, ce qui est quand même très important. L’apparence est parfois trompeuse car les conséquences d’une mauvaise hygiène de vie peuvent se manifester négativement après des années. On a tous quelque chose à travailler. »
On mange mal mais cela ne se voit pas quand on est jeune, c’est ça ?
« C’est le cas pour beaucoup ici en Polynésie où nous sommes très touchés par l’obésité. Il y a un gros souci à gérer. L’éducation alimentaire doit être faite par les parents. Il faut instaurer de bonnes habitudes dès le plus jeune âge pour arriver à changer l’avenir. Pour les adultes, c’est plus difficile car ils sont installés dans leurs habitudes mais ce n’est pas impossible. Pour ceux qui ont la trentaine, il est largement possible de prendre les choses en main sans attendre. »
Faire du sport en mangeant mal est quelque part absurde ?
« Trois aspects influent sur la santé : il y a la nutrition, l’activité physique et le repos. Quand un des trois aspects est mal géré, cela se répercute sur les autres. Il y a aussi la question de la quantité de la nourriture et de sa qualité. Faire du sport sans une bonne alimentation, ce n’est pas logique. Manger ne fait pas grossir, il faut juste dépenser l’énergie que l’on apporte à notre corps au quotidien. On a besoin d’environ 1 800 kilocalories par jour. Si on mange trop et qu’on ne dépense pas ces calories, on grossit. A l’inverse, si on mange mal et qu’on dépense beaucoup, on aura des carences. »
Il ne faut pas trop manger le soir ?
« Manger, c’est comme mettre de « l’essence » dans votre véhicule. Si on ne dépense pas son « essence », elle s’accumule. Donc, mettre de « l’essence » avant de dormir ce n’est pas logique. Il faut mieux bien manger le matin. On peut manger le soir mais il vaut mieux manger léger pour faciliter la récupération, aussi bien physique que mentale. Quand on mange trop à midi et qu’on a ensuite un coup de barre, c’est la digestion qui se met en route, le soir c’est pareil. La digestion prend beaucoup d’énergie, il vaut mieux donc ne pas trop manger pour pouvoir réellement récupérer en profitant au mieux de sa nuit de sommeil. »
Que pensez-vous du véganisme ?
« Il n’est pas utile de manger autant de viande. Le véganisme, pourquoi pas, mais cela dépend du tempérament de chacun. Il faut faire attention à la planète. L’industrie alimentaire vient créer un impact sur la société qui va être très difficile pour les générations à venir, il faut que l’on pense à ça. Si on peut trouver des aliments végétaux qui peuvent nous apporter ce dont nous avons besoin sans aller chercher systématiquement ce côté industriel, ce côté viande, pourquoi pas, tant que l’on reste en bonne santé. »
« Le véganisme propose désormais d’excellents produits, naturels, bio. Sans être excessif, je pense que c’est important de s’y intéresser, tout en évitant le stress parce que se forcer à manger certains aliments sans en avoir envie, c’est du stress et ce n’est pas bon. Il faut y aller progressivement pour pouvoir rester bien dans sa peau et bien dans sa tête. »
Les efforts de nutrition ne se verront pas forcément sur les candidates ?
« Effectivement car l’élection va arriver très vite, le cours de nutrition ne va pas changer le résultat de l’élection. Ceci dit, elles peuvent toujours améliorer un peu leur physique, certaines ont déjà senti quelques petites différences mais surtout elles peuvent apprendre pour leur avenir, pour bien vieillir, pour pouvoir transmettre à leur entourage. » Propos recueillis par SB
Parole à Heitiare Tribondeau, gérante du Vaima Fitness Center
Ce partenariat était pour vous une évidence ?
« C’est vrai que le fait d’être une ancienne Miss Tahiti, cela a facilité car j’ai gardé le contact avec le comité. Les choses se sont faites naturellement. J’ai une petite fille qui va avoir deux ans, donc j’ai moi aussi à faire face à des problèmes de poids puisqu’après la grossesse on voit son corps évoluer, changer. Pour moi, c’est important d’être bien dans son corps, bien dans sa tête et bien dans sa vie au final. »
Le sport, la nutrition c’est important ?
« Etre une Miss Tahiti, c’est un ensemble, ce n’est pas juste la beauté, surtout que c’est un moment stressant à gérer, ce n’est pas évident. Elles peuvent avoir quelques kilos en trop, un corps pas très tonique, avec le passage en maillot tant redouté…donc c’est important de faire du sport, pour elles déjà, pour se mettre en confiance. Gérer leur hygiène de vie, cela leur apporte de l’énergie, pour mieux gérer leur planning chargé. »
Les critères de beauté ont évolué vers un corps plus musclé, tonique ?
« Depuis quelques temps, le fitness se développe grâce aux réseaux sociaux, aux selfies, on se compare à des idoles, on se crée un idéal physique. De nos jours les gens savent qu’ils doivent faire du sport, ils savent qu’ils doivent faire attention à ce qu’ils mangent. Les Miss n’échappent pas à cette tendance, encore plus parce qu’elles sont à la vue de tous. Quand tu te sens bien dans ta peau, il y a une confiance en soi qui se dégage, c’est important pour l’élection mais aussi pour la vie en général. »
Quelques mots sur l’aspect sportif ?
