PAPEETE, 22 décembre 2015 - (COMMUNIQUE) - La folie des grandeurs. Le Tahoeraa Huiraatira, qui se complait dans les polémiques stériles, accuse le président d’avoir perdu du temps dans le dossier du Mahana Beach alors que, selon le parti orange, le groupe 70 aurait bouclé son financement dès février 2015. Ces affirmations sont totalement fausses.
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, qu’en février 2015, aucune garantie ou contrat écrits n’assuraient le financement de l’opération par le Groupe 70 ?
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que dans des envolées médiatiques dont il a la spécialité, il annonçait dès 2014 le chantier d’un remblai maritime de plusieurs milliards, financés par le Pays, sans aucune inscription budgétaire ni même une étude d’impact ?
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que dans son empressement, rien ne semble avoir été fait dans les règles ? A tel point qu’une plainte a été déposée par l’UPLD. Une enquête est toujours en cours.
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que ce n’est pas le Groupe 70 qui a signé le protocole samedi dernier mais le groupe Recas Global Ltd / China Railway International Group / R&F Properties ? Le Groupe 70 n’intervient plus qu’en tant que prestataire de services.
Le Tahoeraa Huiraatira trompe encore l’opinion en affirmant que les travaux ne débuteront pas avant 2018 ou 2019. Le chantier de construction débutera en 2017 et les travaux à la charge du Pays débuteront au plus tard en juin 2016.
Le gouvernement a dû reprendre la procédure pour tout remettre dans la légalité en procédant par appel à manifestation d’intérêt et par l’étude scrupuleuse des offres afin de s’assurer de la viabilité du projet. Ce qui évidemment prend du temps.
La Polynésie n’a que trop connu à une certaine époque les grands coups médiatiques, la folie des grandeurs et l’engagement de fonds publics qui se sont révélés être des fiascos, comme le port de Faratea resté en friche ou encore le port de Uturoa désert de bateaux de croisières.
Confondre vitesse et précipitation mène à la catastrophe. Si les délais de réalisation du projet peuvent sembler longs pour certains impatients, en tous cas ils préservent les intérêts de tous les Polynésiens et les deniers publics.
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, qu’en février 2015, aucune garantie ou contrat écrits n’assuraient le financement de l’opération par le Groupe 70 ?
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que dans des envolées médiatiques dont il a la spécialité, il annonçait dès 2014 le chantier d’un remblai maritime de plusieurs milliards, financés par le Pays, sans aucune inscription budgétaire ni même une étude d’impact ?
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que dans son empressement, rien ne semble avoir été fait dans les règles ? A tel point qu’une plainte a été déposée par l’UPLD. Une enquête est toujours en cours.
Faut-il rappeler au Tahoeraa Huiraatira, et plus particulièrement à son président, que ce n’est pas le Groupe 70 qui a signé le protocole samedi dernier mais le groupe Recas Global Ltd / China Railway International Group / R&F Properties ? Le Groupe 70 n’intervient plus qu’en tant que prestataire de services.
Le Tahoeraa Huiraatira trompe encore l’opinion en affirmant que les travaux ne débuteront pas avant 2018 ou 2019. Le chantier de construction débutera en 2017 et les travaux à la charge du Pays débuteront au plus tard en juin 2016.
Le gouvernement a dû reprendre la procédure pour tout remettre dans la légalité en procédant par appel à manifestation d’intérêt et par l’étude scrupuleuse des offres afin de s’assurer de la viabilité du projet. Ce qui évidemment prend du temps.
La Polynésie n’a que trop connu à une certaine époque les grands coups médiatiques, la folie des grandeurs et l’engagement de fonds publics qui se sont révélés être des fiascos, comme le port de Faratea resté en friche ou encore le port de Uturoa désert de bateaux de croisières.
Confondre vitesse et précipitation mène à la catastrophe. Si les délais de réalisation du projet peuvent sembler longs pour certains impatients, en tous cas ils préservent les intérêts de tous les Polynésiens et les deniers publics.