PAPEETE, lundi 25 février 2013. A partir du 1er mars 2013 les prix des carburants à destination des professionnels vont subir une augmentation d’un franc par litre (sauf pour les perliculteurs agréés). En effet, mettant en application la nouvelle délibération du 10 décembre 2012 portant modification du FRPH (fonds de régulation des prix des hydrocarbures) les montants de stabilisation des carburants professionnels étant supérieurs aux valeurs fixées réglementairement, le respect de ces dispositions se traduit, par une hausse des prix de vente des professionnels de 1Fcpf/litre.
Les nouveaux tarifs au 1er mars seront donc les suivants : gazole goélettes Tahiti-Moorea : 80 F au lieu de 79 F/litre ; gazole goélettes autres îles : 78 Fcfp au lieu de 77 Fcfp/litre ; gazole trucks-boulangers : 79 Fcfp au lieu de 78 Fcfp/litre ; gazole pêcheurs : 51 Fcfp au lieu de 50 Fcfp/litre. La hausse de 1 Fcfp/litre est la suite logique d’une hausse des cours de l’essence sans plomb et du gazole qui ont respectivement augmenté de 4.24 % et 4,27 % alors que dans le même temps le cours du dollar américain augmentait de 1 % par rapport au franc pacifique (cours moyen à 91,543 Fcfp /US $ contre 90,639 Fcfp. Les hydrocarbures publics continuent quant à eux de compenser les dépenses relatives aux hydrocarbures liées à la production de l’électricité, et ne sont donc pas impactés par cette hausse.
Les nouveaux tarifs au 1er mars seront donc les suivants : gazole goélettes Tahiti-Moorea : 80 F au lieu de 79 F/litre ; gazole goélettes autres îles : 78 Fcfp au lieu de 77 Fcfp/litre ; gazole trucks-boulangers : 79 Fcfp au lieu de 78 Fcfp/litre ; gazole pêcheurs : 51 Fcfp au lieu de 50 Fcfp/litre. La hausse de 1 Fcfp/litre est la suite logique d’une hausse des cours de l’essence sans plomb et du gazole qui ont respectivement augmenté de 4.24 % et 4,27 % alors que dans le même temps le cours du dollar américain augmentait de 1 % par rapport au franc pacifique (cours moyen à 91,543 Fcfp /US $ contre 90,639 Fcfp. Les hydrocarbures publics continuent quant à eux de compenser les dépenses relatives aux hydrocarbures liées à la production de l’électricité, et ne sont donc pas impactés par cette hausse.