PAPEETE, le 26 février 2015. L'atelier pour la réforme des retraites, regroupant patrons, salariés, membres d'associations de retraites..., a été mis en place ce jeudi. Objectif : avoir des propositions concrètes à la fin du premier semestre, avant les discussions budgétaires de la CPS pour 2016.
En 1989, 11,2 actifs finançaient un retraité. En 1999, ce nombre était déjà baissé à 4,5 cotisants. Aujourd'hui, nous sommes à environ deux actifs pour financer un retraité. Santé et retraite représentant à elles seules 85 % des dépenses de la protection sociale généralisée. C'est par le premier gros dossier de la retraite que les ateliers, réunissant des représentants des employeurs et des salariés, des représentants de l’Assemblée de Polynésie française, des membres des associations de retraités, des membres de la jeune chambre économique et des membres du Syndicat pour la Promotion de Communes., ont débuté hier au CESC. Viendra ensuite le volet santé.
Le but de la première réunion qui s'est tenue ce jeudi était « de mettre tout le monde au même niveau de connaissances, expliquer pour certains ce qu'est un régime par répartitions, quelles sont les réformes prises, les conséquences de ces réformes et, pour demain, ce qu'il reste à faire », explique Luc Tapeta, conseiller spécial au gouvernement pour la réforme de la protection sociale généralisée (PSG). Une rencontre est ensuite prévue chaque semaine. L'objectif, pour respecter la convention dans le cadre du retour de l’État au RST, est de restituer les propositions avant que les discussions budgétaires pour 2016 de la CPS débutent.
Du côté des syndicats de salariés, on est venu ce jeudi avec des propositions en mains. « A Ti'a i Mua l'a déjà dit depuis très longtemps : nous sommes d'accord pour aller à 38 ans de cotisations pour la retraite. On est à 35 années actuellement», rappelle Yves Laugrost de A Ti'a i Mua. « Ensuite, nous demandons la mise en place de retraites complémentaires. »
En 1989, 11,2 actifs finançaient un retraité. En 1999, ce nombre était déjà baissé à 4,5 cotisants. Aujourd'hui, nous sommes à environ deux actifs pour financer un retraité. Santé et retraite représentant à elles seules 85 % des dépenses de la protection sociale généralisée. C'est par le premier gros dossier de la retraite que les ateliers, réunissant des représentants des employeurs et des salariés, des représentants de l’Assemblée de Polynésie française, des membres des associations de retraités, des membres de la jeune chambre économique et des membres du Syndicat pour la Promotion de Communes., ont débuté hier au CESC. Viendra ensuite le volet santé.
Le but de la première réunion qui s'est tenue ce jeudi était « de mettre tout le monde au même niveau de connaissances, expliquer pour certains ce qu'est un régime par répartitions, quelles sont les réformes prises, les conséquences de ces réformes et, pour demain, ce qu'il reste à faire », explique Luc Tapeta, conseiller spécial au gouvernement pour la réforme de la protection sociale généralisée (PSG). Une rencontre est ensuite prévue chaque semaine. L'objectif, pour respecter la convention dans le cadre du retour de l’État au RST, est de restituer les propositions avant que les discussions budgétaires pour 2016 de la CPS débutent.
Du côté des syndicats de salariés, on est venu ce jeudi avec des propositions en mains. « A Ti'a i Mua l'a déjà dit depuis très longtemps : nous sommes d'accord pour aller à 38 ans de cotisations pour la retraite. On est à 35 années actuellement», rappelle Yves Laugrost de A Ti'a i Mua. « Ensuite, nous demandons la mise en place de retraites complémentaires. »