« On ne leur demande pas de faire de la musculation pour faire de la compétition, c’est plus du bien-être, pour avoir de l’énergie. On n’est pas là pour leur demander de faire un régime, c’est plus du conseil pour qu’elles aient une alimentation et une activité physique équilibrée grâce à un minimum de sport. On veut leur apporter cet équilibre dont elles auront besoin afin de leur éviter le stress au maximum. »
Nos Miss Tahiti sont nos ambassadrices ?
« On a des problèmes de santé en Polynésie avec le diabète et l’obésité…on essaye de lutter contre ça même si ce n’est pas évident parce qu’on est dans un cadre où les gens aiment se laisser vivre et donc ils ont tendance à manger mal et à se laisser aller. Avec Miss Tahiti, qui a une image très importante en Polynésie, on veut promouvoir l’idée que manger équilibré c’est important. On essaye de prendre le problème à la base en changeant les mentalités vis à vis du sport. Les gens pensent que cela fait mal mais non, il faut juste être régulier. »
Miss Tahiti 2018 doit être au fait de ces problématiques ?
« Tout à fait, il y a la nutrition, le sport mais n’oublions pas également l’environnement. Je sais que cette année, elles travailleront beaucoup sur ça pour apporter un côté écologique. Tout est relié, pour un monde meilleur. Respect de notre bel environnement, respect de son corps dans sa façon de manger, dans sa façon d’être…Elles sont les parfaites ambassadrices pour ça. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je pense que cette année elles sont plus ouvertes, conscientes que le sport c’est important. Elles sont prêtes à nous aider à communiquer sur ça. Je leur souhaite bon courage car c’est une belle expérience même si ce n’est pas toujours évident, et que la meilleure…non pas que la meilleure, que celle qui représente le mieux l’image de notre beau pays gagne. » Propos recueillis par SB
« C’est vrai que le fait d’être une ancienne Miss Tahiti, cela a facilité car j’ai gardé le contact avec le comité. Les choses se sont faites naturellement. J’ai une petite fille qui va avoir deux ans, donc j’ai moi aussi à faire face à des problèmes de poids puisqu’après la grossesse on voit son corps évoluer, changer. Pour moi, c’est important d’être bien dans son corps, bien dans sa tête et bien dans sa vie au final. »
Le sport, la nutrition c’est important ?
« Etre une Miss Tahiti, c’est un ensemble, ce n’est pas juste la beauté, surtout que c’est un moment stressant à gérer, ce n’est pas évident. Elles peuvent avoir quelques kilos en trop, un corps pas très tonique, avec le passage en maillot tant redouté…donc c’est important de faire du sport, pour elles déjà, pour se mettre en confiance. Gérer leur hygiène de vie, cela leur apporte de l’énergie, pour mieux gérer leur planning chargé. »
Les critères de beauté ont évolué vers un corps plus musclé, tonique ?
« Depuis quelques temps, le fitness se développe grâce aux réseaux sociaux, aux selfies, on se compare à des idoles, on se crée un idéal physique. De nos jours les gens savent qu’ils doivent faire du sport, ils savent qu’ils doivent faire attention à ce qu’ils mangent. Les Miss n’échappent pas à cette tendance, encore plus parce qu’elles sont à la vue de tous. Quand tu te sens bien dans ta peau, il y a une confiance en soi qui se dégage, c’est important pour l’élection mais aussi pour la vie en général. »
Quelques mots sur l’aspect sportif ?
« On ne leur demande pas de faire de la musculation pour faire de la compétition, c’est plus du bien-être, pour avoir de l’énergie. On n’est pas là pour leur demander de faire un régime, c’est plus du conseil pour qu’elles aient une alimentation et une activité physique équilibrée grâce à un minimum de sport. On veut leur apporter cet équilibre dont elles auront besoin afin de leur éviter le stress au maximum. »
Nos Miss Tahiti sont nos ambassadrices ?
« On a des problèmes de santé en Polynésie avec le diabète et l’obésité…on essaye de lutter contre ça même si ce n’est pas évident parce qu’on est dans un cadre où les gens aiment se laisser vivre et donc ils ont tendance à manger mal et à se laisser aller. Avec Miss Tahiti, qui a une image très importante en Polynésie, on veut promouvoir l’idée que manger équilibré c’est important. On essaye de prendre le problème à la base en changeant les mentalités vis à vis du sport. Les gens pensent que cela fait mal mais non, il faut juste être régulier. »
Miss Tahiti 2018 doit être au fait de ces problématiques ?
« Tout à fait, il y a la nutrition, le sport mais n’oublions pas également l’environnement. Je sais que cette année, elles travailleront beaucoup sur ça pour apporter un côté écologique. Tout est relié, pour un monde meilleur. Respect de notre bel environnement, respect de son corps dans sa façon de manger, dans sa façon d’être…Elles sont les parfaites ambassadrices pour ça. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je pense que cette année elles sont plus ouvertes, conscientes que le sport c’est important. Elles sont prêtes à nous aider à communiquer sur ça. Je leur souhaite bon courage car c’est une belle expérience même si ce n’est pas toujours évident, et que la meilleure…non pas que la meilleure, que celle qui représente le mieux l’image de notre beau pays gagne. » Propos recueillis par SB