PIRAE, le 28/11/2016 - Après le Heiva tū'aro mā'ohi et le concours du "ahimā'a" qui se sont déroulés en septembre et octobre dernier, les festivités du Taupiti i Pirae continuent en novembre. Place, cette fois-ci, au concours de chants et danses traditionnels avec "Te Ori nui", et à l'artisanat avec le "Jardin des artisans". Deux événements qui démarrent à compter de mercredi jusqu'au samedi 10 décembre dans les jardins de l'Hôtel de Ville de Pirae.
Organisés par la Fédération Te Ui Hotu Rau no Pare Nui en partenariat avec la Ville de Pirae, ces évènements seront les derniers grands rendez-vous culturels de 2016, mettant en lumière les talents des quartiers de Pirae en danse, chant, composition, himene traditionnel voire l’artisanat.
"TE 'ORI NUI", LE CONCOURS DE CHANTS ET DANSES
Cette première édition à Pirae s'inspire du "Mehura", une catégorie propre au Hura Tapairu qui se traduit comme un "aparima" très lent, dansé en quatre temps.
Vous retrouverez donc des soirées de concours pour découvrir les talents culturels des quartiers répartis en six zones. Chacun présentera un spectacle de chants et danses de 25 à 30 minutes, mis en scène par les responsables de zones qui ont su s’entourer de personnes ressources pour produire ces spectacles selon des critères et un programme prédéfini par le comité organisateur composé de bénévoles.
Les contes et légendes de Pirae seront à l’honneur, n’en perdez pas une miette en participant aux quatre soirées prévues.
Le thème de cette première édition est basé sur les richesses de la terre (zones côté vallée) et de la mer (zones côté mer).
LE JARDIN DES ARTISANS
Dans les jardins de l'Hôtel de ville de Pirae, le public aura à sa disposition plusieurs idées cadeaux à l'approche des fêtes de fin d'année.
Près d'une quinzaine d'artisans de Pirae vous accueilleront : chapeaux et paniers tressés, tatouage, tifaifai, robes et jolis ensembles pareu, horticulture... Le thème qui a été retenu est "te mau 'ī o te fenua e te moana".
Vous pourrez apprécier le travail de nos mama à partir de demain, l'entrée est gratuite.
Vous trouverez plus d'informations sur la page facebook de la ville de Pirae ou appeler le bureau de l'animation de la ville au 40 50 83 30 ou au 87 37 07 02.
Organisés par la Fédération Te Ui Hotu Rau no Pare Nui en partenariat avec la Ville de Pirae, ces évènements seront les derniers grands rendez-vous culturels de 2016, mettant en lumière les talents des quartiers de Pirae en danse, chant, composition, himene traditionnel voire l’artisanat.
"TE 'ORI NUI", LE CONCOURS DE CHANTS ET DANSES
Cette première édition à Pirae s'inspire du "Mehura", une catégorie propre au Hura Tapairu qui se traduit comme un "aparima" très lent, dansé en quatre temps.
Vous retrouverez donc des soirées de concours pour découvrir les talents culturels des quartiers répartis en six zones. Chacun présentera un spectacle de chants et danses de 25 à 30 minutes, mis en scène par les responsables de zones qui ont su s’entourer de personnes ressources pour produire ces spectacles selon des critères et un programme prédéfini par le comité organisateur composé de bénévoles.
Les contes et légendes de Pirae seront à l’honneur, n’en perdez pas une miette en participant aux quatre soirées prévues.
Le thème de cette première édition est basé sur les richesses de la terre (zones côté vallée) et de la mer (zones côté mer).
LE JARDIN DES ARTISANS
Dans les jardins de l'Hôtel de ville de Pirae, le public aura à sa disposition plusieurs idées cadeaux à l'approche des fêtes de fin d'année.
Près d'une quinzaine d'artisans de Pirae vous accueilleront : chapeaux et paniers tressés, tatouage, tifaifai, robes et jolis ensembles pareu, horticulture... Le thème qui a été retenu est "te mau 'ī o te fenua e te moana".
Vous pourrez apprécier le travail de nos mama à partir de demain, l'entrée est gratuite.
Vous trouverez plus d'informations sur la page facebook de la ville de Pirae ou appeler le bureau de l'animation de la ville au 40 50 83 30 ou au 87 37 07 02.
