Le gouvernement déplore les manœuvres purement politiciennes qui ont conduit 5 élus de la commission des finances, unis pour la circonstance, à demander le report du texte, refusant ainsi que les 57 élus puissent s’exprimer en séance plénière sur le fond du dossier.
Ces manœuvres visent, comme tout le monde l’aura compris, à entraver l’action du gouvernement qui avait déposé le projet de collectif budgétaire il y a maintenant un mois sur le bureau de l’assemblée. Le dernier stratagème imaginé hier cache surtout le fait que ces élus n’ont pas voulu prendre la responsabilité publique et politique de voter contre le collectif.
A l’heure où de trop nombreuses familles souffrent du chômage, ces élus guidés par préoccupations opposées aux attentes de la population tentent d’empêcher le déblocage immédiat de près d’un milliard de crédits en faveur de l’emploi qui sont inscrits dans ce collectif.
Soucieux de répondre aux réels problèmes des Polynésiens, le gouvernement, dans son ensemble, demande donc que tous les représentants puissent se prononcer rapidement sur ce collectif budgétaire, en y apportant le cas échéant des amendements.
Ces manœuvres visent, comme tout le monde l’aura compris, à entraver l’action du gouvernement qui avait déposé le projet de collectif budgétaire il y a maintenant un mois sur le bureau de l’assemblée. Le dernier stratagème imaginé hier cache surtout le fait que ces élus n’ont pas voulu prendre la responsabilité publique et politique de voter contre le collectif.
A l’heure où de trop nombreuses familles souffrent du chômage, ces élus guidés par préoccupations opposées aux attentes de la population tentent d’empêcher le déblocage immédiat de près d’un milliard de crédits en faveur de l’emploi qui sont inscrits dans ce collectif.
Soucieux de répondre aux réels problèmes des Polynésiens, le gouvernement, dans son ensemble, demande donc que tous les représentants puissent se prononcer rapidement sur ce collectif budgétaire, en y apportant le cas échéant des amendements.