PAPEETE, le 4 mai 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le président Edouard Fritch, entouré de ses ministres, a reçu vendredi matin les centrales syndicales CSTP-FO, A Tia I Mua, Otahi et O Oe To Oe Rima, à l’occasion de la fête du travail.Cette rencontre est traditionnellement un moment d’échange avec le gouvernement au cours duquel les syndicats présentent leurs principales doléances.
Les échanges ont été détendus, le président appelant les syndicats à « être des partenaires avec lesquels nous devons composer pour l’intérêt général ». Il a également souligné que la présence des ministres montrait l’intérêt de l’ensemble du gouvernement pour le dialogue.
Les discussions avec les différentes centrales ont permis d’aborder une large palette de points d’inquiétudes, allant de la réforme de la PSG en passant par tous les secteurs de l’économie, ainsi que par la fonction publique territoriale, la réforme du code du travail ou encore la protection de l’emploi local ou l’indemnité pour les travailleurs involontairement privés d’emploi.Le gouvernement a pu ainsi exposer sa méthode et le calendrier de travail sur les différents sujets abordés avec les syndicats, et notamment sur les grands dossiers que sont les réformes de la PSG et du code du travail, pour lesquels les travaux sont déjà en cours.
Sur le plan économique, et notamment sur le chantier du Mahana Beach, le président a fait valoir qu’il se préoccupait du calendrier de mise en œuvre des formations pour les métiers qui seront requis afin que les emplois bénéficient bien aux Polynésiens.
Sur les questions relatives à la fonction publique territoriale, le vice-président a annoncé la tenue d’une réunion avec l’ensemble des syndicats, le 21 mai prochain, afin d’ouvrir les différents dossiers, et notamment pour ce qui concerne la demande de revalorisation du point d’indice gelé depuis 2008. Mais le président, en soulignant l’esprit de dialogue des syndicats, a souligné qu’il faudrait procéder par étape.
Enfin, les syndicats ont abordé la question des conflits en cours. Sur ce point, le président a souhaité que l’on puisse sortir rapidement de ces situations de crise. Il a toutefois précisé : « J’aime mieux qu’on se rencontre avant les mouvements de grève que pendant. Lorsqu’on est à la grève, c’est que le dialogue est rompu. J’ai demandé aux ministres de ne pas rentrer dans les discussions de crise car ils seront là pour arbitrer au final ».
Les échanges ont été détendus, le président appelant les syndicats à « être des partenaires avec lesquels nous devons composer pour l’intérêt général ». Il a également souligné que la présence des ministres montrait l’intérêt de l’ensemble du gouvernement pour le dialogue.
Les discussions avec les différentes centrales ont permis d’aborder une large palette de points d’inquiétudes, allant de la réforme de la PSG en passant par tous les secteurs de l’économie, ainsi que par la fonction publique territoriale, la réforme du code du travail ou encore la protection de l’emploi local ou l’indemnité pour les travailleurs involontairement privés d’emploi.Le gouvernement a pu ainsi exposer sa méthode et le calendrier de travail sur les différents sujets abordés avec les syndicats, et notamment sur les grands dossiers que sont les réformes de la PSG et du code du travail, pour lesquels les travaux sont déjà en cours.
Sur le plan économique, et notamment sur le chantier du Mahana Beach, le président a fait valoir qu’il se préoccupait du calendrier de mise en œuvre des formations pour les métiers qui seront requis afin que les emplois bénéficient bien aux Polynésiens.
Sur les questions relatives à la fonction publique territoriale, le vice-président a annoncé la tenue d’une réunion avec l’ensemble des syndicats, le 21 mai prochain, afin d’ouvrir les différents dossiers, et notamment pour ce qui concerne la demande de revalorisation du point d’indice gelé depuis 2008. Mais le président, en soulignant l’esprit de dialogue des syndicats, a souligné qu’il faudrait procéder par étape.
Enfin, les syndicats ont abordé la question des conflits en cours. Sur ce point, le président a souhaité que l’on puisse sortir rapidement de ces situations de crise. Il a toutefois précisé : « J’aime mieux qu’on se rencontre avant les mouvements de grève que pendant. Lorsqu’on est à la grève, c’est que le dialogue est rompu. J’ai demandé aux ministres de ne pas rentrer dans les discussions de crise car ils seront là pour arbitrer au final ».