Rappelons tout d’abord que la décision a été prise de suspendre la procédure de cession du bien compte tenu du peu d’engouement des investisseurs, la dernière proposition étant de 4 225 000 NZ$, soit un montant bien inférieur à la fourchette de négociation (entre 5,1 et 5,8 millions de NZ$) fixée par la commission des évaluations foncières.
Pour autant, « les discussions continuent avec des acheteurs potentiels » a précisé le vice-président qui, fort de ses premiers contacts en Nouvelle-Zélande, souhaite consulter le conseil des ministres dés « la semaine prochaine » pour arrêter la stratégie à suivre. Une chose est sûre : l’estimation de la CEI n’apparaît pas en rapport avec la réalité du marché immobilier néozélandais à ce jour
Quand bien même le vice-président reconnaît quelque part « avoir du mal à se séparer d’un tel bien », il n’empêche que « nous n’avons plus les moyens de le conserver et de l’exploiter ».
Tout en réaffirmant enfin que cette acquisition avait été faite à l’époque (2006) bien au dessus du prix du marché, son maintien dans le patrimoine polynésien condamne par ailleurs le Pays à engager d’importants travaux de rénovation et de remise en état estimés à environ 400 millions de Fcfp. « Et si nous ne le faisions pas, la ville d’Auckland, auprès de qui le bâtiment historique est classé, serait fondée à le faire à notre place avant d’exiger un remboursement de notre part », a t-il conclu.
Pour autant, « les discussions continuent avec des acheteurs potentiels » a précisé le vice-président qui, fort de ses premiers contacts en Nouvelle-Zélande, souhaite consulter le conseil des ministres dés « la semaine prochaine » pour arrêter la stratégie à suivre. Une chose est sûre : l’estimation de la CEI n’apparaît pas en rapport avec la réalité du marché immobilier néozélandais à ce jour
Quand bien même le vice-président reconnaît quelque part « avoir du mal à se séparer d’un tel bien », il n’empêche que « nous n’avons plus les moyens de le conserver et de l’exploiter ».
Tout en réaffirmant enfin que cette acquisition avait été faite à l’époque (2006) bien au dessus du prix du marché, son maintien dans le patrimoine polynésien condamne par ailleurs le Pays à engager d’importants travaux de rénovation et de remise en état estimés à environ 400 millions de Fcfp. « Et si nous ne le faisions pas, la ville d’Auckland, auprès de qui le bâtiment historique est classé, serait fondée à le faire à notre place avant d’exiger un remboursement de notre part », a t-il conclu.