Tahiti, le 24 septembre 2021 – Les dirigeants du Forum des îles du Pacifique ont échangé jeudi par visioconférence avec le secrétaire général de l'ONU concernant le changement climatique, les frontière maritimes ou encore la pandémie du Covid-19. Une rencontre en marge de la COP 26, qui se tiendra à Glasgow le 1er novembre prochain.
Une visioconférence entre les dirigeants du Forum des îles du Pacifique (FIP) et le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres s'est tenue jeudi. Trois sujets majeurs ont été abordés lors de la réunion : le changement climatique lié aux préparatifs de la COP 26, les océans et les frontières maritimes, et la réponse face à la pandémie du Cocvid-19.
Les échanges ont soulevé un message collectif de la part des membres du FIP : l’accès aux vaccins doit être généralisé et la solidarité internationale doit être renforcée. Les dirigeants ont insisté sur la priorité donnée à la sortie de crise Covid en parallèle de la lutte contre le changement climatique et de la montée du niveau de la mer. Face à l’urgence climatique et l’impératif de limiter la hausse de la température à 1,5°C en atteignant la neutralité carbone à l’horizon 2050, Antonio Guterres a appelé la communauté internationale à afficher davantage de volonté politique en amont de la COP 26 qui se tiendra à Glasgow le 1er novembre prochain.
Antonio Guterres a indiqué que l’engagement financier des pays développés à mobiliser était de 10 000 milliards de Fcfp pour lutter contre le changement climatique. Pour donner un ordre de grandeur, c'est l'équivalent d'un siècle de budget de fonctionnement de la Polynésie française. Il a ajouté que les pays émergents, responsables de plus de 40% des émissions globales, tardaient à s’engager dans un schéma de neutralité carbone. Pour finir, le secrétaire général de l'ONU a insisté sur l'autorité morale des pays insulaires du Pacifique, premières victimes du réchauffement climatique, pour continuer le plaidoyer auprès du monde entier afin de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Une visioconférence entre les dirigeants du Forum des îles du Pacifique (FIP) et le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres s'est tenue jeudi. Trois sujets majeurs ont été abordés lors de la réunion : le changement climatique lié aux préparatifs de la COP 26, les océans et les frontières maritimes, et la réponse face à la pandémie du Cocvid-19.
Les échanges ont soulevé un message collectif de la part des membres du FIP : l’accès aux vaccins doit être généralisé et la solidarité internationale doit être renforcée. Les dirigeants ont insisté sur la priorité donnée à la sortie de crise Covid en parallèle de la lutte contre le changement climatique et de la montée du niveau de la mer. Face à l’urgence climatique et l’impératif de limiter la hausse de la température à 1,5°C en atteignant la neutralité carbone à l’horizon 2050, Antonio Guterres a appelé la communauté internationale à afficher davantage de volonté politique en amont de la COP 26 qui se tiendra à Glasgow le 1er novembre prochain.
Antonio Guterres a indiqué que l’engagement financier des pays développés à mobiliser était de 10 000 milliards de Fcfp pour lutter contre le changement climatique. Pour donner un ordre de grandeur, c'est l'équivalent d'un siècle de budget de fonctionnement de la Polynésie française. Il a ajouté que les pays émergents, responsables de plus de 40% des émissions globales, tardaient à s’engager dans un schéma de neutralité carbone. Pour finir, le secrétaire général de l'ONU a insisté sur l'autorité morale des pays insulaires du Pacifique, premières victimes du réchauffement climatique, pour continuer le plaidoyer auprès du monde entier afin de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.