Le comité de sécurité routière s'est tenu ce lundi après-midi. Il consiste à dresser le bilan des années passées et à trouver de nouveaux axes pour faire évoluer la règlementation routière.
PAPEETE, le 21/09/2015 - Le comité de sécurité routière s'est tenu ce lundi après-midi à la Présidence. Ce comité réunit tous les acteurs du Pays et de l'Etat, l'objectif est de définir la règlementation sur les routes en Polynésie Française. Sur le territoire, dans la majorité des accidents mortels, on retrouve les deux-roues. Le Pays envisage de mettre en place des formations pour que tout le monde connaisse ses droits.
Ce comité de sécurité routière était très attendu. Présidé par le ministre de l'équipement, il réunit les différents acteurs du Pays et de l'Etat. L'idée est de dresser un bilan des évènements passés en termes de sécurité routière, afin de définir l'évolution de la règlementation.
"Nous donnons les chiffres, nous donnons aussi nos constats et la règlementation évolue en fonction de cela", confie le Haut-commissaire, Lionel Beffre. Le Pays quant à lui met en place les différents dispositifs de la règlementation.
Aujourd'hui, le bilan des accidents de la route est sans appel : "Nous avons un grand nombre d'accidents mortels qui concernent les jeunes et plus particulièrement les deux-roues", souligne Lionel Beffre.
Même si les chiffres restent corrects par rapport à l'an dernier, avec deux accidents et deux blessés de moins. Par contre, pour les tués, on en compte un de plus, cette année. Le Haut-commissaire ne note pas de progression pour 2015. "Nous avions baissé de 37 % en nombre de tués, en 2014. La difficulté maintenant est d'arriver, en fin d'année, avec un nombre de tués qui soit, si possible, inférieur à l'année dernière et en tout cas qui ne dérive pas".
Les accidents mortels concernent donc, dans la plupart des cas, les deux-roues et le Pays veut mettre les bouchées doubles pour "sauver des vies".
"La règlementation évolue vers une formation obligatoire, c'est-à-dire, qu'ils sont obligés d'avoir trois à cinq heures de formation générale, pour savoir au moins ce qu'est un stop, une priorité, comment on se comporte sur un passage piétons… Des éléments de base, ce n'est pas un permis très compliqué et très chère, mais, c'est d'être sûr que tout le monde soit bien formé", explique Albert Solia, ministre de l'équipement.
Outre l'aspect technique, des aménagements routiers seront également mis en place, avec l'installation de plusieurs carrefours dans les communes. À Mahina, par exemple, des travaux verront le jour, avant la fin de l'année. Cela devrait réguler la circulation et diminuer le nombre d'accidents.
Ce comité de sécurité routière était très attendu. Présidé par le ministre de l'équipement, il réunit les différents acteurs du Pays et de l'Etat. L'idée est de dresser un bilan des évènements passés en termes de sécurité routière, afin de définir l'évolution de la règlementation.
"Nous donnons les chiffres, nous donnons aussi nos constats et la règlementation évolue en fonction de cela", confie le Haut-commissaire, Lionel Beffre. Le Pays quant à lui met en place les différents dispositifs de la règlementation.
Aujourd'hui, le bilan des accidents de la route est sans appel : "Nous avons un grand nombre d'accidents mortels qui concernent les jeunes et plus particulièrement les deux-roues", souligne Lionel Beffre.
Même si les chiffres restent corrects par rapport à l'an dernier, avec deux accidents et deux blessés de moins. Par contre, pour les tués, on en compte un de plus, cette année. Le Haut-commissaire ne note pas de progression pour 2015. "Nous avions baissé de 37 % en nombre de tués, en 2014. La difficulté maintenant est d'arriver, en fin d'année, avec un nombre de tués qui soit, si possible, inférieur à l'année dernière et en tout cas qui ne dérive pas".
Les accidents mortels concernent donc, dans la plupart des cas, les deux-roues et le Pays veut mettre les bouchées doubles pour "sauver des vies".
"La règlementation évolue vers une formation obligatoire, c'est-à-dire, qu'ils sont obligés d'avoir trois à cinq heures de formation générale, pour savoir au moins ce qu'est un stop, une priorité, comment on se comporte sur un passage piétons… Des éléments de base, ce n'est pas un permis très compliqué et très chère, mais, c'est d'être sûr que tout le monde soit bien formé", explique Albert Solia, ministre de l'équipement.
Outre l'aspect technique, des aménagements routiers seront également mis en place, avec l'installation de plusieurs carrefours dans les communes. À Mahina, par exemple, des travaux verront le jour, avant la fin de l'année. Cela devrait réguler la circulation et diminuer le nombre d'accidents.