PAPEETE, jeudi 7 février 2013. Les rangs de l’opposition étaient bousculés ce jeudi pour l’ouverture de la session extraordinaire de l’assemblée de Polynésie française. En effet, les élus se revendiquant du nouveau mouvement politique A Ti'a Porinetia (ils sont au total 12 élus dans les rangs de l’assemblée) n’ont pas pu siéger côte à côte au sein de l’hémicycle. En cause, les démarches obligatoires à mener, pour faire enregistrer un nouveau groupe politique au sein de l’assemblée territoriale qui n’ont pas encore abouti.
En ouverture des débats, Gaston Tong Sang demandait une suspension de séance pour que la réorganisation physique des différents groupes politiques dans l’hémicycle puisse se faire. Mais le président Jacqui Drollet a opposé à cela plusieurs raisons réglementaires. En effet, pour être valable le changement de dénomination d’un groupe politique de l’assemblée, ne devient effectif qu’après sa publication au Journal Officiel de la Polynésie française, ce qui n’est pas le cas. Enfin, les élus se ralliant à ce nouveau groupe ont adressé des courriers au président de l’assemblée, expliquant leur démarche, mais en omettant de dater ces documents. «Quand les membres de ce nouveau groupe politique auront précisé leur date d’adhésion au groupe et que la publication sera enregistrée au Journal Officiel, alors je considèrerai que le groupe existe» concluait Jacqui Drollet.
Teva Rohfritsch a réagi à cet incident par un communiqué de presse
En ouverture des débats, Gaston Tong Sang demandait une suspension de séance pour que la réorganisation physique des différents groupes politiques dans l’hémicycle puisse se faire. Mais le président Jacqui Drollet a opposé à cela plusieurs raisons réglementaires. En effet, pour être valable le changement de dénomination d’un groupe politique de l’assemblée, ne devient effectif qu’après sa publication au Journal Officiel de la Polynésie française, ce qui n’est pas le cas. Enfin, les élus se ralliant à ce nouveau groupe ont adressé des courriers au président de l’assemblée, expliquant leur démarche, mais en omettant de dater ces documents. «Quand les membres de ce nouveau groupe politique auront précisé leur date d’adhésion au groupe et que la publication sera enregistrée au Journal Officiel, alors je considèrerai que le groupe existe» concluait Jacqui Drollet.
Teva Rohfritsch a réagi à cet incident par un communiqué de presse