Béziers, France | AFP | vendredi 09/04/2021 - Le compagnon d'une femme disparue depuis des semaines et retrouvée mercredi sous une dalle du domicile conjugal à Bédarieux (Hérault) a été mis en examen et écroué vendredi pour "meurtre aggravé" car commis sur un conjoint, a indiqué le procureur de Béziers.
Le corps retrouvé a été identifié comme étant celui d'Aurélie Vaquier grâce à plusieurs éléments, notamment "plusieurs tatouages dont un qui portait le nom d’un ancien chat" de la jeune femme, a précisé Raphaël Balland lors d'une conférence de presse, précisant que des analyses génétiques devaient encore être menées.
Dans le "vaste logement" du couple, situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble et comprenant une "surface de travaux", les enquêteurs venus mener une nouvelle perquisition approfondie sur ordre du juge d'instruction tentant d'éclaircir la disparition ont été "intrigués" mercredi par une "petite estrade en pierre et en bois" recouverte de cartons et d'objets, a poursuivi le procureur.
Au-dessous de cette estrade, un sarcophage bétonné a été percé, provoquant une forte réaction des chiens de recherche.
Les techniciens en investigation ont ensuite procédé à l'extraction du cadavre d'une femme.
Âgé de 39 ans, en cours de divorce et père de deux enfants, le compagnon d'Aurélie, qui vivait dans les lieux, a déclaré tout au long de sa garde à vue "qu'il n'y est pour rien" affirmant que la femme de 38 ans a été "tuée par une autre personne", a relaté le procureur.
Venu de l'Ain à l'été 2020, il avait alors rencontré Aurélie Vaquier avec qui il avait emménagé à Bédarieux, une commune de quelque 6.000 habitants du Haut-Languedoc, en novembre dernier.
Le corps retrouvé a été identifié comme étant celui d'Aurélie Vaquier grâce à plusieurs éléments, notamment "plusieurs tatouages dont un qui portait le nom d’un ancien chat" de la jeune femme, a précisé Raphaël Balland lors d'une conférence de presse, précisant que des analyses génétiques devaient encore être menées.
Dans le "vaste logement" du couple, situé au rez-de-chaussée d'un petit immeuble et comprenant une "surface de travaux", les enquêteurs venus mener une nouvelle perquisition approfondie sur ordre du juge d'instruction tentant d'éclaircir la disparition ont été "intrigués" mercredi par une "petite estrade en pierre et en bois" recouverte de cartons et d'objets, a poursuivi le procureur.
Au-dessous de cette estrade, un sarcophage bétonné a été percé, provoquant une forte réaction des chiens de recherche.
Les techniciens en investigation ont ensuite procédé à l'extraction du cadavre d'une femme.
Âgé de 39 ans, en cours de divorce et père de deux enfants, le compagnon d'Aurélie, qui vivait dans les lieux, a déclaré tout au long de sa garde à vue "qu'il n'y est pour rien" affirmant que la femme de 38 ans a été "tuée par une autre personne", a relaté le procureur.
Venu de l'Ain à l'été 2020, il avait alors rencontré Aurélie Vaquier avec qui il avait emménagé à Bédarieux, une commune de quelque 6.000 habitants du Haut-Languedoc, en novembre dernier.