Les agences parisiennes du GIE Tahiti Tourisme et d’Air Tahiti Nui, situées au 28 boulevard Saint Germain ont été entièrement relookées cette semaine.
Sollicités par la Délégation de la Polynésie française, Maoake Orbeck, Tevahitua Brothers et Hinatea Roux, tous trois étudiants à Paris, ont mis bénévolement à contribution leur savoir-faire en matière de design et de communication visuelle, pour renouveler les vitrines et espaces d’accueil, à l’occasion de l’année des Outremers.
« Pour les vitrines, nous avons choisi d’utiliser des kakemono. Ces supports modernes permettaient de montrer un grand nombre d’atouts de la destination, dans un espace réduit » explique Maoake Orbeck, étudiant en master 1 « Arts contemporains et nouveaux media ».
« Nous avons ensuite sélectionné une trentaine de visuels à partir de la banque d’images du GIE, pour en retenir dix au final, un par kakemono » précise Tevahitua Brothers, licencié en arts plastiques et inscrit en école de design d’intérieur et merchandising.
La sélection, réalisée en étroite collaboration avec les équipes du GIE Tahiti Tourisme et d’Air Tahiti Nui, respecte les axes de communication établis par les deux organismes.
Sollicités par la Délégation de la Polynésie française, Maoake Orbeck, Tevahitua Brothers et Hinatea Roux, tous trois étudiants à Paris, ont mis bénévolement à contribution leur savoir-faire en matière de design et de communication visuelle, pour renouveler les vitrines et espaces d’accueil, à l’occasion de l’année des Outremers.
« Pour les vitrines, nous avons choisi d’utiliser des kakemono. Ces supports modernes permettaient de montrer un grand nombre d’atouts de la destination, dans un espace réduit » explique Maoake Orbeck, étudiant en master 1 « Arts contemporains et nouveaux media ».
« Nous avons ensuite sélectionné une trentaine de visuels à partir de la banque d’images du GIE, pour en retenir dix au final, un par kakemono » précise Tevahitua Brothers, licencié en arts plastiques et inscrit en école de design d’intérieur et merchandising.
La sélection, réalisée en étroite collaboration avec les équipes du GIE Tahiti Tourisme et d’Air Tahiti Nui, respecte les axes de communication établis par les deux organismes.
Une identité visuelle
La plongée, la danse, la perle, le tatouage, le « va’a » et le « honeymoon » sont notamment mis en avant.
Les kakemono, installés sur une tringle, présentent également l’avantage d’être facilement démontables et interchangeables. L’objectif est en effet de renouveler régulièrement les visuels exposés dans les vitrines.
Un éclairage à LED, économique et écologique, a par ailleurs été installé pour valoriser les agences de nuit. Les espaces d’accueil ont aussi été habillés.
« Nous avons essayé de leur donner une identité visuelle, une ambiance propre pour que les gens identifient bien chaque agence. Nous avons rafraîchi les peintures, ajouté des motifs polynésiens et harmonisé les couleurs » développe Maoake Orbeck.
Les kakemono, installés sur une tringle, présentent également l’avantage d’être facilement démontables et interchangeables. L’objectif est en effet de renouveler régulièrement les visuels exposés dans les vitrines.
Un éclairage à LED, économique et écologique, a par ailleurs été installé pour valoriser les agences de nuit. Les espaces d’accueil ont aussi été habillés.
« Nous avons essayé de leur donner une identité visuelle, une ambiance propre pour que les gens identifient bien chaque agence. Nous avons rafraîchi les peintures, ajouté des motifs polynésiens et harmonisé les couleurs » développe Maoake Orbeck.
« L’impression d’y être »
Un grand visuel du lagon de Bora Bora a également été placardé derrière le comptoir.
« Cela donne l’impression d’y être » commente Bernard Bousquet, directeur de l’antenne parisienne du GIE Tahiti Tourisme.
« Les étudiants ont travaillé avec beaucoup de créativité. Il y a plus de couleur, de sensation de diversité » se réjouit-il.
Prévue pour être temporaire, la décoration, financée à faible coût par le GIE Tahiti Tourisme et Air Tahiti Nui, sera finalement permanente.
« Nous l’agrémenterons régulièrement de visuels pour créer de la nouveauté et éviter la lassitude » précise Bernard Bousquet.
« Cela donne l’impression d’y être » commente Bernard Bousquet, directeur de l’antenne parisienne du GIE Tahiti Tourisme.
« Les étudiants ont travaillé avec beaucoup de créativité. Il y a plus de couleur, de sensation de diversité » se réjouit-il.
Prévue pour être temporaire, la décoration, financée à faible coût par le GIE Tahiti Tourisme et Air Tahiti Nui, sera finalement permanente.
« Nous l’agrémenterons régulièrement de visuels pour créer de la nouveauté et éviter la lassitude » précise Bernard Bousquet.
Seconde collaboration
Les trois étudiants n’en sont pas à leur première collaboration avec la Délégation de la Polynésie française.
Dans le cadre du festival Hotu Ma’ohi, ils avaient en effet réalisé une exposition à la mairie du 1er arrondissement de Paris, avec la contribution de photographes du Pays.
Cinq clichés de 120cm sur 90cm, mettant en lumière la spécificité culturelle de chaque archipel, avaient été présentés au public. Un fond sonore avait également été créé avec Teura Marakai, professeur de langue tahitienne à l’INALCO.
Le mois prochain, Maoake Orbeck et Tevahitua Brothers retourneront à Tahiti, où ils ont l’intention de créer une entreprise de conseils, communication visuelle et merchandising.
Hinatea Roux suivra quant à elle un master 2 en conseils et communication.
Elle envisage de travailler quelques années en métropole avant de rentrer en Polynésie.
Dans le cadre du festival Hotu Ma’ohi, ils avaient en effet réalisé une exposition à la mairie du 1er arrondissement de Paris, avec la contribution de photographes du Pays.
Cinq clichés de 120cm sur 90cm, mettant en lumière la spécificité culturelle de chaque archipel, avaient été présentés au public. Un fond sonore avait également été créé avec Teura Marakai, professeur de langue tahitienne à l’INALCO.
Le mois prochain, Maoake Orbeck et Tevahitua Brothers retourneront à Tahiti, où ils ont l’intention de créer une entreprise de conseils, communication visuelle et merchandising.
Hinatea Roux suivra quant à elle un master 2 en conseils et communication.
Elle envisage de travailler quelques années en métropole avant de rentrer en Polynésie.