Washington, Etats-Unis | AFP | dimanche 22/07/2018 - Elon Musk a trouvé un accord avec un potier américain qui accusait le médiatique patron de Tesla d'avoir reproduit sa "licorne qui pète" sans autorisation sur des produits du constructeur automobile.
Tom Edwards, un artisan du Colorado, a écrit vendredi sur son site internet que ce problème de droits d'auteur avait été résolu "de manière satisfaisante pour tout le monde", sans préciser la teneur de l'accord. Le fantasque milliardaire américain a de son côté tweeté une capture d'écran de ce même communiqué.
L'affaire avait débuté l'an dernier lorsque le fondateur du constructeur de voitures électriques et de l'entreprise spatiale SpaceX avait posté sur Twitter une photo d'une tasse colorée de Tom Edwards, illustrée d'une licorne sommairement dessinée sur fond d'arc-en-ciel.
Sur ce dessin, la créature mythique lâche un gaz dans un entonnoir relié par un tuyau à une voiture. "Les voitures électriques sont bonnes pour l'environnement car l'électricité est le produit de la magie", est-il écrit sur la tasse.
"Probablement mon mug préféré", avait alors commenté Elon Musk, offrant une publicité gratuite à son créateur, qui avait ensuite enregistré une légère hausse de ses ventes.
Mais Tom Edwards, d'abord heureux de compter l'entrepreneur d'origine sud-africaine parmi ses fans, avait ensuite changé d'avis en apprenant que l'image avait été utilisée dans du matériel promotionnel de Tesla.
Elon Musk "a plagié l'art de mon père!", avait alors lancé sur Twitter la fille du potier, Lisa Prank, avant de l'interpeller: "Qu'avez-vous à dire pour vous justifier @elonmusk??".
L'intéressé avait d'abord attribué le travail à un autre artiste et minimisé la polémique, jugeant que Tom Edwards devait se réjouir d'avoir vendu plus de mugs.
"Il y a eu clairement des malentendus qui ont mené à une escalade, mais je suis content que tout soit résolu", a commenté le potier de 61 ans, assurant avoir "toujours été un admirateur de Tesla".
Coutumier des polémiques, Elon Musk a dû s'excuser récemment après sa violente attaque contre un spéléologue ayant aidé à sauver des enfants piégés dans une grotte thaïlandaise, considérée par certains comme la frasque de trop.
Tom Edwards, un artisan du Colorado, a écrit vendredi sur son site internet que ce problème de droits d'auteur avait été résolu "de manière satisfaisante pour tout le monde", sans préciser la teneur de l'accord. Le fantasque milliardaire américain a de son côté tweeté une capture d'écran de ce même communiqué.
L'affaire avait débuté l'an dernier lorsque le fondateur du constructeur de voitures électriques et de l'entreprise spatiale SpaceX avait posté sur Twitter une photo d'une tasse colorée de Tom Edwards, illustrée d'une licorne sommairement dessinée sur fond d'arc-en-ciel.
Sur ce dessin, la créature mythique lâche un gaz dans un entonnoir relié par un tuyau à une voiture. "Les voitures électriques sont bonnes pour l'environnement car l'électricité est le produit de la magie", est-il écrit sur la tasse.
"Probablement mon mug préféré", avait alors commenté Elon Musk, offrant une publicité gratuite à son créateur, qui avait ensuite enregistré une légère hausse de ses ventes.
Mais Tom Edwards, d'abord heureux de compter l'entrepreneur d'origine sud-africaine parmi ses fans, avait ensuite changé d'avis en apprenant que l'image avait été utilisée dans du matériel promotionnel de Tesla.
Elon Musk "a plagié l'art de mon père!", avait alors lancé sur Twitter la fille du potier, Lisa Prank, avant de l'interpeller: "Qu'avez-vous à dire pour vous justifier @elonmusk??".
L'intéressé avait d'abord attribué le travail à un autre artiste et minimisé la polémique, jugeant que Tom Edwards devait se réjouir d'avoir vendu plus de mugs.
"Il y a eu clairement des malentendus qui ont mené à une escalade, mais je suis content que tout soit résolu", a commenté le potier de 61 ans, assurant avoir "toujours été un admirateur de Tesla".
Coutumier des polémiques, Elon Musk a dû s'excuser récemment après sa violente attaque contre un spéléologue ayant aidé à sauver des enfants piégés dans une grotte thaïlandaise, considérée par certains comme la frasque de trop.