Tahiti, le 23 août 2024 – Ce vendredi, une centaine de jeunes étaient réunis à la DGEE pour une session d'information et d'orientation destinée aux jeunes sans solution après le collège, la seconde, ou le bac. Une journée importante, puisqu'elle a pour objectif d'accompagner chaque élève afin qu'il puisse trouver une solution adaptée pour la poursuite de ses études.
"Chaque année, nous parvenons à trouver des solutions", a assuré Nathalie Novelli, inspectrice et chef du département orientation et insertion à la Direction générale de l'éducation et des enseignements (DGEE), lors de la session d'information et d'orientation destinée aux jeunes sans solution après le collège et le bac, organisée ce vendredi par la DGEE à Pirae. Cette journée, dont l'objectif principal est d’accompagner chaque élève, chaque jeune, afin qu’il puisse trouver une solution adaptée pour la poursuite de ses études ou pour faciliter une meilleure insertion professionnelle, a rassemblé plus d'une centaine de jeunes.
"Tous les élèves n'ont malheureusement pas obtenu d'admission après le bac, la troisième ou la seconde, car les affectations ont un nombre limité de places. Parfois, ce sont les élèves eux-mêmes qui n'ont pas candidaté. Nous sommes là pour qu'ils reprennent rapidement le chemin de l'école ou, à tout le moins, une formation", a expliqué Nathalie Novelli à Tahiti Infos. "Il s'agit souvent de jeunes qui ont quitté le système scolaire pendant un an ou deux et qui reviennent vers nous car ils ont mûri et souhaitent reprendre un parcours."
Pas un chemin unique
L'inspectrice de la DGEE a souligné que dans les formations professionnelles, plusieurs chemins peuvent mener à Rome. "Dans la tête de nos jeunes, ils se limitent souvent à un intitulé de formation, alors qu'on pourrait envisager un autre parcours et accéder ensuite au même type d'emploi. L'idée est de les accompagner en élargissant leurs perspectives. Mais ce n'est pas toujours facile à entendre."
Pour mener à bien cette mission de réinsertion de ces élèves, Nathalie Novelli a convié de nombreux lycées publics et privés, des structures agricoles, le Cosip (Université), le Fare étudiant, le CIO de Pirae, la MPS... Mais également des partenaires institutionnels, comme le SEFI, le CFPA, la Fondation FACE, ainsi que l'Armée de terre, l'Armée de l'air, la Marine, la Gendarmerie, le RIMaP et le RSMA. "Il faut que nous nous appuyions sur les aspirations de notre jeunesse. Nous avons une jeunesse qui s'intéresse à l'armée, et ces partenaires proposent également de belles formations avec des postes à pourvoir, que ce soit en Polynésie ou ailleurs. Il y a de très beaux parcours."
"Chaque année, nous parvenons à trouver des solutions", a assuré Nathalie Novelli, inspectrice et chef du département orientation et insertion à la Direction générale de l'éducation et des enseignements (DGEE), lors de la session d'information et d'orientation destinée aux jeunes sans solution après le collège et le bac, organisée ce vendredi par la DGEE à Pirae. Cette journée, dont l'objectif principal est d’accompagner chaque élève, chaque jeune, afin qu’il puisse trouver une solution adaptée pour la poursuite de ses études ou pour faciliter une meilleure insertion professionnelle, a rassemblé plus d'une centaine de jeunes.
"Tous les élèves n'ont malheureusement pas obtenu d'admission après le bac, la troisième ou la seconde, car les affectations ont un nombre limité de places. Parfois, ce sont les élèves eux-mêmes qui n'ont pas candidaté. Nous sommes là pour qu'ils reprennent rapidement le chemin de l'école ou, à tout le moins, une formation", a expliqué Nathalie Novelli à Tahiti Infos. "Il s'agit souvent de jeunes qui ont quitté le système scolaire pendant un an ou deux et qui reviennent vers nous car ils ont mûri et souhaitent reprendre un parcours."
Pas un chemin unique
L'inspectrice de la DGEE a souligné que dans les formations professionnelles, plusieurs chemins peuvent mener à Rome. "Dans la tête de nos jeunes, ils se limitent souvent à un intitulé de formation, alors qu'on pourrait envisager un autre parcours et accéder ensuite au même type d'emploi. L'idée est de les accompagner en élargissant leurs perspectives. Mais ce n'est pas toujours facile à entendre."
Pour mener à bien cette mission de réinsertion de ces élèves, Nathalie Novelli a convié de nombreux lycées publics et privés, des structures agricoles, le Cosip (Université), le Fare étudiant, le CIO de Pirae, la MPS... Mais également des partenaires institutionnels, comme le SEFI, le CFPA, la Fondation FACE, ainsi que l'Armée de terre, l'Armée de l'air, la Marine, la Gendarmerie, le RIMaP et le RSMA. "Il faut que nous nous appuyions sur les aspirations de notre jeunesse. Nous avons une jeunesse qui s'intéresse à l'armée, et ces partenaires proposent également de belles formations avec des postes à pourvoir, que ce soit en Polynésie ou ailleurs. Il y a de très beaux parcours."