PAPEETE, 1er avril 2015 – Jean-Christophe Bouissou a confirmé mercredi que cinq groupements d’investisseurs se proposent de réaliser le projet Tahiti Mahana Beach. L’élu devrait être connu avec fin 2015.
L’appel à manifestation d’intérêts (AMI), publié à l’international par la Polynésie française pour la réalisation et le financement du complexe touristique Tahiti Mahana Beach, s’est achevé mardi 31 mars. Le Pays dispose de cinq propositions d’investisseurs décrits ce mercredi par Jean-Christophe Bouissou comme "extrêmement sérieux et dotés d’une force de frappe financière".
Une analyse économique des propositions ainsi manifestées est en cours. "Il nous faut maintenant regarder tout ça de près, sur les aspects juridiques et techniques. N’oubliez pas que tout cela doit aboutir sur la rédaction d’un cahier des charges. Et c’est dans ce cadre-là qu’il y aura ce qu’on appelle un dialogue de compétitivité pour permettre au Pays de faire son choix sur l’investisseur final", a précisé le ministre polynésien de la relance économique. L’aménageur retenu pourrait être connu avant la fin 2015. "On prendra le temps nécessaire : il ne faut pas confondre vitesse et précipitation", relativise le ministre.
L’appel à manifestation d’intérêts (AMI), publié à l’international par la Polynésie française pour la réalisation et le financement du complexe touristique Tahiti Mahana Beach, s’est achevé mardi 31 mars. Le Pays dispose de cinq propositions d’investisseurs décrits ce mercredi par Jean-Christophe Bouissou comme "extrêmement sérieux et dotés d’une force de frappe financière".
Une analyse économique des propositions ainsi manifestées est en cours. "Il nous faut maintenant regarder tout ça de près, sur les aspects juridiques et techniques. N’oubliez pas que tout cela doit aboutir sur la rédaction d’un cahier des charges. Et c’est dans ce cadre-là qu’il y aura ce qu’on appelle un dialogue de compétitivité pour permettre au Pays de faire son choix sur l’investisseur final", a précisé le ministre polynésien de la relance économique. L’aménageur retenu pourrait être connu avant la fin 2015. "On prendra le temps nécessaire : il ne faut pas confondre vitesse et précipitation", relativise le ministre.