PUNAAUIA, le 29 juillet 2019 - La 16e édition du festival de danse "Te Hura Nui" du Tahiti Ia Ora Beach Resort ouvre ses portes vendredi. Cette année, l’événement se fera uniquement les vendredis du mois d’août, avec quatre groupes de danse. Autre nouveauté, le concours du meilleur couple de danseurs qui revient sur le devant de la scène.
Le festival de danse "Te Hura Nui" du Tahiti Ia Ora Beach Resort (ancien Méridien) ouvre ses portes vendredi soir. Cette année, les soirées de spectacle se feront tous les vendredis du mois d’août (voir programme ci-contre), et comme à l’accoutumée, des groupes de ‘ori tahiti du heiva les animeront.
Ce festival de danse a été créé afin de permettre aux touristes ou aux locaux -qui n’ont pas eu l’occasion de suivre le Heiva i Tahiti- de découvrir la prestation des groupes choisis pour l’événement. Pour cette 16e édition, vous retrouverez Hitireva, Teva i Tai ou encore Temaeva. Chaque groupe devra, par la même occasion, présenter un couple de meilleurs danseurs. Tous deux participeront au concours du meilleur couple qui revient sur le devant de la scène, cette année. "J’appellerai ce concours, le Te Hura Nui. C’est pour donner cet esprit de compétition à chaque groupe de danse", explique Teva Teriitemoehaa, fondateur du Te Hura Nui.
En plus des spectacles de danse qui seront proposés, les convives pourront déguster les différents plats qui seront préparés pour l’occasion, sur le thème des fruits de mer. "Nous avons 60 à 70 kilos de langoustes par soirée", indique Jérémy Martin, chef cuisinier du Tahiti Ia Ora Beach Resort.
Le festival de danse "Te Hura Nui" du Tahiti Ia Ora Beach Resort (ancien Méridien) ouvre ses portes vendredi soir. Cette année, les soirées de spectacle se feront tous les vendredis du mois d’août (voir programme ci-contre), et comme à l’accoutumée, des groupes de ‘ori tahiti du heiva les animeront.
Ce festival de danse a été créé afin de permettre aux touristes ou aux locaux -qui n’ont pas eu l’occasion de suivre le Heiva i Tahiti- de découvrir la prestation des groupes choisis pour l’événement. Pour cette 16e édition, vous retrouverez Hitireva, Teva i Tai ou encore Temaeva. Chaque groupe devra, par la même occasion, présenter un couple de meilleurs danseurs. Tous deux participeront au concours du meilleur couple qui revient sur le devant de la scène, cette année. "J’appellerai ce concours, le Te Hura Nui. C’est pour donner cet esprit de compétition à chaque groupe de danse", explique Teva Teriitemoehaa, fondateur du Te Hura Nui.
En plus des spectacles de danse qui seront proposés, les convives pourront déguster les différents plats qui seront préparés pour l’occasion, sur le thème des fruits de mer. "Nous avons 60 à 70 kilos de langoustes par soirée", indique Jérémy Martin, chef cuisinier du Tahiti Ia Ora Beach Resort.
Programme du Te Hura Nui
Vendredi 2 août : Hitireva
Vendredi 9 août : Temaeva
Vendredi 16 août : Tamari’i Mataiea
Vendredi 23 août : Teva i Tai
Vendredi 30 août : Tere’ori
Vendredi 9 août : Temaeva
Vendredi 16 août : Tamari’i Mataiea
Vendredi 23 août : Teva i Tai
Vendredi 30 août : Tere’ori
Infos pratiques
Tarifs :
Non dineurs : 2 000 francs
Dineur : 10 900 francs (hors boissons)
Enfant moins de 12 ans : 5 450 francs (hors boissons)
Package hébergement pour 2 personnes, comprenant diner-spectacle + nuit en chambre vue jardin + petit déjeuner américain : 39 500 francs.
Réservations au 40 47 07 99.
