Le horse-ball une discipline des plus spectaculaires qui fait sa place au fenua depuis cinq ans maintenant.
Tahiti, le 6 mars 2022 - La Fédération tahitienne d'équitation a inauguré, samedi à l'hippodrome de Pirae, son nouveau terrain de horse-ball. Un nouvel équipement qui servira notamment à la préparation des équipes poussins, benjamins et cadets qui s'envoleront en mai prochain pour les championnats de France.
L'hippodrome de Pirae était en émulation, samedi en fin d'après-midi. La raison : l'inauguration d'un nouveau terrain de horse-ball. Une discipline introduite il y a maintenant cinq ans au fenua par la Antonin Mianne, cadre technique de la Fédération tahitienne d'équitation (FTE), et qui a le vent en poupe auprès des plus jeunes. "On va dire que 90% de mes horse-balleurs ont entre 8 et 16 ans, même si j'ai quelques joueurs plus âgés qui étaient en cadets et qui continuent de jouer. Aujourd'hui on doit avoir 100 licenciés qui font du horse-ball", indique le technicien de la FTE. "
Quelques uns de ces jeunes talents ont d'ailleurs pu s'exprimer, samedi, en proposant deux matchs d'exhibition à la cinquantaine de spectateurs qui s'était déplacé à l'hippodrome. L'occasion pour les non-initiés de découvrir une discipline spectaculaire, "très proche du rugby", explique Antonin Mianne, et où les cavaliers montent avec une selle spéciale. "Le horse-ball, c'est une discipline très simple. Comme au foot il y a deux buts, représentés par des paniers verticaux. C'est l'équipe qui a mis le plus de buts qui l'emporte. Après comme tous les autres sports, il y a des subtilités mais cela reste un sport très simple."
L'hippodrome de Pirae était en émulation, samedi en fin d'après-midi. La raison : l'inauguration d'un nouveau terrain de horse-ball. Une discipline introduite il y a maintenant cinq ans au fenua par la Antonin Mianne, cadre technique de la Fédération tahitienne d'équitation (FTE), et qui a le vent en poupe auprès des plus jeunes. "On va dire que 90% de mes horse-balleurs ont entre 8 et 16 ans, même si j'ai quelques joueurs plus âgés qui étaient en cadets et qui continuent de jouer. Aujourd'hui on doit avoir 100 licenciés qui font du horse-ball", indique le technicien de la FTE. "
Quelques uns de ces jeunes talents ont d'ailleurs pu s'exprimer, samedi, en proposant deux matchs d'exhibition à la cinquantaine de spectateurs qui s'était déplacé à l'hippodrome. L'occasion pour les non-initiés de découvrir une discipline spectaculaire, "très proche du rugby", explique Antonin Mianne, et où les cavaliers montent avec une selle spéciale. "Le horse-ball, c'est une discipline très simple. Comme au foot il y a deux buts, représentés par des paniers verticaux. C'est l'équipe qui a mis le plus de buts qui l'emporte. Après comme tous les autres sports, il y a des subtilités mais cela reste un sport très simple."
Un titre de champion de France cadet conquis en 2018
Objectif pour les équipes de quatre, marquer dans des paniers verticaux.
Si la discipline est donc encore toute jeune au fenua, les cavaliers polynésiens ont déjà eu l'occasion de briller lors des championnats de France, avec notamment un titre décroché en 2018 par une équipe de cadet. "Ces dernières années on a très bien performé sur cette compétition avec un titre de champion de France et de vice-champion en cadet. Aujourd'hui, j'ai beaucoup de jeunes qui pratiquent du horse-ball et qui ont le niveau pour rivaliser avec les cavaliers de la métropole", ajoute le cadre technique de la FTE.
Et pour les prochains championnats de France, programmés pour mai prochain, quatre équipes (poussins, benjamins et cadets), soit 16 enfants, participeront à cette compétition. "Jouer devant un public comme c'était le cas pour cette inauguration, c'était l'occasion pour eux de se familiariser avec cet environnement. Et puis plus ils iront tôt participer à ce type de compétition, plus vite ils prendront de l'expérience et certains pourraient même être remarqués par les équipes de France", explique Antonin Mianne. Le horse-ball a de beaux jours à venir au fenua.
Et pour les prochains championnats de France, programmés pour mai prochain, quatre équipes (poussins, benjamins et cadets), soit 16 enfants, participeront à cette compétition. "Jouer devant un public comme c'était le cas pour cette inauguration, c'était l'occasion pour eux de se familiariser avec cet environnement. Et puis plus ils iront tôt participer à ce type de compétition, plus vite ils prendront de l'expérience et certains pourraient même être remarqués par les équipes de France", explique Antonin Mianne. Le horse-ball a de beaux jours à venir au fenua.