En réunion publique ce lundi à Moorea pour la préparation de la primaire des Républicains, Gaston Flosse a justifié son choix de soutenir Nicolas Sarkozy par ces mots : "parce qu’il m’a pardonné".
Pardonné quoi ? Est-ce que Nicolas Sarkozy a maltraité la Polynésie française pour faire payer à Gaston Flosse ses fautes ? La responsabilité de l’attitude de l’ancien président de la République est donc due à Gaston Flosse ?
Si ce "pardon" est bien la raison du ralliement de Gaston Flosse à Sarkozy, c’est une nouvelle démonstration que le président du Tahoeraa Huiraatira n’a pris en compte dans son choix que ses intérêts personnels et pas du tout les intérêts collectifs.
La Polynésie française dans son ensemble aurait été "punie" par Nicolas Sarkozy, mais puisqu’il aurait passé l’éponge, Gaston Flosse peut demander à ses militants de voter pour l’ancien président.
Gaston Flosse serait alors bien inspiré de prendre l’exemple de son candidat à la primaire et de mettre un terme à ses aigreurs et à la guerre qu’il mène contre Edouard Fritch pour démontrer, enfin, que ce qui compte avant tout pour lui, c’est de servir l’intérêt des Polynésiens.
Pardonné quoi ? Est-ce que Nicolas Sarkozy a maltraité la Polynésie française pour faire payer à Gaston Flosse ses fautes ? La responsabilité de l’attitude de l’ancien président de la République est donc due à Gaston Flosse ?
Si ce "pardon" est bien la raison du ralliement de Gaston Flosse à Sarkozy, c’est une nouvelle démonstration que le président du Tahoeraa Huiraatira n’a pris en compte dans son choix que ses intérêts personnels et pas du tout les intérêts collectifs.
La Polynésie française dans son ensemble aurait été "punie" par Nicolas Sarkozy, mais puisqu’il aurait passé l’éponge, Gaston Flosse peut demander à ses militants de voter pour l’ancien président.
Gaston Flosse serait alors bien inspiré de prendre l’exemple de son candidat à la primaire et de mettre un terme à ses aigreurs et à la guerre qu’il mène contre Edouard Fritch pour démontrer, enfin, que ce qui compte avant tout pour lui, c’est de servir l’intérêt des Polynésiens.