Non dineurs : 2 000 francs
Dineur : 10 900 francs (hors boissons)
Enfant moins de 12 ans : 5 450 francs (hors boissons)
Package hébergement pour 2 personnes, comprenant diner-spectacle + nuit en chambre vue jardin + petit déjeuner américain : 39 500 francs.
Réservations au 40 47 07 99.
La parole à
Teva Teriitemoehaa
Fondateur du "Te Hura Nui"
"On va noter la gestuelle, la complicité du couple par rapport au thème"
"On a remis en place le concours du meilleur couple de danseurs. On va noter la gestuelle, la complicité du couple par rapport au thème, les recherches et la chorégraphie.
Nous allons surélever notre motu, avec une autre scène qui sera un peu en arrière. Normalement, le quota est de 40 danseurs et danseuses, mais nous pouvons aller jusqu’à 50. Les chefs de groupe sauront s’adapter pour faire évoluer une centaine de danseurs sur cette scène.
Concernant les convives, nous pouvons accueillir jusqu’à 300 personnes. Mais, je privilégie la qualité. 250 c’est très bien, parce qu’on veut que le client soit bien accueilli et se sente bien. "
Fondateur du "Te Hura Nui"
"On va noter la gestuelle, la complicité du couple par rapport au thème"
"On a remis en place le concours du meilleur couple de danseurs. On va noter la gestuelle, la complicité du couple par rapport au thème, les recherches et la chorégraphie.
Nous allons surélever notre motu, avec une autre scène qui sera un peu en arrière. Normalement, le quota est de 40 danseurs et danseuses, mais nous pouvons aller jusqu’à 50. Les chefs de groupe sauront s’adapter pour faire évoluer une centaine de danseurs sur cette scène.
Concernant les convives, nous pouvons accueillir jusqu’à 300 personnes. Mais, je privilégie la qualité. 250 c’est très bien, parce qu’on veut que le client soit bien accueilli et se sente bien. "
Jérémy Martin
Chef cuisinier
"Ça va être un beau buffet"
"On a de la chance d’avoir des chefs qui sont venus et qui nous ont donné des conseils, sur la décoration, par exemple, ça va être un beau buffet. Il y a toujours un stock de langoustes en plus et partir sur une langouste chaude, c’est un plus. On va faire aussi du cochon laqué. Il y aura aussi des moules marinières, du sashimi, des coquillages… Cette année, on prendra les huîtres de France. Il y aura aussi un stand sushis, avec plusieurs verrines pour découvrir plusieurs saveurs. Il y aura des desserts vraiment variés et pas trop sucrés."
Chef cuisinier
"Ça va être un beau buffet"
"On a de la chance d’avoir des chefs qui sont venus et qui nous ont donné des conseils, sur la décoration, par exemple, ça va être un beau buffet. Il y a toujours un stock de langoustes en plus et partir sur une langouste chaude, c’est un plus. On va faire aussi du cochon laqué. Il y aura aussi des moules marinières, du sashimi, des coquillages… Cette année, on prendra les huîtres de France. Il y aura aussi un stand sushis, avec plusieurs verrines pour découvrir plusieurs saveurs. Il y aura des desserts vraiment variés et pas trop sucrés."
Kehaulani Chanquy
Chef du groupe Hitireva
"Là, nous dansons pour le public et nos familles qui sont attablés, c’est différent"
"Entre le dernier passage et le Te Hura Nui, beaucoup de danseurs ont décidé de partir en vacances, donc il y aura moins de monde. Mais, ce n’est pas plus mal, parce que nous étions 200 sur To’atā et la capacité d’accueil de l’hôtel est moindre. Le fait de refaire nos chorégraphies n’est pas stressant pour nous, parce que nous ne sommes pas dans le même contexte. Là, nous dansons pour le public et nos familles qui sont attablés, c’est différent. Nous invitons donc tous ceux qui sont passionnés du heiva et du ‘ori tahiti à venir à ces soirées, parce qu’il va y avoir aussi le concours du meilleur couple que chaque groupe présentera. Il y a toujours quelque chose de nouveau. Pour ce concours, il fallait sélectionner nos candidats. Nous avons donc choisi les personnes qui s’investissent plus que d’autres et qui sont motivées. C’est une préparation physique et mentale et le but est de présenter quelque chose d’intéressant, de cohérent et dynamique par rapport au thème."
