image d'archives AFP: Le prince héritier, George Siaosi Tupou V, communément appelé George V, succède à son père Tupou IV, mort en 2006. Il sort de l'église après son couronnement, le 2 août 2008.
ROME, lundi 27 février 2012 (Flash d’Océanie) – Le roi de Tonga, George (Siosi) V, a été reçu vendredi 24 février 2012 en audience avec le Pape Benoît XVI, lors d’une visite officielle au Vatican, ont annoncé les services officiels de cet État.
Au menu de cet entretien, selon ces sources : des questions d’ordre international et un « accent » sur les États insulaires océaniens.
Ces sujets ont été ensuite approfondis à l’occasion d’un entretien « cordial » avec l’archevêque Dominique Mamberti, secrétaire au Vatican chargé des relations internationales, concernant « des aspects divers de la vie social et économique » (de Tonga), ainsi que « la contribution positive de l’église catholique » dans ces secteurs.
Tonga met en œuvre depuis plus de cinq ans et après les émeutes du 16 novembre 20006 (qui ont détruit une partie du centre-ville de la capitale Nuku’alofa, sur fond de revendications pro-démocratie) une série de réformes politiques qui ont vu, lors des dernières élections de fin 2010, l’avènement d’un Parlement comportant une proportion plus élevée d’élus non membres de la famille royale.
Le roi George V, 63 ans, a été couronné le 2 août 2008, succédant ainsi à son père, Taufaʻahau Tupou IV, décédé en 2006 à l’âge de 88 ans et après une durée record de 41 ans.
Au royaume de Tonga, sur une population d’un peu plus de cent mille habitants, la religion catholique représente environ seize mille fidèles, loin derrière d’autres dénominations chrétiennes essentiellement protestantes : l’église méthodiste Wesleyenne (38.000), l’Église des Saints du Dernier Jour de Jésus [assimilée aux Mormons] (17.000), l’église Libre de Tonga (11.500), ou encore l’Église de Tonga (7.300).
D’autres dénominations sont aussi représentées, telles que l’église anglicane, les adventistes du septième jour, l’assemblée de Dieu.
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Au menu de cet entretien, selon ces sources : des questions d’ordre international et un « accent » sur les États insulaires océaniens.
Ces sujets ont été ensuite approfondis à l’occasion d’un entretien « cordial » avec l’archevêque Dominique Mamberti, secrétaire au Vatican chargé des relations internationales, concernant « des aspects divers de la vie social et économique » (de Tonga), ainsi que « la contribution positive de l’église catholique » dans ces secteurs.
Tonga met en œuvre depuis plus de cinq ans et après les émeutes du 16 novembre 20006 (qui ont détruit une partie du centre-ville de la capitale Nuku’alofa, sur fond de revendications pro-démocratie) une série de réformes politiques qui ont vu, lors des dernières élections de fin 2010, l’avènement d’un Parlement comportant une proportion plus élevée d’élus non membres de la famille royale.
Le roi George V, 63 ans, a été couronné le 2 août 2008, succédant ainsi à son père, Taufaʻahau Tupou IV, décédé en 2006 à l’âge de 88 ans et après une durée record de 41 ans.
Au royaume de Tonga, sur une population d’un peu plus de cent mille habitants, la religion catholique représente environ seize mille fidèles, loin derrière d’autres dénominations chrétiennes essentiellement protestantes : l’église méthodiste Wesleyenne (38.000), l’Église des Saints du Dernier Jour de Jésus [assimilée aux Mormons] (17.000), l’église Libre de Tonga (11.500), ou encore l’Église de Tonga (7.300).
D’autres dénominations sont aussi représentées, telles que l’église anglicane, les adventistes du septième jour, l’assemblée de Dieu.
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