PAPEETE, 29 octobre 2010 (AFP) - Le nouvel avion du gouvernement, surnommé "Air Sarko One", s'est posé à Tahiti jeudi matin, après une escale en Nouvelle-Calédonie, a constaté un correspondant de l'AFP à Papeete.
L'Airbus A330-200, baptisé par la presse "Air Sarko One", en allusion à Air Force One, l'appareil du président américain, effectue une série de vols d'essai avant sa livraison.
Mais aucune information n'a été fournie à ce sujet par le haut-commissariat, qui représente l'Etat dans cette collectivité d'outre-mer.
Les techniciens et membres de l'état-major présents à bord n'ont pu être joints.
L'avion, dédié aux déplacements du président Nicolas Sarkozy et des principaux membres du gouvernement, a une autonomie de 12.500 km et dispose de moyens de communication et de sécurité moderne.
Cet appareil, dont le coût (environ 180 millions d'euros) a soulevé la controverse, devrait être livré le mois prochain à l'ETEC (Escadron de transport, d'entraînement et de calibration).
"Cet investissement offrira une capacité plus performante de transport pour les déplacements gouvernementaux au cours des 30 prochaines années. Il pourra transporter dans des meilleures conditions le même nombre de passagers que les deux Airbus actuels mobilisés simultanément", avait expliqué en juin le ministère de la défense.
Il avait précisé que "dès l'entrée en fonction" du nouvel appareil gouvernemental, "les deux A319 moyens courriers acquis en 2000 par le gouvernement de l'époque seront retirés du service pour être vendus".
ml-sm/cf/cgd
L'Airbus A330-200, baptisé par la presse "Air Sarko One", en allusion à Air Force One, l'appareil du président américain, effectue une série de vols d'essai avant sa livraison.
Mais aucune information n'a été fournie à ce sujet par le haut-commissariat, qui représente l'Etat dans cette collectivité d'outre-mer.
Les techniciens et membres de l'état-major présents à bord n'ont pu être joints.
L'avion, dédié aux déplacements du président Nicolas Sarkozy et des principaux membres du gouvernement, a une autonomie de 12.500 km et dispose de moyens de communication et de sécurité moderne.
Cet appareil, dont le coût (environ 180 millions d'euros) a soulevé la controverse, devrait être livré le mois prochain à l'ETEC (Escadron de transport, d'entraînement et de calibration).
"Cet investissement offrira une capacité plus performante de transport pour les déplacements gouvernementaux au cours des 30 prochaines années. Il pourra transporter dans des meilleures conditions le même nombre de passagers que les deux Airbus actuels mobilisés simultanément", avait expliqué en juin le ministère de la défense.
Il avait précisé que "dès l'entrée en fonction" du nouvel appareil gouvernemental, "les deux A319 moyens courriers acquis en 2000 par le gouvernement de l'époque seront retirés du service pour être vendus".
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