MONTRÉAL, 25 avril 2014 (AFP) - Les nouvelles rames du métro de Montréal, assemblées par un consortium formé par Bombardier et Alstom, sont trop hautes et ont nécessité un rabotage des tunnels de la métropole québécoise, rapporte vendredi la presse locale.
La voûte du métro montréalais a dû être rabotée sur au moins 200 mètres en prévision des nouvelles voitures construites par le duo franco-québécois qui avait décroché en octobre 2010, sans appel d'offres, ce contrat évalué à 1,3 milliard de dollars canadiens. 468 voitures de métro doivent progressivement remplacer les wagons qui roulent depuis l'ouverture du métro, en 1966.
"De la manière dont la voiture est faite, si la suspension était brisée ou les pneus crevés et que le wagon penchait trop d'un côté, il ne passerait pas dans certains secteurs du tunnel", a expliqué au Journal de Montréal le président du syndicat des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal (STM), Luc Saint Hilaire.
Attendues initialement fin 2013/début 2014, les premières rames n'ont toujours pas été livrées et sont attendues avec un an de retard, a indiqué la STM au quotidien montréalais.
Bombardier et Alstom estiment toutefois toujours pouvoir respecter l'échéance de livraison de la dernière rame, en septembre 2018.
sab/mbr/mdm
La voûte du métro montréalais a dû être rabotée sur au moins 200 mètres en prévision des nouvelles voitures construites par le duo franco-québécois qui avait décroché en octobre 2010, sans appel d'offres, ce contrat évalué à 1,3 milliard de dollars canadiens. 468 voitures de métro doivent progressivement remplacer les wagons qui roulent depuis l'ouverture du métro, en 1966.
"De la manière dont la voiture est faite, si la suspension était brisée ou les pneus crevés et que le wagon penchait trop d'un côté, il ne passerait pas dans certains secteurs du tunnel", a expliqué au Journal de Montréal le président du syndicat des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal (STM), Luc Saint Hilaire.
Attendues initialement fin 2013/début 2014, les premières rames n'ont toujours pas été livrées et sont attendues avec un an de retard, a indiqué la STM au quotidien montréalais.
Bombardier et Alstom estiment toutefois toujours pouvoir respecter l'échéance de livraison de la dernière rame, en septembre 2018.
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