TAHITI, le 9 novembre 2020 - La maison d’édition des Mers Australes qui possède un large catalogue d’albums pour enfants sort, entre autres, Les Longs cheveux de Vatiti. Le texte est signé Virginie Monbrison, les illustrations sont de Laurent Cardon.
"Quand on tient Les longs cheveux de Vatiti entre ses mains, on arrête tout, on s’assoit et on lit !", s’amuse Virginie Monbrison. Elle est l’auteure du livre Les Longs cheveux de Vatiti qui paraît aux éditions des Mers Australes.
Cet album jeunesse raconte l’histoire d’une petite fille de 8 ans prénommée Vatiti. Vatiti a de très très très longs cheveux et il est hors de question de les couper. Tout le monde adore ses magnifiques cheveux tout le monde sauf... Vatiti !
La jeune fille rêve d’avoir les cheveux courts comme sa copine française Julie, pour pouvoir courir, nager, grimper aux arbres, faire du vélo ! Elle va devoir donc ruser pour obtenir ce qu’elle veut sans blesser son papi, sa mamie, ses parents et sa tatie qui adorent ses longs cheveux !
L’ouvrage, selon Viriginie Monbrison "rend hommage avec humour et malice aux si longs et si beaux cheveux des polynésiennes". Elle ajoute "moi qui ai des cheveux tout fins et qui n’ai jamais réussi à les faire pousser plus long que les épaules, j’ai toujours admiré les belles chevelures ondulées et parfumées de mes collègues et amies polynésiennes".
Ce texte a été écrit peu après l’arrivée de l’auteure en Polynésie. Le déclencheur a été sa rencontre avec les éditions et les éditeurs des Mers Australes ! "Guy et Vatiti Wallart – c’est elle la vraie Vatiti – m’ont accueillie si chaleureusement et m’ont si bien ouvert les portes de la culture polynésienne en me faisant une place dans leur maison, au milieu des livres et des chats, que les mots sont venus tout seul."
L’histoire est restée presque huit années dans un tiroir car d’autres projets se sont immiscés entre temps. Elle en est sortie grâce à la rencontre, lors du dernier salon du livre, de l’auteure et de l’illustrateur Laurent Cardon. Une grande complicité entre les deux a donné naissance à "cet album espiègle et coloré qui, je l’espère, reflète cette complicité".
Selon Virginie Monbrison, le texte simple est "littéralement sublimé par le trait si particulier de Laurent, comme griffé, gravé dans le bois, les couleurs bien que traitées en tons pastel gardent un peps et une douceur désarmantes". Les illustrations centrées sur les personnages et leurs émotions recèlent mille petits détails à croquer. Le papier aussi a été choisi exprès, tout cela fait de ce livre un bel objet.
"Quand on tient Les longs cheveux de Vatiti entre ses mains, on arrête tout, on s’assoit et on lit !", s’amuse Virginie Monbrison. Elle est l’auteure du livre Les Longs cheveux de Vatiti qui paraît aux éditions des Mers Australes.
Cet album jeunesse raconte l’histoire d’une petite fille de 8 ans prénommée Vatiti. Vatiti a de très très très longs cheveux et il est hors de question de les couper. Tout le monde adore ses magnifiques cheveux tout le monde sauf... Vatiti !
La jeune fille rêve d’avoir les cheveux courts comme sa copine française Julie, pour pouvoir courir, nager, grimper aux arbres, faire du vélo ! Elle va devoir donc ruser pour obtenir ce qu’elle veut sans blesser son papi, sa mamie, ses parents et sa tatie qui adorent ses longs cheveux !
L’ouvrage, selon Viriginie Monbrison "rend hommage avec humour et malice aux si longs et si beaux cheveux des polynésiennes". Elle ajoute "moi qui ai des cheveux tout fins et qui n’ai jamais réussi à les faire pousser plus long que les épaules, j’ai toujours admiré les belles chevelures ondulées et parfumées de mes collègues et amies polynésiennes".
