Nations unies, Etats-Unis | AFP | lundi 29/06/2015 - L'acteur américain Robert Redford s'est efforcé lundi à l'ONU de mobiliser pour le succès de la conférence climatique de Paris, y voyant "peut-être notre dernière chance" de sauver la planète.
"En décembre, le monde doit s'unir pour un objectif commun", a-t-il affirmé. "C'est notre seule planète, notre seule source de vie, c'est peut-être notre dernière chance".
Devant l'Assemblée générale de l'ONU, l'interprète de "Jeremiah Johnson" et des "Hommes du président", fondateur du Festival du film indépendant de Sundance, a exhorté les dirigeants mondiaux à "agir maintenant sur le changement climatique".
"Nous en voyons les effets partout autour de nous", a-t-il expliqué: "sécheresse et famine en Afrique, vagues de chaleur en Asie du Sud, feux de forêts en Amérique du Nord, ouragans dévastateurs et inondations catastrophiques ici à New York".
"Je suis ici aujourd'hui en qualité de défenseur de l'environnement, mais aussi comme père, grand-père et citoyen responsable", a dit l'acteur âgé de 78 ans. "Nous avons tous une responsabilité dans cette crise".
"Il suffit que la température augmente de deux degrés celsius -- une différence à peine perceptible pour un homme -- pour que notre planète devienne beaucoup moins habitable", a-t-il ajouté.
Un des objectifs des négociations actuelles sur le climat est de parvenir en 2020 à limiter à deux degrés le réchauffement mondial par rapport à l'ère pré-industrielle.
"Quand 193 pays se réuniront à Paris en décembre, les citoyens du monde entier aur
"En décembre, le monde doit s'unir pour un objectif commun", a-t-il affirmé. "C'est notre seule planète, notre seule source de vie, c'est peut-être notre dernière chance".
Devant l'Assemblée générale de l'ONU, l'interprète de "Jeremiah Johnson" et des "Hommes du président", fondateur du Festival du film indépendant de Sundance, a exhorté les dirigeants mondiaux à "agir maintenant sur le changement climatique".
"Nous en voyons les effets partout autour de nous", a-t-il expliqué: "sécheresse et famine en Afrique, vagues de chaleur en Asie du Sud, feux de forêts en Amérique du Nord, ouragans dévastateurs et inondations catastrophiques ici à New York".
"Je suis ici aujourd'hui en qualité de défenseur de l'environnement, mais aussi comme père, grand-père et citoyen responsable", a dit l'acteur âgé de 78 ans. "Nous avons tous une responsabilité dans cette crise".
"Il suffit que la température augmente de deux degrés celsius -- une différence à peine perceptible pour un homme -- pour que notre planète devienne beaucoup moins habitable", a-t-il ajouté.
Un des objectifs des négociations actuelles sur le climat est de parvenir en 2020 à limiter à deux degrés le réchauffement mondial par rapport à l'ère pré-industrielle.
"Quand 193 pays se réuniront à Paris en décembre, les citoyens du monde entier aur