Les opérations de reconstruction ont pris du retard par rapport au calendrier initialement prévu en raison de problèmes liés au recensement des sinistrés, ainsi qu’en raison du flou qui s’est installé sur le financement de l’opération, l’Etat ayant estimé qu’il allait intervenir de son côté pour construire 200 maisons, sans que les modalités ne soient définies pour l’heure..
Sur la seule île de Tubuai 250 maisons ont été proposées à la reconstruction par la commission de recensement. Aujourd’hui, 30 kits de fare MTR ont déjà été livrés et sont prêts à être construits. Par ailleurs, le FDA a déjà réceptionné une cinquantaine de permis de construire et 42 dossiers sont à l’instruction depuis une semaine.
Une quarantaine de maisons dans 15 jours
Le vice-président a tenu a modérer l’impatience des premiers attributaires en leur rappelant que le Pays faisait déjà un gros effort puisque les familles n’auraient pas à apporter de participation financière pour la reconstruction de leur bien.
Par ailleurs, le FDA a lancé des appels d’offres pour la sélection des entreprises de construction. Une quarantaine ont répondu, mais seulement 6 ont été retenues, les autres ayant fait des offres tarifaires trop élevées. Mais une nouvelle procédure est en cours et devrait aboutir à la sélection d’une vingtaine d’entreprises et d’ici une quinzaine de jours une quarantaine de maisons devraient commencer à sortir de terre. Le ministère des archipels estime que toutes les maisons devraient être livrées pour le troisième trimestre.
Etudes pour la route
Restera sans doute à régler le problème des familles qui ne peuvent pas disposer de terrain en raison de l’indivision ou de l’impossibilité de construire en bord de mer. Pour ces familles, le Pays devrait mettre à disposition une terre domaniale afin d’édifier un lotissement. Mais cela prendra beaucoup plus de temps.
Par ailleurs, le vice-président a confirmé qu’il faudrait rapidement réalimenter le stock du FDA sur Tubuai pour la réparation des maisons qui ont été partiellement endommagées.
Enfin, la mise en œuvre de la reconstruction des infrastructures routières se met en place. Trois délégués de l’Agence française de développement (AFD) faisaient d’ailleurs partie de la délégation afin d’évaluer sur place les besoins financiers de l’opération qui se fera sur un emprunt.
Sur la seule île de Tubuai 250 maisons ont été proposées à la reconstruction par la commission de recensement. Aujourd’hui, 30 kits de fare MTR ont déjà été livrés et sont prêts à être construits. Par ailleurs, le FDA a déjà réceptionné une cinquantaine de permis de construire et 42 dossiers sont à l’instruction depuis une semaine.
Une quarantaine de maisons dans 15 jours
Le vice-président a tenu a modérer l’impatience des premiers attributaires en leur rappelant que le Pays faisait déjà un gros effort puisque les familles n’auraient pas à apporter de participation financière pour la reconstruction de leur bien.
Par ailleurs, le FDA a lancé des appels d’offres pour la sélection des entreprises de construction. Une quarantaine ont répondu, mais seulement 6 ont été retenues, les autres ayant fait des offres tarifaires trop élevées. Mais une nouvelle procédure est en cours et devrait aboutir à la sélection d’une vingtaine d’entreprises et d’ici une quinzaine de jours une quarantaine de maisons devraient commencer à sortir de terre. Le ministère des archipels estime que toutes les maisons devraient être livrées pour le troisième trimestre.
Etudes pour la route
Restera sans doute à régler le problème des familles qui ne peuvent pas disposer de terrain en raison de l’indivision ou de l’impossibilité de construire en bord de mer. Pour ces familles, le Pays devrait mettre à disposition une terre domaniale afin d’édifier un lotissement. Mais cela prendra beaucoup plus de temps.
Par ailleurs, le vice-président a confirmé qu’il faudrait rapidement réalimenter le stock du FDA sur Tubuai pour la réparation des maisons qui ont été partiellement endommagées.
Enfin, la mise en œuvre de la reconstruction des infrastructures routières se met en place. Trois délégués de l’Agence française de développement (AFD) faisaient d’ailleurs partie de la délégation afin d’évaluer sur place les besoins financiers de l’opération qui se fera sur un emprunt.