Une centaine d’enseignants s’étaient rassemblés à la pointe Vénus ce matin pour la journée pédagogique dédiée aux sports traditionnels. Une première en Polynésie.
Va’a, javelot, ori tahiti, paddle, tout le monde y passe et on ne discute pas. Organisés en roulement, les enseignants répartis par groupe s’essayent tour à tour aux différentes activités et aux différents ateliers. Le concept vise à encourager le sport scolaire et insister sur les sports traditionnels de rame, de danse et autres jeux traditionnels.
« C’est génial », « super », les enseignants ne cachent pas leur joie de participer à cette matinée de travail dans un cadre décontracté. « C’est sûr qu’on préfère être au soleil et découvrir des sports de rame, que dans un bureau ! » s’exclame une enseignante. C’est l’occasion aussi de se retrouver entre enseignants et de décompresser tout en travaillant. Car au-delà de la découverte, il s’agit surtout de préparer la prochaine journée prévue le 22 mars dans la semaine du patrimoine. Cette journée « heiva tuaro » verra la mise en pratique des activités sportives et traditionnelles avec les enfants. « On a choisi de rassembler les enseignants en plusieurs ateliers qui seront réutilisés pour les journées Tuaro » précise Liane Letang, inspectrice de la circonscription de Arue, Mahina et Hitiaa o te ra. « On a eu l’autorisation de l’office du tourisme pour l’occupation de la pointe et un bateau nous a été prêté pour veiller à la sécurité. »
Sorte de test grandeur nature, cette matinée donne le ton pour la journée du 22 mars qui concernera tous les élèves des écoles, des CJA et des établissements du second degré. Les associations sportives scolaires (USEP, ASSEP, USSP, USCJA) sont mises à contribution et apporteront leur soutien logistique pour encadrer les activités. Les thèmes transversaux seront nécessairement orientés vers la santé, la citoyenneté active et la responsabilité partagée.
« C’est une bonne initiative de la part du ministre » avoue l’inspectrice, « mais c’est compliqué à gérer». Quand on sait que plus de 13 circonscriptions pédagogiques sont concernées dans toute la Polynésie, on comprend mieux la difficulté de coordonner une opération de cette taille. En attendant, le concept donne des idées. Dans le primaire, on songe d’ores et déjà à introduire le va’a. « C’est en projet, mais ça serait super pour les enfants » confie une enseignante, l’air songeur.
Va’a, javelot, ori tahiti, paddle, tout le monde y passe et on ne discute pas. Organisés en roulement, les enseignants répartis par groupe s’essayent tour à tour aux différentes activités et aux différents ateliers. Le concept vise à encourager le sport scolaire et insister sur les sports traditionnels de rame, de danse et autres jeux traditionnels.
« C’est génial », « super », les enseignants ne cachent pas leur joie de participer à cette matinée de travail dans un cadre décontracté. « C’est sûr qu’on préfère être au soleil et découvrir des sports de rame, que dans un bureau ! » s’exclame une enseignante. C’est l’occasion aussi de se retrouver entre enseignants et de décompresser tout en travaillant. Car au-delà de la découverte, il s’agit surtout de préparer la prochaine journée prévue le 22 mars dans la semaine du patrimoine. Cette journée « heiva tuaro » verra la mise en pratique des activités sportives et traditionnelles avec les enfants. « On a choisi de rassembler les enseignants en plusieurs ateliers qui seront réutilisés pour les journées Tuaro » précise Liane Letang, inspectrice de la circonscription de Arue, Mahina et Hitiaa o te ra. « On a eu l’autorisation de l’office du tourisme pour l’occupation de la pointe et un bateau nous a été prêté pour veiller à la sécurité. »
Sorte de test grandeur nature, cette matinée donne le ton pour la journée du 22 mars qui concernera tous les élèves des écoles, des CJA et des établissements du second degré. Les associations sportives scolaires (USEP, ASSEP, USSP, USCJA) sont mises à contribution et apporteront leur soutien logistique pour encadrer les activités. Les thèmes transversaux seront nécessairement orientés vers la santé, la citoyenneté active et la responsabilité partagée.
« C’est une bonne initiative de la part du ministre » avoue l’inspectrice, « mais c’est compliqué à gérer». Quand on sait que plus de 13 circonscriptions pédagogiques sont concernées dans toute la Polynésie, on comprend mieux la difficulté de coordonner une opération de cette taille. En attendant, le concept donne des idées. Dans le primaire, on songe d’ores et déjà à introduire le va’a. « C’est en projet, mais ça serait super pour les enfants » confie une enseignante, l’air songeur.
