Los Angeles, Etats-Unis | AFP | mardi 06/02/2018 - Los Angeles a été la ville la plus embouteillée du monde en 2017, suivie par Moscou et New York ex-aequo, d'après une étude publiée mardi par le cabinet d'analyses spécialisé dans l'automobile connectée Inrix.
Les habitants de la Cité des Anges ont passé 102 heures l'an dernier dans les embouteillages, contre 91 heures pour ceux de Moscou à égalité avec les New-Yorkais. Suivent Sao Paulo (86 heures), San Francisco (79), Bogota (75) et Londres (74), affirme cette étude.
Paris se place en neuvième position (69 heures).
A l'échelle des pays, la Thaïlande décroche la première place du pays où les automobilistes passent le plus de temps pare-choc contre pare-choc, suivie par l'Indonésie, la Colombie et le Venezuela. La Russie arrive en sixième position, talonnée par les Etats-Unis et le Brésil.
Inrix a examiné des données provenant de 38 pays et 1.360 villes pour son étude présentée comme la plus vaste jamais conduite sur le sujet.
Elle évalue le coût direct du temps passé coincé au volant par un conducteur américain à 1.445 dollars par an (essence et temps de travail gâchés), ce qui représente 300 milliards de dollars à l'échelle d'un pays comptant 211 millions de voitures.
La situation s'est aggravée dans nombre de métropoles ces dernières années, comme à New York, où un taxi roulait en 2010 à une vitesse moyenne de 10,5 km/h à Midtown, quartier du centre de Manhattan. En 2016, la vitesse moyenne était tombée à 7,5 km/h, à peine plus vite qu'un piéton, selon un rapport sur l'engorgement de "Big Apple" paru en janvier.
Le patron du fabricant de voitures électriques Tesla Elon Musk, exaspéré par le temps passé dans les embouteillages, a le projet de créer un système de transport souterrain à péage pour contourner cet épineux problème.
Les habitants de la Cité des Anges ont passé 102 heures l'an dernier dans les embouteillages, contre 91 heures pour ceux de Moscou à égalité avec les New-Yorkais. Suivent Sao Paulo (86 heures), San Francisco (79), Bogota (75) et Londres (74), affirme cette étude.
Paris se place en neuvième position (69 heures).
A l'échelle des pays, la Thaïlande décroche la première place du pays où les automobilistes passent le plus de temps pare-choc contre pare-choc, suivie par l'Indonésie, la Colombie et le Venezuela. La Russie arrive en sixième position, talonnée par les Etats-Unis et le Brésil.
Inrix a examiné des données provenant de 38 pays et 1.360 villes pour son étude présentée comme la plus vaste jamais conduite sur le sujet.
Elle évalue le coût direct du temps passé coincé au volant par un conducteur américain à 1.445 dollars par an (essence et temps de travail gâchés), ce qui représente 300 milliards de dollars à l'échelle d'un pays comptant 211 millions de voitures.
La situation s'est aggravée dans nombre de métropoles ces dernières années, comme à New York, où un taxi roulait en 2010 à une vitesse moyenne de 10,5 km/h à Midtown, quartier du centre de Manhattan. En 2016, la vitesse moyenne était tombée à 7,5 km/h, à peine plus vite qu'un piéton, selon un rapport sur l'engorgement de "Big Apple" paru en janvier.
Le patron du fabricant de voitures électriques Tesla Elon Musk, exaspéré par le temps passé dans les embouteillages, a le projet de créer un système de transport souterrain à péage pour contourner cet épineux problème.