L'agresseur présumé a été présenté au juge délégué qui a décidé de son incarcération provisoire, jeudi soir, en attendant son jugement lundi en comparution immédiate.
PAPEETE, le 18 août 2017 - L'agression remonte à la semaine dernière, dans la nuit de jeudi à vendredi, au domicile de la victime, une femme de 70 ans, route de l'hippodrome à Pirae. Le visage dissimulé sous une cagoule, le cambrioleur avait surpris la matahiapo dans son sommeil pour lui voler de l'argent qu'elle cachait dans un traversin. Identifié et interpellé mercredi, l'agresseur présumé a été placé en détention provisoire hier soir et sera jugé en comparution immédiate lundi pour vol avec violence en récidive légale.
Le cambrioleur âgé de 28 ans avait été interpellé mercredi dernier par les policiers de la direction de la sécurité publique (DSP), dans le cadre d'une enquête ouverte après la sauvage agression d'une femme de 70 ans, dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 août, quartier Teauna, à Pirae. Le visage dissimulé sous une cagoule, l'homme, qui n'est autre que le fils d'un voisin de la victime, s'était introduit au domicile de la malheureuse pendant qu'elle dormait. Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, l'intrus disposait d'informations sur sa victime et projetait de lui dérober de l'argent qu'elle cachait dans un traversin.
Coups de poing au visage
Réveillée et terrorisée par cet homme encagoulé qu'elle a surpris chez elle, la septuagénaire s'est mise à crier et à se débattre. C'est alors qu'elle a reçu plusieurs coups de poing au visage. Son agresseur a même tenté de l'étouffer avec un coussin pour la faire taire. Sentant sa dernière heure arriver, la retraitée avait choisi de cesser de se défendre pour que le cambrioleur la pense inconsciente et lâche son emprise. Une procédure pour tentative d'homicide avait initialement été ouverte.
Le jeune homme s'était finalement enfui sans réel butin avant d'être identifié et interpellé cinq jours après les faits par les limiers de la Sûreté urbaine. La matahiapo, hospitalisée, s'est vue délivrer une importante incapacité totale de travail (ITT) de 30 jours, souffrant de graves traumatismes à la face.
Cette agression n'est pas sans rappeler cet autre cambriolage ultra violent dont avait été victime un retraité de 83 ans, en décembre 2016, à son domicile du quartier Aute à Pirae. Le matahiapo avait surpris un rodeur dans son jardin qui l'avait roué de coups, notamment au visage, pour ensuite s'introduire dans la maison et y dérober un sac contenant divers effets dont des cartes de crédit. C'est la femme de la victime qui avait découvert son compagnon gisant au sol. Hospitalisé d'urgence, il s'était vu délivrer 90 jours d'incapacité totale de travail (ITT). Le malheureux devait décéder neuf jours après son admission à l'hôpital. L'agresseur présumé avait été interpellé une vingtaine de jours plus tard.
Le cambrioleur âgé de 28 ans avait été interpellé mercredi dernier par les policiers de la direction de la sécurité publique (DSP), dans le cadre d'une enquête ouverte après la sauvage agression d'une femme de 70 ans, dans la nuit du jeudi 17 au vendredi 18 août, quartier Teauna, à Pirae. Le visage dissimulé sous une cagoule, l'homme, qui n'est autre que le fils d'un voisin de la victime, s'était introduit au domicile de la malheureuse pendant qu'elle dormait. Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, l'intrus disposait d'informations sur sa victime et projetait de lui dérober de l'argent qu'elle cachait dans un traversin.
Coups de poing au visage
Réveillée et terrorisée par cet homme encagoulé qu'elle a surpris chez elle, la septuagénaire s'est mise à crier et à se débattre. C'est alors qu'elle a reçu plusieurs coups de poing au visage. Son agresseur a même tenté de l'étouffer avec un coussin pour la faire taire. Sentant sa dernière heure arriver, la retraitée avait choisi de cesser de se défendre pour que le cambrioleur la pense inconsciente et lâche son emprise. Une procédure pour tentative d'homicide avait initialement été ouverte.
Le jeune homme s'était finalement enfui sans réel butin avant d'être identifié et interpellé cinq jours après les faits par les limiers de la Sûreté urbaine. La matahiapo, hospitalisée, s'est vue délivrer une importante incapacité totale de travail (ITT) de 30 jours, souffrant de graves traumatismes à la face.
Cette agression n'est pas sans rappeler cet autre cambriolage ultra violent dont avait été victime un retraité de 83 ans, en décembre 2016, à son domicile du quartier Aute à Pirae. Le matahiapo avait surpris un rodeur dans son jardin qui l'avait roué de coups, notamment au visage, pour ensuite s'introduire dans la maison et y dérober un sac contenant divers effets dont des cartes de crédit. C'est la femme de la victime qui avait découvert son compagnon gisant au sol. Hospitalisé d'urgence, il s'était vu délivrer 90 jours d'incapacité totale de travail (ITT). Le malheureux devait décéder neuf jours après son admission à l'hôpital. L'agresseur présumé avait été interpellé une vingtaine de jours plus tard.