L’ancien avocat, aujourd’hui élu au Parlement français, avait dénoncé la mise en examen, qui lui avait été signifiée le 13 mars dernier pour des faits suposés de « abus de confiance » et « faux et usage de faux », évoquant une machination destinée à lui nuire politiquement.
Cette mise en examen du sénateur apparenté PS Richard Tuheiava a fait l’objet d’un recours en appel, le 23 mars, devant la Chambre d’accusation de la Cours d’appel de Papeete.
L’instance juridique pourrait se prononcer, sur la levée de la mesure visant l’ancien avocat, avant la fin avril.
Parallèlement, Tuheiava a riposté en déposant au pénal, devant le doyen des juges d’instruction du Tribunal de Papeete, une plainte pour violation et complicité de violation du secret professionnel contre Me Thierry Jacquet, la journaliste Christine Bourne, du site Tahiti Today, et contre le personnel concerné de l’Ordre des avocats de Papeete et du Parquet général de la Cours d’appel de Papeete.
Une plainte pour les mêmes motifs avait déjà été déposée par le sénateur Tuheiava en 2010 et fait l’objet d’un classement sans suite, par le Parquet de Papeete, le 19 mars dernier.
Lors d’une conférence de presse, jeudi 29 mars, Richard Tuheiava a tenu à exprimer ses « regrets publics auprès des clients de son ancien cabinet d’avocat qui se seraient senti rejetés ou trahis par son changement de fonctions, ou dont les dossiers n’ont pas été correctement traités ou achevés ». Il a en outre affirmé « qu’il n’existe plus aucun passif financier restant dû ». Et que « Toute demande nouvelle serait d’office contestée et l’objet d’une taxation ordinale ».
Le sénateur avait déjà été inquiété par la justice en 2009 pour des faits antérieurs à 2008 alors que Richard Tuheiava était avocat au barreau de Papeete. Il avait été condamné en appel en février 2011 à une interdiction d’exercer le métier d’avocat pendant deux ans, dont un avec sursis. Il s’est pourvu en cassation.
Cette mise en examen du sénateur apparenté PS Richard Tuheiava a fait l’objet d’un recours en appel, le 23 mars, devant la Chambre d’accusation de la Cours d’appel de Papeete.
L’instance juridique pourrait se prononcer, sur la levée de la mesure visant l’ancien avocat, avant la fin avril.
Parallèlement, Tuheiava a riposté en déposant au pénal, devant le doyen des juges d’instruction du Tribunal de Papeete, une plainte pour violation et complicité de violation du secret professionnel contre Me Thierry Jacquet, la journaliste Christine Bourne, du site Tahiti Today, et contre le personnel concerné de l’Ordre des avocats de Papeete et du Parquet général de la Cours d’appel de Papeete.
Une plainte pour les mêmes motifs avait déjà été déposée par le sénateur Tuheiava en 2010 et fait l’objet d’un classement sans suite, par le Parquet de Papeete, le 19 mars dernier.
Lors d’une conférence de presse, jeudi 29 mars, Richard Tuheiava a tenu à exprimer ses « regrets publics auprès des clients de son ancien cabinet d’avocat qui se seraient senti rejetés ou trahis par son changement de fonctions, ou dont les dossiers n’ont pas été correctement traités ou achevés ». Il a en outre affirmé « qu’il n’existe plus aucun passif financier restant dû ». Et que « Toute demande nouvelle serait d’office contestée et l’objet d’une taxation ordinale ».
Le sénateur avait déjà été inquiété par la justice en 2009 pour des faits antérieurs à 2008 alors que Richard Tuheiava était avocat au barreau de Papeete. Il avait été condamné en appel en février 2011 à une interdiction d’exercer le métier d’avocat pendant deux ans, dont un avec sursis. Il s’est pourvu en cassation.