Londres, Royaume-Uni | AFP | mercredi 08/01/2020 - Depuis 50 ans, Uri Geller prétend tordre des cuillères par la seule force de son esprit. Le célèbre magicien propose maintenant de mettre ses "pouvoirs psychiques" au service du gouvernement britannique pour faire plier l'Union européenne sur le Brexit.
Le Britannico-Israélien de 73 ans a postulé par une lettre envoyée à Dominic Cummings, conseiller spécial du Premier ministre britannique Boris Johnson, qui avait appelé début janvier les "tordus" et les "marginaux avec des compétences bizarres" à travailler pour les services du gouvernement.
"Vous dites que vous cherchez quelqu'un aux +frontières de la science prédictive+ ? Eh bien, ne cherchez pas plus loin", a écrit Uri Geller dans sa lettre de motivation commençant par "Cher Dom", consultée par l'AFP mercredi.
"J'ai de vrais pouvoirs psychiques, il suffit de demander au Mossad (renseignement israélien), à la CIA (renseignement américain) ou au Pentagone" (département américain de la Défense), y déclare-t-il, affirmant que sa carrière publique de magicien n'était en fait qu'un "masque parfait" pour cacher son activité d'espion pour les services secrets américains et israéliens.
"Dans mon travail d'espion, j'ai participé à l'opération Tempête du désert (en Irak en 1991), aidé à localiser des tunnels secrets en Corée du Nord et utilisé mes compétences pour effacer des documents diplomatiques cruciaux en route vers Moscou", affirme-t-il.
Alors que le Royaume-Uni entre dans une année d'âpres discussions avec l'Union européenne sur leur relations commerciale après le Brexit, le magicien suggère d'utiliser ses pouvoirs sur le négociateur européen Michel Barnier.
Il prétend avoir déjà aidé Boris Johnson à remporter haut la main les élections législatives de décembre, grâce à une cuillère "pleine d'énergie positive" qu'il lui aurait donné.
Le gouvernement n'a pour l'instant pas souhaité réagir.
Dominic Cummings avait publié la semaine dernière sur son blog une annonce de recrutement inhabituelle, militant pour une diversification des profils dans la fonction publique.
Parmi les profils recherchés figuraient des scientifiques spécialisés dans les données, des développeurs de logiciels, des économistes, mais aussi "des tordus et des marginaux avec des compétences bizarres".
Le Britannico-Israélien de 73 ans a postulé par une lettre envoyée à Dominic Cummings, conseiller spécial du Premier ministre britannique Boris Johnson, qui avait appelé début janvier les "tordus" et les "marginaux avec des compétences bizarres" à travailler pour les services du gouvernement.
"Vous dites que vous cherchez quelqu'un aux +frontières de la science prédictive+ ? Eh bien, ne cherchez pas plus loin", a écrit Uri Geller dans sa lettre de motivation commençant par "Cher Dom", consultée par l'AFP mercredi.
"J'ai de vrais pouvoirs psychiques, il suffit de demander au Mossad (renseignement israélien), à la CIA (renseignement américain) ou au Pentagone" (département américain de la Défense), y déclare-t-il, affirmant que sa carrière publique de magicien n'était en fait qu'un "masque parfait" pour cacher son activité d'espion pour les services secrets américains et israéliens.
"Dans mon travail d'espion, j'ai participé à l'opération Tempête du désert (en Irak en 1991), aidé à localiser des tunnels secrets en Corée du Nord et utilisé mes compétences pour effacer des documents diplomatiques cruciaux en route vers Moscou", affirme-t-il.
Alors que le Royaume-Uni entre dans une année d'âpres discussions avec l'Union européenne sur leur relations commerciale après le Brexit, le magicien suggère d'utiliser ses pouvoirs sur le négociateur européen Michel Barnier.
Il prétend avoir déjà aidé Boris Johnson à remporter haut la main les élections législatives de décembre, grâce à une cuillère "pleine d'énergie positive" qu'il lui aurait donné.
Le gouvernement n'a pour l'instant pas souhaité réagir.
Dominic Cummings avait publié la semaine dernière sur son blog une annonce de recrutement inhabituelle, militant pour une diversification des profils dans la fonction publique.
Parmi les profils recherchés figuraient des scientifiques spécialisés dans les données, des développeurs de logiciels, des économistes, mais aussi "des tordus et des marginaux avec des compétences bizarres".