PORT-HEDLAND, jeudi 12 janvier 2012 (Flash d’Océanie) – Le cyclone tropical Heidi a frappé jeudi les côtes occidentales de l’Australie, en particulier dans la région de Port-Hedland, où se trouvent plusieurs sites d’exploitation minière.
Ce phénomène, l’un des premiers de la saison d’été austral, a été élevé à une catégorie deux ces vingt quatre dernières heures.
Heidi est passé, au courant de la matinée de jeudi (heure locale, GMT+8), dans les environs de Pilbara, avec des vents en son centre atteignant les cent cinquante kilomètres heure en rafales.
Ce cyclone continuait jeudi sa progression en empruntant une direction Sud-sud-ouest, à une vitesse de déplacement d’une douzaine de kilomètres par heure, ont précisé les autorités météorologiques, qui maintiennent une alerte pour les zones les plus directement concernées (y compris Port-Hedland) dont les habitants ont toujours pour consigne de ne pas sortir d leurs domiciles.
Les premiers dégâts sont toujours en cours d’évaluation et comprennent déjà des toits arrachés, des arbres abattus et des lignes électriques coupées, privant ainsi d’électricité plusieurs milliers de foyers.
Par précaution, les activités d’extraction et de chargement des sociétés minières présentes dans cette zone (BHP Billiton, Rio Tinto, Fortescue) et de leur port en eaux profondes ont aussi été interrompues.
Entre-temps, toujours dans la même région occidentale de l’Australie, les autorités du bureau fédéral de la sécurité des transports (Australian Transport Safety Bureau, ATSB) ont ouvert une enquête afin de déterminer les causes d’un accident maritime qui a eu pour conséquence le naufrage dimanche 8 janvier 2012 d’un bateau, le MV Tycoon, transportant des milliers de tonnes de phosphate.
Le bateau de 85 mètres, enregistré au Panama, a rompu ses amarres avant de se rompre en deux et de sombrer, causant un impact environnemental sur le récif au large de l’île de Christmas (où se trouve par ailleurs l’un des principaux centre australiens de traitement et de rétention des immigrants clandestins).
Un rapport préliminaire est attendu pour mi-février 2012.
Une équipe de biologistes marins se trouve aussi à pied d’œuvre sur zone afin d’évaluer l’impact environnemental de ce naufrage.
pad
Ce phénomène, l’un des premiers de la saison d’été austral, a été élevé à une catégorie deux ces vingt quatre dernières heures.
Heidi est passé, au courant de la matinée de jeudi (heure locale, GMT+8), dans les environs de Pilbara, avec des vents en son centre atteignant les cent cinquante kilomètres heure en rafales.
Ce cyclone continuait jeudi sa progression en empruntant une direction Sud-sud-ouest, à une vitesse de déplacement d’une douzaine de kilomètres par heure, ont précisé les autorités météorologiques, qui maintiennent une alerte pour les zones les plus directement concernées (y compris Port-Hedland) dont les habitants ont toujours pour consigne de ne pas sortir d leurs domiciles.
Les premiers dégâts sont toujours en cours d’évaluation et comprennent déjà des toits arrachés, des arbres abattus et des lignes électriques coupées, privant ainsi d’électricité plusieurs milliers de foyers.
Par précaution, les activités d’extraction et de chargement des sociétés minières présentes dans cette zone (BHP Billiton, Rio Tinto, Fortescue) et de leur port en eaux profondes ont aussi été interrompues.
Entre-temps, toujours dans la même région occidentale de l’Australie, les autorités du bureau fédéral de la sécurité des transports (Australian Transport Safety Bureau, ATSB) ont ouvert une enquête afin de déterminer les causes d’un accident maritime qui a eu pour conséquence le naufrage dimanche 8 janvier 2012 d’un bateau, le MV Tycoon, transportant des milliers de tonnes de phosphate.
Le bateau de 85 mètres, enregistré au Panama, a rompu ses amarres avant de se rompre en deux et de sombrer, causant un impact environnemental sur le récif au large de l’île de Christmas (où se trouve par ailleurs l’un des principaux centre australiens de traitement et de rétention des immigrants clandestins).
Un rapport préliminaire est attendu pour mi-février 2012.
Une équipe de biologistes marins se trouve aussi à pied d’œuvre sur zone afin d’évaluer l’impact environnemental de ce naufrage.
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