Ce texte a été écrit peu après l’arrivée de l’auteure en Polynésie. Le déclencheur a été sa rencontre avec les éditions et les éditeurs des Mers Australes ! "Guy et Vatiti Wallart – c’est elle la vraie Vatiti – m’ont accueillie si chaleureusement et m’ont si bien ouvert les portes de la culture polynésienne en me faisant une place dans leur maison, au milieu des livres et des chats, que les mots sont venus tout seul."
L’histoire est restée presque huit années dans un tiroir car d’autres projets se sont immiscés entre temps. Elle en est sortie grâce à la rencontre, lors du dernier salon du livre, de l’auteure et de l’illustrateur Laurent Cardon. Une grande complicité entre les deux a donné naissance à "cet album espiègle et coloré qui, je l’espère, reflète cette complicité".
Selon Virginie Monbrison, le texte simple est "littéralement sublimé par le trait si particulier de Laurent, comme griffé, gravé dans le bois, les couleurs bien que traitées en tons pastel gardent un peps et une douceur désarmantes". Les illustrations centrées sur les personnages et leurs émotions recèlent mille petits détails à croquer. Le papier aussi a été choisi exprès, tout cela fait de ce livre un bel objet.
Les autres sorties…
Le requin fantôme est le deuxième album jeunesse édité par les Mers Australes. C’était dans les années 85 et l'auteure, Claude Morrand venue de France, a proposé à cette époque des ateliers à destination des enfants. Elle avait déjà écrit quelques histoires pour enfants en France. Les lieux et l'ambiance polynésienne lui ont inspiré une nouvelle histoire pour enfants, celle du requin fantôme. Une première impression a été faite en 1986 à 1 000 exemplaires. L'ouvrage n'est plus disponible depuis 2006. Les Mers Australes ont décidé cette année de le réimprimer pour uniformiser la collection Moana.
Le requin fantôme est le deuxième album jeunesse édité par les Mers Australes. C’était dans les années 85 et l'auteure, Claude Morrand venue de France, a proposé à cette époque des ateliers à destination des enfants. Elle avait déjà écrit quelques histoires pour enfants en France. Les lieux et l'ambiance polynésienne lui ont inspiré une nouvelle histoire pour enfants, celle du requin fantôme. Une première impression a été faite en 1986 à 1 000 exemplaires. L'ouvrage n'est plus disponible depuis 2006. Les Mers Australes ont décidé cette année de le réimprimer pour uniformiser la collection Moana.
Par ailleurs, il y a Nonahere qui est un ouvrage unique dans sa conception, puisqu’il paraît sous sa forme de livre accompagné d’un CD audio et un DVD. Il se veut être le témoin visuel et écrit d'un investissement humain et financier de plusieurs mois dans le cadre d’une représentation de la troupe éponyme au Heiva i Tahiti. C’est un projet commun entre le chef de groupe de danse Nonahere, Matani Kainuku, Patrick Araia Amaru, Edgar Tetahiotupa et Guy Wallart. Tous partagent un même intérêt : faire perdurer les savoir-faire locaux. Ce projet a été l'occasion de garder une trace de tout le travail d’une poignée de gens prêts à s'investir corps et âme pour un spectacle unique.
Enfin, Jojo le requin écrit par Brigitte Cao et illustré par Brigitte Lorillou sensibilise les enfants à la protection de l'environnement et la bande-dessinée pour adolescents Samo, l’enfant des vagues de Mickey Moto revient.
Un salon du livre innovant
Le salon du livre 2020 aura lieu du 12 au 15 novembre et sera exclusivement en ligne. Les organisateurs se mobilisent pour que l’essentiel de la programmation initialement prévue soit maintenue et proposée au public polynésien sous de multiples formats.
Rendez-vous sur le site internet Lire en Polynésie.
Le salon du livre 2020 aura lieu du 12 au 15 novembre et sera exclusivement en ligne. Les organisateurs se mobilisent pour que l’essentiel de la programmation initialement prévue soit maintenue et proposée au public polynésien sous de multiples formats.
Rendez-vous sur le site internet Lire en Polynésie.