Chef du groupe Hitireva
"Là, nous dansons pour le public et nos familles qui sont attablés, c’est différent"
"Entre le dernier passage et le Te Hura Nui, beaucoup de danseurs ont décidé de partir en vacances, donc il y aura moins de monde. Mais, ce n’est pas plus mal, parce que nous étions 200 sur To’atā et la capacité d’accueil de l’hôtel est moindre. Le fait de refaire nos chorégraphies n’est pas stressant pour nous, parce que nous ne sommes pas dans le même contexte. Là, nous dansons pour le public et nos familles qui sont attablés, c’est différent. Nous invitons donc tous ceux qui sont passionnés du heiva et du ‘ori tahiti à venir à ces soirées, parce qu’il va y avoir aussi le concours du meilleur couple que chaque groupe présentera. Il y a toujours quelque chose de nouveau. Pour ce concours, il fallait sélectionner nos candidats. Nous avons donc choisi les personnes qui s’investissent plus que d’autres et qui sont motivées. C’est une préparation physique et mentale et le but est de présenter quelque chose d’intéressant, de cohérent et dynamique par rapport au thème."
Heimoana Metua
Chef du groupe Teva i Tai
"Nous sommes quand même très demandés"
"On s’attendait quand même à être sur le podium, après c’est le jeu et on a accepté de participer au heiva. C’est vrai que nous sommes honorés parce que nous sommes quand même très demandés. On vient de finir un week-end avec deux prestations à la suite. Là, on continue avec le Te Hura Nui et nous irons aussi à l’Intercontinental. Les danseurs vont très bien, certains sont déçus, c’est tout à fait normal. On leur a mis la pression pendant six mois pour obtenir quelque chose. Mais je leur ai toujours inculqué le fair-play. Ils gardent le moral et c’est bien. Ils aiment leur danse et leur culture. Du coup, ils sont toujours présents. Le concours du meilleur couple de danseurs existait avant à To’atā et je suis contente qu’il soit mis en place au Te Hura Nui. En tout cas, nous ne représenterons pas nos meilleurs danseurs, on a décidé de prendre un autre couple qui n’en est pas un dans la vraie vie. Ça fait à peine quelques jours qu’ils travaillent dessus. Je les ai choisi parce que ce sont des personnes qui peuvent le faire et ils peuvent mettre en avant cette complicité et ce feeling sur scène. "
Chef du groupe Teva i Tai
"Nous sommes quand même très demandés"
"On s’attendait quand même à être sur le podium, après c’est le jeu et on a accepté de participer au heiva. C’est vrai que nous sommes honorés parce que nous sommes quand même très demandés. On vient de finir un week-end avec deux prestations à la suite. Là, on continue avec le Te Hura Nui et nous irons aussi à l’Intercontinental. Les danseurs vont très bien, certains sont déçus, c’est tout à fait normal. On leur a mis la pression pendant six mois pour obtenir quelque chose. Mais je leur ai toujours inculqué le fair-play. Ils gardent le moral et c’est bien. Ils aiment leur danse et leur culture. Du coup, ils sont toujours présents. Le concours du meilleur couple de danseurs existait avant à To’atā et je suis contente qu’il soit mis en place au Te Hura Nui. En tout cas, nous ne représenterons pas nos meilleurs danseurs, on a décidé de prendre un autre couple qui n’en est pas un dans la vraie vie. Ça fait à peine quelques jours qu’ils travaillent dessus. Je les ai choisi parce que ce sont des personnes qui peuvent le faire et ils peuvent mettre en avant cette complicité et ce feeling sur scène. "