PAPEETE, le 28 janvier 2015. Des jeunes en situation de décrochage au fenua pourraient bénéficier du service civique.
Un comité de coordination du service civique doit se dérouler ce jeudi au haut-commissariat.
Le ministère de l’Éducation nationale a construit un partenariat avec le ministère de la Jeunesse et l’Agence du service civique afin de proposer, à des jeunes ayant décroché du système scolaire, des solutions spécifiques permettant d’allier projet de formation et mission d’intérêt général. Ce partenariat permet à la fois un engagement de service civique et un suivi personnalisé du jeune ayant quitté le système éducatif sans qualification. Le jeune est en mission de service civique trois jours par semaine et réalise des missions identiques et dans les mêmes conditions que celles d’un volontaire engagé à temps plein. Les deux autres jours, le jeune bénéficie d’un parcours personnalisé dans un établissement scolaire.
« Chaque jeune dispose d’un tuteur désigné qui l’accompagne dans son parcours pendant toute la durée du service civique », précise le conseil des ministres dans un communiqué. « Des solutions lui sont proposées : reprendre sa scolarité, obtenir une qualification professionnelle en lycée professionnel, en contrat d’apprentissage ou en contrat de professionnalisation, ou rechercher un emploi. »
Ce dispositif est applicable au fenua. « Cinquante engagements sont d’ores et déjà réservés et pourraient être disponibles dès février 2015 », précise le conseil des ministres. « Une montée en puissance à la rentrée d’août 2015 sera possible. »
Un comité de coordination du service civique doit se dérouler ce jeudi au haut-commissariat.
Le ministère de l’Éducation nationale a construit un partenariat avec le ministère de la Jeunesse et l’Agence du service civique afin de proposer, à des jeunes ayant décroché du système scolaire, des solutions spécifiques permettant d’allier projet de formation et mission d’intérêt général. Ce partenariat permet à la fois un engagement de service civique et un suivi personnalisé du jeune ayant quitté le système éducatif sans qualification. Le jeune est en mission de service civique trois jours par semaine et réalise des missions identiques et dans les mêmes conditions que celles d’un volontaire engagé à temps plein. Les deux autres jours, le jeune bénéficie d’un parcours personnalisé dans un établissement scolaire.
« Chaque jeune dispose d’un tuteur désigné qui l’accompagne dans son parcours pendant toute la durée du service civique », précise le conseil des ministres dans un communiqué. « Des solutions lui sont proposées : reprendre sa scolarité, obtenir une qualification professionnelle en lycée professionnel, en contrat d’apprentissage ou en contrat de professionnalisation, ou rechercher un emploi. »
Ce dispositif est applicable au fenua. « Cinquante engagements sont d’ores et déjà réservés et pourraient être disponibles dès février 2015 », précise le conseil des ministres. « Une montée en puissance à la rentrée d’août 2015 sera possible. »