Deux catégories sont imposées pour le concours "Te 'ori nui" :
- En danses traditionnelles :
1. Aparima Amui : Danse d’ensemble chantée et mimée (gestuelle), exécutés par les hommes et les femmes sur voix d’orchestre et chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulele,…)
2. Aparima Tane Danse d’ensemble effectué que par les hommes sur voix d’orchestre et de chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
3. Aparima Vahine Danse d’ensemble effectué que par les femmes sur voix d’orchestre et de chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
4. Hula : Originaire des îles d’Hawaii le hula est similaire au aparima mais possède son rythme particulier, elle est chantée et mimée par l’ensemble du groupe à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
5. Kaina prestation imposée : elle sera notée pour le prix de la meilleure composition Cette prestation doit être chantée et dansée en même temps, son rythme pacifique est souvent utilisé pour les fêtes en familles appelé communément « bringue ».
6. Orero : Il s’agit d’une déclamation oratoire exécutée par une personne du groupe afin de jouer la scène oralement, elle peut être accompagné sous fond musical et/ou avec mise en scène.
7. Meilleur danseur et Meilleure danseuse
- En chants traditionnels :
1 – le TARAVA TAHITI : Chant polyphonique imposé avec strophes enchaînées. Le texte du himene tarava doit obligatoirement comporter 4 strophes de 6 lignes. Par contre, il doit être unique et différer des textes des autres catégories de chants quand bien même l’ensemble doit respecter un thème commun.
2 – le RU’AU : Chant polyphonique imposé avec strophes enchaînées. Le texte du himene ru’au doit obligatoirement comporter 4 strophes de 6 lignes. Par contre, il doit être unique et différer des textes des autres catégories de chant quand bien même l’ensemble doit respecter un thème commun.
3 – le ‘UTE PARIPARI : Chant interprété par une, deux ou trois personnes accompagnées d’un choir traditionnel de plusieurs instruments (ukulele, guitare, tari parau…). Le texte doit s’inspirer des paripari fenua et être unique, différant en ce sens des textes des autres chants tout en respectant un thème commun.
- En danses traditionnelles :
1. Aparima Amui : Danse d’ensemble chantée et mimée (gestuelle), exécutés par les hommes et les femmes sur voix d’orchestre et chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulele,…)
2. Aparima Tane Danse d’ensemble effectué que par les hommes sur voix d’orchestre et de chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
3. Aparima Vahine Danse d’ensemble effectué que par les femmes sur voix d’orchestre et de chanteurs à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
4. Hula : Originaire des îles d’Hawaii le hula est similaire au aparima mais possède son rythme particulier, elle est chantée et mimée par l’ensemble du groupe à l’aide d’instruments à corde (guitares, ukulélés, …)
5. Kaina prestation imposée : elle sera notée pour le prix de la meilleure composition Cette prestation doit être chantée et dansée en même temps, son rythme pacifique est souvent utilisé pour les fêtes en familles appelé communément « bringue ».
6. Orero : Il s’agit d’une déclamation oratoire exécutée par une personne du groupe afin de jouer la scène oralement, elle peut être accompagné sous fond musical et/ou avec mise en scène.
7. Meilleur danseur et Meilleure danseuse
- En chants traditionnels :
1 – le TARAVA TAHITI : Chant polyphonique imposé avec strophes enchaînées. Le texte du himene tarava doit obligatoirement comporter 4 strophes de 6 lignes. Par contre, il doit être unique et différer des textes des autres catégories de chants quand bien même l’ensemble doit respecter un thème commun.
2 – le RU’AU : Chant polyphonique imposé avec strophes enchaînées. Le texte du himene ru’au doit obligatoirement comporter 4 strophes de 6 lignes. Par contre, il doit être unique et différer des textes des autres catégories de chant quand bien même l’ensemble doit respecter un thème commun.
3 – le ‘UTE PARIPARI : Chant interprété par une, deux ou trois personnes accompagnées d’un choir traditionnel de plusieurs instruments (ukulele, guitare, tari parau…). Le texte doit s’inspirer des paripari fenua et être unique, différant en ce sens des textes des autres chants tout en respectant un thème commun.