Tahiti, le 21 juin 2022 – À l’occasion des 30 ans de l’appellation d’origine mono’i de Tahiti, l’association du même nom a décidé de promouvoir notre “huile sacrée” sur les marchés étrangers. Et c’est visiblement un succès en métropole, son premier marché à l’export, où plusieurs médias relaient depuis quelques semaines l’histoire, les méthodes de fabrication et l’utilisation de ce trésor parfumé de nos îles. Petit tour d’horizon…
Alors que l’hiver austral s’installe sous nos latitudes, en Europe, c’est l’été depuis ce mardi 21 juin, jour le plus long de l’année dans l’hémisphère nord. C’est donc le moment idéal pour faire la promotion du mono’i de Tahiti auprès des beauty addict et des vacanciers de métropole. D’autant plus que son appellation d’origine fête cette année ses 30 ans d’existence, le classant parmi les très rares produits cosmétiques à bénéficier d’un tel label, à l’instar des “domaines du vin et de la gastronomie”, comme le souligne le magazine people Point de Vue.
L’Association Monoï de Tahiti a en effet profité de l’occasion pour faire la promotion de ce produit polynésien iconique sur les marchés extérieurs. Et depuis quelques semaines, les médias français, magazines féminins en tête, ne tarissent pas d’éloges sur ses nombreux bienfaits.
Dans un article-vidéo publié par Santé Magazine, on peut voir Éric Vaxelaire, représentant l’association, lister les bénéfices pour la peau et les cheveux de notre “huile sacrée”. Paris Match, quant à lui, angle sur le volet économique de la filière, en vantant l’enjeu de son développement qui, “derrière le tourisme repositionné éco-chic, la vanille et la perle noire”, pourrait devenir “une vraie source de francs Pacifique” et “un pilier économique de la Polynésie française”.
De son origine à sa fabrication
Le site d’information internationale Premium Beauty News, qui s’adresse aux professionnels de l’industrie des cosmétiques et de la beauté, revient plus en détail sur la création il y a 30 ans de l’appellation contrôlée. “À la fin des années 1980, les producteurs de mono’i cherchent à protéger leur savoir-faire authentique de la concurrence de produits contrefaits, souvent à base d’huiles minérales et parfois de parfums synthétiques !” Ce qui mènera à la publication en 1992 d’un décret certifiant l’origine géographique du produit et encadrant de manière précise ses différentes étapes de fabrication.
Le célèbre magazine féminin mode et beauté Marie Claire s’est également attardé, dans un article publié le 14 juin, sur l’origine de cette appellation contrôlée et sur son cahier des charges bien précis, qu’elle doit respecter “afin de garantir aux consommateurs le maximum d'efficacité et de qualité”. Éric Vaxelaire y explique notamment que, “quel que soit le fabricant, il doit cueillir des fleurs de tiare (provenant de Tahiti et ses îles) à l’état de bouton. Elles doivent ensuite impérativement être utilisées dans les 24 heures suivant la récolte pour qu’elles soient les plus fraîches possible afin de préserver les actifs.” On y apprend également que chaque litre d’huile doit contenir au moins dix fleurs, qui y macèrent pendant au moins dix jours. Pour revendiquer l’appellation, une concentration minimale en mono’i est également nécessaire et ce dernier ne doit pas être mélangé à une autre huile de coco. Et pour donner envie à ses lectrices de (re)découvrir cette huile végétale miracle, Marie Claire conclut son article par une sélection shopping de dix produits de marques populaires à Tahiti et en métropole, aux parfums de nos îles.
Enfin, ce petit tour d’horizon de l’engouement suscité par notre “onguent de beauté à l’odeur entêtante” ne serait pas complet sans les influents Voici et Madame Figaro, qui livrent leurs astuces beauté et “routines minimalistes” pour exhiber une peau et une “chevelure de rêve cet été”. Il y a fort à parier que notre mono’i s’invite bientôt sur les plages métropolitaines et devienne “le soin le plus prisé de la saison” !
Alors que l’hiver austral s’installe sous nos latitudes, en Europe, c’est l’été depuis ce mardi 21 juin, jour le plus long de l’année dans l’hémisphère nord. C’est donc le moment idéal pour faire la promotion du mono’i de Tahiti auprès des beauty addict et des vacanciers de métropole. D’autant plus que son appellation d’origine fête cette année ses 30 ans d’existence, le classant parmi les très rares produits cosmétiques à bénéficier d’un tel label, à l’instar des “domaines du vin et de la gastronomie”, comme le souligne le magazine people Point de Vue.
L’Association Monoï de Tahiti a en effet profité de l’occasion pour faire la promotion de ce produit polynésien iconique sur les marchés extérieurs. Et depuis quelques semaines, les médias français, magazines féminins en tête, ne tarissent pas d’éloges sur ses nombreux bienfaits.
Dans un article-vidéo publié par Santé Magazine, on peut voir Éric Vaxelaire, représentant l’association, lister les bénéfices pour la peau et les cheveux de notre “huile sacrée”. Paris Match, quant à lui, angle sur le volet économique de la filière, en vantant l’enjeu de son développement qui, “derrière le tourisme repositionné éco-chic, la vanille et la perle noire”, pourrait devenir “une vraie source de francs Pacifique” et “un pilier économique de la Polynésie française”.
De son origine à sa fabrication
Le site d’information internationale Premium Beauty News, qui s’adresse aux professionnels de l’industrie des cosmétiques et de la beauté, revient plus en détail sur la création il y a 30 ans de l’appellation contrôlée. “À la fin des années 1980, les producteurs de mono’i cherchent à protéger leur savoir-faire authentique de la concurrence de produits contrefaits, souvent à base d’huiles minérales et parfois de parfums synthétiques !” Ce qui mènera à la publication en 1992 d’un décret certifiant l’origine géographique du produit et encadrant de manière précise ses différentes étapes de fabrication.
Le célèbre magazine féminin mode et beauté Marie Claire s’est également attardé, dans un article publié le 14 juin, sur l’origine de cette appellation contrôlée et sur son cahier des charges bien précis, qu’elle doit respecter “afin de garantir aux consommateurs le maximum d'efficacité et de qualité”. Éric Vaxelaire y explique notamment que, “quel que soit le fabricant, il doit cueillir des fleurs de tiare (provenant de Tahiti et ses îles) à l’état de bouton. Elles doivent ensuite impérativement être utilisées dans les 24 heures suivant la récolte pour qu’elles soient les plus fraîches possible afin de préserver les actifs.” On y apprend également que chaque litre d’huile doit contenir au moins dix fleurs, qui y macèrent pendant au moins dix jours. Pour revendiquer l’appellation, une concentration minimale en mono’i est également nécessaire et ce dernier ne doit pas être mélangé à une autre huile de coco. Et pour donner envie à ses lectrices de (re)découvrir cette huile végétale miracle, Marie Claire conclut son article par une sélection shopping de dix produits de marques populaires à Tahiti et en métropole, aux parfums de nos îles.
Enfin, ce petit tour d’horizon de l’engouement suscité par notre “onguent de beauté à l’odeur entêtante” ne serait pas complet sans les influents Voici et Madame Figaro, qui livrent leurs astuces beauté et “routines minimalistes” pour exhiber une peau et une “chevelure de rêve cet été”. Il y a fort à parier que notre mono’i s’invite bientôt sur les plages métropolitaines et devienne “le soin le plus prisé de la saison” !