Dans les "stands" de chaque équipe les techniciens s'activent sur la programmation et la vérification des fonctions de leur robot.
PIRAE, le 21 mai 2015. Près de 250 collégiens venus des établissements de Papara, Paea et Taaone s'affrontaient ce jeudi dans les locaux de la direction générale de l'éducation et des enseignements (DGEE) lors de la coupe de robotique. 46 petits robots conçus, construits et programmés par des collégiens étaient en compétition.
Certains de ces petits engins ont été baptisés par leurs concepteurs, on a ainsi pu découvrir les prouesses de Mammouth ou celles de Tobby. D'autres apparaissaient sous des noms de code plus ou moins évidents. Tous ces petits robots ont été entièrement imaginés, conçus, construits et programmés par des collégiens pendant leurs cours de technologie ou bien au sein de leurs clubs de robotique respectifs. Derrière les manettes, des collégiens de 6e à la 3e qui se sont pris au jeu de devenir des ingénieurs aboutis.
Pour départager les créations des jeunes collégiens, les robots se sont affrontés dans diverses épreuves : au menu extinction d'une flamme de bougie, ramassage de déchets, parcours dans un labyrinthe et combat au corps à corps. Entre chaque épreuve, les équipes de collégiens devaient reconfigurer leur robot et le reprogrammer pour la tâche demandée. "Le problème avec la robotique c'est que ce n'est jamais gagné d'avance" constate avec philosophie Jérôme Maumet, enseignant en technologie à Papara. Les réglages de dernière minute sont fréquents, les ajustements de programmation à faire à main levée, dans l'urgence. "C'est un défi assez complexe. Sur les six collèges engagés au départ dans cette coupe, trois seulement sont allés jusqu'au bout".
Au moment de s'engager sur la piste pour les épreuves, les équipes se concentrent et comptent sur les capacités de leurs champions. S'il y a eu quelques désillusions, quelques pannes malencontreuses, quelques défauts de conception, le plus important pour ces collégiens a été d'aller jusqu'au bout de leurs possibilités, d'apprendre à travailler en équipe et s'initier à la robotique, l'air de rien. Au final, ce sont trois équipes de Papara qui s'imposent : Papara vert, Papara rose et Papara rouge ont été les plus constants dans l'effort.
Certains de ces petits engins ont été baptisés par leurs concepteurs, on a ainsi pu découvrir les prouesses de Mammouth ou celles de Tobby. D'autres apparaissaient sous des noms de code plus ou moins évidents. Tous ces petits robots ont été entièrement imaginés, conçus, construits et programmés par des collégiens pendant leurs cours de technologie ou bien au sein de leurs clubs de robotique respectifs. Derrière les manettes, des collégiens de 6e à la 3e qui se sont pris au jeu de devenir des ingénieurs aboutis.
Pour départager les créations des jeunes collégiens, les robots se sont affrontés dans diverses épreuves : au menu extinction d'une flamme de bougie, ramassage de déchets, parcours dans un labyrinthe et combat au corps à corps. Entre chaque épreuve, les équipes de collégiens devaient reconfigurer leur robot et le reprogrammer pour la tâche demandée. "Le problème avec la robotique c'est que ce n'est jamais gagné d'avance" constate avec philosophie Jérôme Maumet, enseignant en technologie à Papara. Les réglages de dernière minute sont fréquents, les ajustements de programmation à faire à main levée, dans l'urgence. "C'est un défi assez complexe. Sur les six collèges engagés au départ dans cette coupe, trois seulement sont allés jusqu'au bout".
Au moment de s'engager sur la piste pour les épreuves, les équipes se concentrent et comptent sur les capacités de leurs champions. S'il y a eu quelques désillusions, quelques pannes malencontreuses, quelques défauts de conception, le plus important pour ces collégiens a été d'aller jusqu'au bout de leurs possibilités, d'apprendre à travailler en équipe et s'initier à la robotique, l'air de rien. Au final, ce sont trois équipes de Papara qui s'imposent : Papara vert, Papara rose et Papara rouge ont été les plus constants dans l'effort.