Le ministre des Ressources marines, des Mines et de la Recherche, Tearii Alpha a rencontré vendredi en fin d’après-midi, le président directeur général du bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), Vincent Laflèche, récemment nommé à la tête de l’établissement au début du mois de juillet. Les discussions ont porté sur la mise en place d’un partenariat entre le Pays et l’organisme de recherche et d’expertises, dans le cadre de l’élaboration des stratégies de développement durable liées aux géosciences en Polynésie française.
« Le développement économique pour l’emploi durable est une priorité de notre gouvernement et l’exploitation et la valorisation de nos ressources endogènes peut y concourir » a indiqué Tearii Alpha à l’issue de la rencontre, insistant par ailleurs sur la prise en compte de la dimension environnementale comme clé de voûte du développement durable.
Dans cet esprit, le ministre souhaite bénéficier de l’appui du BRGM, organisme français reconnu pour sa compétence en matière de géosciences et spécialiste des applications des sciences de la terre pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol.
Signature d’une convention en fin de semaine prochaine
Vincent Laflèche s’est dit tout à fait favorable à ce partenariat. Une convention devrait être signée en fin de semaine par le Président du Pays et le président directeur général du BRGM. La collaboration portera notamment sur les domaines des eaux souterraines, de l’aménagement et des risques naturels, des effets du changement climatique, de la cartographie géologique, des ressources minérales ou encore des systèmes d’information numérique.
Lors des échanges, Tearii Alpha a en effet rappelé à Vincent Laflèche les caractéristiques particulières de la Polynésie française, regroupant 118 îles et atolls répartis sur une zone maritime équivalente à la surface de l’Europe.
Terres rares et métaux précieux
Il a par ailleurs insisté sur la vulnérabilité du territoire face aux risques naturels et à l’impact du changement climatique. Le ministre a enfin souligné la présence d’encroûtement cobaltifères, de terres rares et de métaux précieux sur le plancher océanique de la ZEE polynésienne, constituant autant de sources de richesse à valoriser pour le Pays.
Le BRGM est un organisme de recherche et d’expertise, placé sous tutelle des ministères chargés respectivement de l’Industrie, de la recherche ainsi que de l’Environnement et des Mines. Par ses recherches, il assure un accroissement continu des connaissances relatives au sol et au sous-sol, et la compréhension des mécanismes naturels ou anthropiques qui s’y déroulent.
« Le développement économique pour l’emploi durable est une priorité de notre gouvernement et l’exploitation et la valorisation de nos ressources endogènes peut y concourir » a indiqué Tearii Alpha à l’issue de la rencontre, insistant par ailleurs sur la prise en compte de la dimension environnementale comme clé de voûte du développement durable.
Dans cet esprit, le ministre souhaite bénéficier de l’appui du BRGM, organisme français reconnu pour sa compétence en matière de géosciences et spécialiste des applications des sciences de la terre pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol.
Signature d’une convention en fin de semaine prochaine
Vincent Laflèche s’est dit tout à fait favorable à ce partenariat. Une convention devrait être signée en fin de semaine par le Président du Pays et le président directeur général du BRGM. La collaboration portera notamment sur les domaines des eaux souterraines, de l’aménagement et des risques naturels, des effets du changement climatique, de la cartographie géologique, des ressources minérales ou encore des systèmes d’information numérique.
Lors des échanges, Tearii Alpha a en effet rappelé à Vincent Laflèche les caractéristiques particulières de la Polynésie française, regroupant 118 îles et atolls répartis sur une zone maritime équivalente à la surface de l’Europe.
Terres rares et métaux précieux
Il a par ailleurs insisté sur la vulnérabilité du territoire face aux risques naturels et à l’impact du changement climatique. Le ministre a enfin souligné la présence d’encroûtement cobaltifères, de terres rares et de métaux précieux sur le plancher océanique de la ZEE polynésienne, constituant autant de sources de richesse à valoriser pour le Pays.
Le BRGM est un organisme de recherche et d’expertise, placé sous tutelle des ministères chargés respectivement de l’Industrie, de la recherche ainsi que de l’Environnement et des Mines. Par ses recherches, il assure un accroissement continu des connaissances relatives au sol et au sous-sol, et la compréhension des mécanismes naturels ou anthropiques qui s’y déroulent.