Tahiti, le 7 avril 2025 - Le groupe de chant lyrique Bel Canto Tahiti présente, les 25 et 26 avril prochains, un spectacle qui mêle danses et chants à la Maison James Norman Hall. Intitulé Le Dernier chant de la Bounty, Te reo hope’a ā te Bounty, il raconte le voyage du fameux navire de l’Angleterre à Pitcairn.
Le célèbre écrivain américain qui a cosigné “Les Révoltés de la Bounty” avec Charles Nordhoff en 1932 a élu domicile dans le district de Arue dans les années 1920. La maison de James Norman Hall est devenue un musée en 2002, mais elle est également un lieu d’accueil de manifestations artistiques, historiques et culturelles. Elle servira de décor, les 25 et 26 avril prochains, au Dernier chant de la Bounty, Te reo hope’a ā te Bounty, le tout dernier spectacle mis en scène par le groupe de chant lyrique Bel Canto Tahiti.
Ce spectacle, une création originale, raconte l'épopée de la Bounty, de l'Angleterre à Pitcairn. Ce faisant, il explore différents genres musicaux : des chants patriotiques anglais au baroque avec Haendel en passant par le classique avec Mozart, les chants de marins, des reprises du répertoire tahitien (dont un hīmene tārava) et le célèbre Haere Mai du film des révoltés de la Bounty (façon Bel Canto). Il y aura également du ‘ōrero, ainsi que des compositions en tahitien.
“C’est un voyage en chanson”, résume Laetitia Jullian, l’une des chanteuses du groupe. “Nous avons fait des recherches pour retrouver, par exemple, des chansons de marins.”
Chants, danses et musique
Les 25 et 25 avril, sur scène, les spectateurs (re)trouveront les dix membres du Bel Canto pour la partie chant et danse – “On est polyvalent, on fait tout”, plaisante Laetitia Jullian –, mais également un violoniste, des percussionnistes et joueur de vivo et de pū. Les artistes porteront, pour la première partie, des costumes de marins, pour la seconde des tenues polynésiennes spécialement conçues pour l’occasion. Dans les jardins de la Maison James Norman Hall, les toiles rappelleront les voiles du navire.
L’histoire passera également par des effets de lumière, chaque tableau aura la sienne et des bougies seront disposées en différents endroits pour créer “une ambiance intimiste et tamisée”.
Ce spectacle, dont ce sera la première à la Maison Hall, pourrait être proposé à nouveau dans l’année sur la côte ouest. “Surtout, on espère pouvoir un jour l’exporter”, annonce Laetitia Jullian. Rappelons que le Bel Canto a été invité aux Antilles (festival Filao en Martinique), à Los Angeles (Festival Taste of Tahiti) et en France (Paris et Alsace pour le concours des Meilleures chorales de France).
Le célèbre écrivain américain qui a cosigné “Les Révoltés de la Bounty” avec Charles Nordhoff en 1932 a élu domicile dans le district de Arue dans les années 1920. La maison de James Norman Hall est devenue un musée en 2002, mais elle est également un lieu d’accueil de manifestations artistiques, historiques et culturelles. Elle servira de décor, les 25 et 26 avril prochains, au Dernier chant de la Bounty, Te reo hope’a ā te Bounty, le tout dernier spectacle mis en scène par le groupe de chant lyrique Bel Canto Tahiti.
Ce spectacle, une création originale, raconte l'épopée de la Bounty, de l'Angleterre à Pitcairn. Ce faisant, il explore différents genres musicaux : des chants patriotiques anglais au baroque avec Haendel en passant par le classique avec Mozart, les chants de marins, des reprises du répertoire tahitien (dont un hīmene tārava) et le célèbre Haere Mai du film des révoltés de la Bounty (façon Bel Canto). Il y aura également du ‘ōrero, ainsi que des compositions en tahitien.
“C’est un voyage en chanson”, résume Laetitia Jullian, l’une des chanteuses du groupe. “Nous avons fait des recherches pour retrouver, par exemple, des chansons de marins.”
Chants, danses et musique
Les 25 et 25 avril, sur scène, les spectateurs (re)trouveront les dix membres du Bel Canto pour la partie chant et danse – “On est polyvalent, on fait tout”, plaisante Laetitia Jullian –, mais également un violoniste, des percussionnistes et joueur de vivo et de pū. Les artistes porteront, pour la première partie, des costumes de marins, pour la seconde des tenues polynésiennes spécialement conçues pour l’occasion. Dans les jardins de la Maison James Norman Hall, les toiles rappelleront les voiles du navire.
L’histoire passera également par des effets de lumière, chaque tableau aura la sienne et des bougies seront disposées en différents endroits pour créer “une ambiance intimiste et tamisée”.
Ce spectacle, dont ce sera la première à la Maison Hall, pourrait être proposé à nouveau dans l’année sur la côte ouest. “Surtout, on espère pouvoir un jour l’exporter”, annonce Laetitia Jullian. Rappelons que le Bel Canto a été invité aux Antilles (festival Filao en Martinique), à Los Angeles (Festival Taste of Tahiti) et en France (Paris et Alsace pour le concours des Meilleures chorales de France).