LA HAYE, 24 mai 2013 (AFP) - Champions du monde en 2012, les robots-footballeurs de l'équipe néerlandaise remettront leur titre en jeu lors de la prochaine coupe du monde du genre et se préparent en montrant à des écoliers ce qu'ils sont capables de faire.
"Nous verrons en juin qui seront les meilleurs, nous avons gagné l'année prochaine et nous espérons de nouveau être les champions du monde", a expliqué à l'AFP Ferry Schoenmakers, 24 ans et étudiant en ingénierie à l'université de Eindhoven.
La prochaine RoboCup sera organisée à Eindhoven, dans le sud-ouest des Pays-Bas, du 26 au 30 juin 2013, où se rencontreront 2.500 participants venus notamment des États-Unis, du Brésil, de Chine, du Canada, de Thaïlande et de France.
Le but avoué est de parvenir d'ici à 2050 à monter une équipe qui pourra rivaliser avec les champions du monde de football professionnel. Les robots d'alors devraient être de forme et de taille humaine, et capable d'attraper le ballon avec les pieds, la tête ou la poitrine, de faire des passes, et de marquer.
La compétition comprend plusieurs catégories, avec des robots de forme humanoïde, et la catégorie dans laquelle les Néerlandais sont champions, où les robots ne sont pas humanoïdes mais ressemblent à une sorte de tabouret renversé.
Le robot est surmonté d'une petite tour abritant une caméra, dirigée vers le haut, qui lui permet de voir autour de lui sur 60 degrés. D'environ un mètre de haut, ils sont équipés de roues multidirectionnelles.
"Mais ils ne peuvent pas voir très loin, c'est pourquoi ils ont besoin de connexions wifi pour pouvoir communiquer les uns avec les autres", assure un coéquipier, Niki de Kadt, 26 ans, également étudiant à l'université de Eindhoven.
Ferry Schoemakers assure que "les robots sont autonomes, ils décident eux-même ce qu'ils font et il peut assumer différent rôles: gardien de but, attaquant, défendeur".
"Vous pourriez vous demander pourquoi développer des robots pour le football?", explique Nikki de Kadt, "mais d'ici 30 à 40 ans, nous pourrons adapter ces technologies à la société civile et nous pourrions avoir des robots majordomes, des robots capables d'aider dans les soins de santé..."
En attendant, l'équipe a montré son savoir-faire à des enfants dans un musée de La Haye, dans l'ouest du pays: "Ils sont plus rapides que mes copains, ils courent plus vite et tirent plus fort", affirme Koen, 7 ans.
"Nous verrons en juin qui seront les meilleurs, nous avons gagné l'année prochaine et nous espérons de nouveau être les champions du monde", a expliqué à l'AFP Ferry Schoenmakers, 24 ans et étudiant en ingénierie à l'université de Eindhoven.
La prochaine RoboCup sera organisée à Eindhoven, dans le sud-ouest des Pays-Bas, du 26 au 30 juin 2013, où se rencontreront 2.500 participants venus notamment des États-Unis, du Brésil, de Chine, du Canada, de Thaïlande et de France.
Le but avoué est de parvenir d'ici à 2050 à monter une équipe qui pourra rivaliser avec les champions du monde de football professionnel. Les robots d'alors devraient être de forme et de taille humaine, et capable d'attraper le ballon avec les pieds, la tête ou la poitrine, de faire des passes, et de marquer.
La compétition comprend plusieurs catégories, avec des robots de forme humanoïde, et la catégorie dans laquelle les Néerlandais sont champions, où les robots ne sont pas humanoïdes mais ressemblent à une sorte de tabouret renversé.
Le robot est surmonté d'une petite tour abritant une caméra, dirigée vers le haut, qui lui permet de voir autour de lui sur 60 degrés. D'environ un mètre de haut, ils sont équipés de roues multidirectionnelles.
"Mais ils ne peuvent pas voir très loin, c'est pourquoi ils ont besoin de connexions wifi pour pouvoir communiquer les uns avec les autres", assure un coéquipier, Niki de Kadt, 26 ans, également étudiant à l'université de Eindhoven.
Ferry Schoemakers assure que "les robots sont autonomes, ils décident eux-même ce qu'ils font et il peut assumer différent rôles: gardien de but, attaquant, défendeur".
"Vous pourriez vous demander pourquoi développer des robots pour le football?", explique Nikki de Kadt, "mais d'ici 30 à 40 ans, nous pourrons adapter ces technologies à la société civile et nous pourrions avoir des robots majordomes, des robots capables d'aider dans les soins de santé..."
En attendant, l'équipe a montré son savoir-faire à des enfants dans un musée de La Haye, dans l'ouest du pays: "Ils sont plus rapides que mes copains, ils courent plus vite et tirent plus fort", affirme Koen, 7 ans.