Alors que plus d’une vingtaine d’élèves tombent enceintes chaque année dans le lycée hôtelier de Punaauia à Tahiti, des infirmières du CCSPMI ( Centre de Consultation Spécialisée en Protection Maternelle et Infantile) ont décidé de prendre les devants en informant les jeunes filles sur la contraception. Anneau vaginal, pilule contraceptive ou patch contraceptif, les élèves infirmières s’engagent à former les jeunes étudiantes sur les différents choix de contraception qui s’offrent à elles.
Pour la directrice du Lycée Hôtelier, le projet pilote était une évidence. Depuis 2006, le nombre de grossesse chez les jeunes lycéennes, notamment les élèves de Terminale, n’a fait qu’augmenter, soit environ une vingtaine par an, dix fois plus que dans un lycée général.
Un questionnaire distribué aux jeunes filles a ensuite permis aux infirmières de comprendre les raisons pour lesquelles les lycéennes délaissaient ou utilisaient mal les moyens de contraception. Les réponses fournies ont ainsi poussé la mairie à libérer les moyens nécessaires pour mieux informer les adolescentes sur les moyens de contraception. Sexualité, mais aussi anneau vaginal, pilule contraceptive, patch contraceptif, les infirmières aborderont touts les sujets relatif à la contraception.
Pour ces infirmières, c’est aussi l’occasion de mettre un terme à de nombreuses idées reçues, notamment « la pilule fait grossir » ou « je suis enceinte pour garder mon copain ». Des affirmations qui ont été retrouvées à de nombreuses reprises dans les questionnaires.
Le projet pilote est pour l’instant programmée pour une durée de quatre ans. 2016 sera donc l’occasion de refaire le bilan contraceptif des jeunes tahitiennes.
Pour la directrice du Lycée Hôtelier, le projet pilote était une évidence. Depuis 2006, le nombre de grossesse chez les jeunes lycéennes, notamment les élèves de Terminale, n’a fait qu’augmenter, soit environ une vingtaine par an, dix fois plus que dans un lycée général.
Un questionnaire distribué aux jeunes filles a ensuite permis aux infirmières de comprendre les raisons pour lesquelles les lycéennes délaissaient ou utilisaient mal les moyens de contraception. Les réponses fournies ont ainsi poussé la mairie à libérer les moyens nécessaires pour mieux informer les adolescentes sur les moyens de contraception. Sexualité, mais aussi anneau vaginal, pilule contraceptive, patch contraceptif, les infirmières aborderont touts les sujets relatif à la contraception.
Pour ces infirmières, c’est aussi l’occasion de mettre un terme à de nombreuses idées reçues, notamment « la pilule fait grossir » ou « je suis enceinte pour garder mon copain ». Des affirmations qui ont été retrouvées à de nombreuses reprises dans les questionnaires.
Le projet pilote est pour l’instant programmée pour une durée de quatre ans. 2016 sera donc l’occasion de refaire le bilan contraceptif des jeunes tahitiennes.