NUKU’ALOFA, vendredi 10 août 2012 (Flash d’Océanie) – Les autorités tongiennes sont de plus en plus inquiètes du nombre croissant de cas de films vidéo pornographiques produits localement ensuite diffusés principalement par des moyens électroniques.
Lors d’un récent coup de filet ciblant spécifiquement de genre de crimes, la police tongienne a interpellé dans la capitale Nuku’alofa deux jeunes femmes de 19 et 20 ans et deux jeunes hommes de 17 et 23 ans, dont le procès a depuis commencé, début août 2012, devant la justice de ce royaume.
Ils risquent une lourde amende et une peine de prison pouvant atteindre les trois années.
Toutefois, les forces de l’ordre ont déclaré que leur enquête se poursuivait, en raison de la diffusion rapide de ces documents, via les réseaux de téléphonie mobiles.
« Ce sont des vidéos pornographiques filmées par des téléphones mobiles, nous sommes maintenant en contact avec les compagnies de téléphonie (mobile) », a précisé 'Unga Fa'aoa, adjoint au chef des forces de police tongiennes, qui a expliqué cette semaine que l’objectif était de « remonter à la source ».
Ce genre de phénomène a aussi été observé récemment dans plusieurs autres États insulaires océaniens de la région.
Il a aussi suscité l’inquiétude de la part des Nations-Unies, via leur Fonds Mondial pour la Population et son antenne régionale basée à Suva (Fidji).
Son représentant régional, Dirk Jenna, s’est interrogé cette semaine sur les moyens de s’attaquer à ce phénomène, dans un contexte d’éduction et de sensibilisation des populations jeunes à des pratiques sexuelles sûres.
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Lors d’un récent coup de filet ciblant spécifiquement de genre de crimes, la police tongienne a interpellé dans la capitale Nuku’alofa deux jeunes femmes de 19 et 20 ans et deux jeunes hommes de 17 et 23 ans, dont le procès a depuis commencé, début août 2012, devant la justice de ce royaume.
Ils risquent une lourde amende et une peine de prison pouvant atteindre les trois années.
Toutefois, les forces de l’ordre ont déclaré que leur enquête se poursuivait, en raison de la diffusion rapide de ces documents, via les réseaux de téléphonie mobiles.
« Ce sont des vidéos pornographiques filmées par des téléphones mobiles, nous sommes maintenant en contact avec les compagnies de téléphonie (mobile) », a précisé 'Unga Fa'aoa, adjoint au chef des forces de police tongiennes, qui a expliqué cette semaine que l’objectif était de « remonter à la source ».
Ce genre de phénomène a aussi été observé récemment dans plusieurs autres États insulaires océaniens de la région.
Il a aussi suscité l’inquiétude de la part des Nations-Unies, via leur Fonds Mondial pour la Population et son antenne régionale basée à Suva (Fidji).
Son représentant régional, Dirk Jenna, s’est interrogé cette semaine sur les moyens de s’attaquer à ce phénomène, dans un contexte d’éduction et de sensibilisation des populations jeunes à des pratiques sexuelles sûres.
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