Hinatea Montebello a dominé la catégorie des RX femme au cours des trois jours de compétition.
Tahiti, le 10 avril 2023 - A l'issue de trois journées de compétition et de 8 WOD, les Polynesian Battle games ont livré leur verdict dimanche. Dans la catégorie reine, celle des RX, chez les hommes Gonzalo del Rio l'a emporté devant Nanaia Putoru et Toriki Demont. Du côté des dames, Hinatea Montebello a survolé les débats et a devancé Storm Wolff et Poetea Guehenneuc. En équipe, toujours dans la catégorie RX, le duo Heiva Ah Min-Mika Vidal s'est imposé sur le fil aux dépens de Teremu Touatekina et de Hivanui Uraina.
"Trouvons les athlètes les plus en forme de Polynésie française", c'était le slogan de la deuxième édition des Polynesian Battle Games qui ont rassemblé de vendredi à dimanche, au stade Willy Bambridge, près de 200 amateurs de crossfit. Ces derniers, répartis dans 13 catégories différentes, se sont affrontés tout au long du week-end pascal sur 8 WOD, comprenez ici des enchainements d'exercices de gymnastique, d'haltérophilie et de cardio. Pour réserver le maximum de surprises aux athlètes, et comme c'est le cas sur les grosses compétitions internationales de crossfit, ces WOD n'ont été révélés que deux jours avant le début des Battle Games.
Et les organisateurs ont été créatifs en proposant notamment un trail sur les hauteurs de la Mission pour le WOD 1, baptisé "Run and pray", de la natation pour le WOD 4 (Pool party goin bad) ou encore en intégrant du airsoft sur le WOD 5 (Sunny biathlon). L'objectif à l'arrivée était de trouver les athlètes les plus "fit" du fenua et le pari a été tenu.
"Trouvons les athlètes les plus en forme de Polynésie française", c'était le slogan de la deuxième édition des Polynesian Battle Games qui ont rassemblé de vendredi à dimanche, au stade Willy Bambridge, près de 200 amateurs de crossfit. Ces derniers, répartis dans 13 catégories différentes, se sont affrontés tout au long du week-end pascal sur 8 WOD, comprenez ici des enchainements d'exercices de gymnastique, d'haltérophilie et de cardio. Pour réserver le maximum de surprises aux athlètes, et comme c'est le cas sur les grosses compétitions internationales de crossfit, ces WOD n'ont été révélés que deux jours avant le début des Battle Games.
Et les organisateurs ont été créatifs en proposant notamment un trail sur les hauteurs de la Mission pour le WOD 1, baptisé "Run and pray", de la natation pour le WOD 4 (Pool party goin bad) ou encore en intégrant du airsoft sur le WOD 5 (Sunny biathlon). L'objectif à l'arrivée était de trouver les athlètes les plus "fit" du fenua et le pari a été tenu.
Gonzalo del Rio (à gauche) avec à ses côtés Mickael Galéra (en rouge) lors de leur avant-dernier WOD.
Montebello-del Rio, couple le plus "fit"
Dans la catégorie reine, celle des RX, chez les hommes ils étaient dix à concourir pour le titre de "fittest athlète" de Polynésie. On retrouvait notamment le duo gagnant de la précédente édition, Toriki Demont et Gonzalo del Rio, qui se faisaient face cette année. Avec eux d'autres références du crossfit à Tahiti comme Mickael Galéra, Nanaia Putoru ou encore Roniu Aiamu. Et le plus régulier au cours des trois jours de compétition a été del Rio.
L'Espagnol a remporté trois WOD sur les huit proposés au cours du week-end et il a notamment été décisif dimanche lors du dernier jour de compétition. Del Rio s'offrait la victoire sur le WOD 7, qui proposait un enchainement de traction, muscle-up et thruster (un mix entre l'épaulé-jeté et le squat), et le sur le WOD 8 qui mixait rameur, saut à la corde et "edge-jump". A l'arrivée donc une victoire pour "Gonz" qui a devancé Nanaia Putoru, son plus sérieux rival ce week-end, et Toriki Demont qui a complété le podium en RX. "La compétition je l'ai prise comme un entrainement normal parce qu'on se connait tous. Avec les gars on s'entraine tous les jours ensemble. Il n'y avait pas vraiment de pression et l'ambiance était vraiment top sur les trois jours de compétition", a indiqué Gonzalo del Rio après sa victoire.
Et ce dernier devait être doublement satisfait car chez les dames, sa compagne, Hinatea Montebello, a littéralement survolé les débats en s'imposant sur cinq WOD au cours de la compétition. "Le trail au début m'a surprise, comme beaucoup de monde, mais à l'arrivée j'ai réussi à faire un bon résultat", a déclaré Montebello. "Après sur les autres WOD on a retrouvé des choses que l'on a plus l'habitude de faire comme les tractions, les muscle-up, les anneaux. Le crossfit c’est pour tout le monde, il faut l’adapter à chaque niveau, mais tout le monde a commencé par un coach qui montre les mouvements, apprend à bien faire, et au fur et à mesure tu décolles." A l'issue de la compétition Hinatea Montebello devançait au classement général, Storm Wolff et Poetea Guehenneuc.
