Tahiti, le 28 avril 2025 - L’association des Voiliers de Polynésie s’impatiente. Depuis plusieurs mois maintenant, les habitants des voiliers de la marina Taina sont victimes de très nombreux vols d’annexes sur place.
“Que ce soit dans l’enceinte de la marina ou directement sur les voiliers stationnés sur bouées de la marina, il devient régulier que des vols d’annexes arrivent, généralement, les nuits de week-ends ou vacances scolaires”, déplore l’association des Voiliers de Polynésie dans un courrier envoyé lundi au haut-commissaire et transmis à la presse. “Encore deux vols d’annexe ce vendredi 25 avril qui ont fait l’objet d’une plainte et un autre samedi soir, ce qui est devenu maintenant tristement commun.”
L’association s’émeut que les nombreuses plaintes déposées en gendarmerie n’aboutissent pas. “Une grande partie des membres de notre association commencent à s’insurger de la situation. À noter que sans annexe, nous ne pouvons plus rentrer ou quitter notre embarcation et que le prix d’une annexe et son moteur est très onéreux (entre 400 000 et un million de francs)”, poursuit l’association dans son courrier.
Le mode opératoire a été identifié par les victimes : les voleurs arrivent à la nage ou en pirogue dans la nuit ; ils détachent l’annexe du bateau principal, se laissent dériver hors de portée auditive de l’embarcation, démarrent le moteur et tractent la pirogue jusqu’à la plage de Vairai ou aux habitations à proximité du motu ou autres. Généralement, ils ne gardent que le moteur et abandonnent la coque à la dérive.
Certains propriétaires de voiliers ont même reçu des demandes de rançons.
Aussi, l’association alerte sur une situation “qui ne doit pas perdurer”, mais aussi sur les dérives qui pourraient naître. En effet, le recours à l’auto-défense est régulièrement évoqué et pourrait conduire à un drame si rien n’est fait.
“Que ce soit dans l’enceinte de la marina ou directement sur les voiliers stationnés sur bouées de la marina, il devient régulier que des vols d’annexes arrivent, généralement, les nuits de week-ends ou vacances scolaires”, déplore l’association des Voiliers de Polynésie dans un courrier envoyé lundi au haut-commissaire et transmis à la presse. “Encore deux vols d’annexe ce vendredi 25 avril qui ont fait l’objet d’une plainte et un autre samedi soir, ce qui est devenu maintenant tristement commun.”
L’association s’émeut que les nombreuses plaintes déposées en gendarmerie n’aboutissent pas. “Une grande partie des membres de notre association commencent à s’insurger de la situation. À noter que sans annexe, nous ne pouvons plus rentrer ou quitter notre embarcation et que le prix d’une annexe et son moteur est très onéreux (entre 400 000 et un million de francs)”, poursuit l’association dans son courrier.
Le mode opératoire a été identifié par les victimes : les voleurs arrivent à la nage ou en pirogue dans la nuit ; ils détachent l’annexe du bateau principal, se laissent dériver hors de portée auditive de l’embarcation, démarrent le moteur et tractent la pirogue jusqu’à la plage de Vairai ou aux habitations à proximité du motu ou autres. Généralement, ils ne gardent que le moteur et abandonnent la coque à la dérive.
Certains propriétaires de voiliers ont même reçu des demandes de rançons.
Aussi, l’association alerte sur une situation “qui ne doit pas perdurer”, mais aussi sur les dérives qui pourraient naître. En effet, le recours à l’auto-défense est régulièrement évoqué et pourrait conduire à un drame si rien n’est fait.