Dans la catégorie reine, celle des RX, chez les hommes ils étaient dix à concourir pour le titre de "fittest athlète" de Polynésie. On retrouvait notamment le duo gagnant de la précédente édition, Toriki Demont et Gonzalo del Rio, qui se faisaient face cette année. Avec eux d'autres références du crossfit à Tahiti comme Mickael Galéra, Nanaia Putoru ou encore Roniu Aiamu. Et le plus régulier au cours des trois jours de compétition a été del Rio.
L'Espagnol a remporté trois WOD sur les huit proposés au cours du week-end et il a notamment été décisif dimanche lors du dernier jour de compétition. Del Rio s'offrait la victoire sur le WOD 7, qui proposait un enchainement de traction, muscle-up et thruster (un mix entre l'épaulé-jeté et le squat), et le sur le WOD 8 qui mixait rameur, saut à la corde et "edge-jump". A l'arrivée donc une victoire pour "Gonz" qui a devancé Nanaia Putoru, son plus sérieux rival ce week-end, et Toriki Demont qui a complété le podium en RX. "La compétition je l'ai prise comme un entrainement normal parce qu'on se connait tous. Avec les gars on s'entraine tous les jours ensemble. Il n'y avait pas vraiment de pression et l'ambiance était vraiment top sur les trois jours de compétition", a indiqué Gonzalo del Rio après sa victoire.
Et ce dernier devait être doublement satisfait car chez les dames, sa compagne, Hinatea Montebello, a littéralement survolé les débats en s'imposant sur cinq WOD au cours de la compétition. "Le trail au début m'a surprise, comme beaucoup de monde, mais à l'arrivée j'ai réussi à faire un bon résultat", a déclaré Montebello. "Après sur les autres WOD on a retrouvé des choses que l'on a plus l'habitude de faire comme les tractions, les muscle-up, les anneaux. Le crossfit c’est pour tout le monde, il faut l’adapter à chaque niveau, mais tout le monde a commencé par un coach qui montre les mouvements, apprend à bien faire, et au fur et à mesure tu décolles." A l'issue de la compétition Hinatea Montebello devançait au classement général, Storm Wolff et Poetea Guehenneuc.
Les athlètes ont repoussé leurs limites tout au long du week-end.
Le duo Aito Sport arrache la victoire en équipe
Toujours dans la catégorie RX, mais en équipe cette fois-ci, la bataille a été belle tout au long du week-end. En tête au moment d'aborder le dernier jour de compétition, Les "Local Beast 2.0", composés de Teremu Touatekina et de Hivanui Uraina, ont finalement été battus d'un rien par le duo "Aito Sport" avec Heiva Ah Min et Mika Vidal.
Tout s'est joué sur le dernier WOD et devant un public survolté dans la salle Maco Nena. En tête sur une bonne partie de l'exercice, les Local Beast ont ensuite eu plus de mal sur les "ring muscle-up", contrairement à leurs rivaux de Aito Sport. Ah Min et Vidal "n'avaient" plus qu'à finir le boulot sur les thrusters avec une barre à 80 kg pour finalement s'imposer dans cette catégorie "RX Team". Derrière le duo Aito Sport, les Local Beast 2.0 terminaient donc deuxième de ces Battle Games, et le podium de la catégorie était complété par une autre paire de Local Beast composée de Ropati Avaemai et de Moana Lepape.
>> Tous les classements des Polynesian Battle Games
Toujours dans la catégorie RX, mais en équipe cette fois-ci, la bataille a été belle tout au long du week-end. En tête au moment d'aborder le dernier jour de compétition, Les "Local Beast 2.0", composés de Teremu Touatekina et de Hivanui Uraina, ont finalement été battus d'un rien par le duo "Aito Sport" avec Heiva Ah Min et Mika Vidal.
Tout s'est joué sur le dernier WOD et devant un public survolté dans la salle Maco Nena. En tête sur une bonne partie de l'exercice, les Local Beast ont ensuite eu plus de mal sur les "ring muscle-up", contrairement à leurs rivaux de Aito Sport. Ah Min et Vidal "n'avaient" plus qu'à finir le boulot sur les thrusters avec une barre à 80 kg pour finalement s'imposer dans cette catégorie "RX Team". Derrière le duo Aito Sport, les Local Beast 2.0 terminaient donc deuxième de ces Battle Games, et le podium de la catégorie était complété par une autre paire de Local Beast composée de Ropati Avaemai et de Moana Lepape.
>> Tous les classements des Polynesian Battle Games
Du airsoft a aussi été proposé au cours d'un WOD.
Comme lors de la précédente édition, de la natation était également au menu de ces Polynesian Battle Games.
Du "handstand walk" sur une pelouse brulante au stade Willy Bambridge.
Le rameur un exercice des plus classiques pour un WOD.