PAPARA, lundi 13 janvier 2014. Le jeudi 9 janvier 2014 à 21h20, au PK 29,5 à Papara, un homme de 24 ans était renversé par un véhicule. La victime était découverte sur le bas côté de la route avec une blessure importante aux membres inférieurs (jambes brisées avec 60 jours d'ITT). Il a fallu à la patrouille de Papara le temps d’obtenir des renseignements pour finalement retrouver la voiture et les deux personnes qui l’occupaient au moment des faits.
Les deux hommes âgés de 28 et 64 ans étaient tous les deux sous l’emprise d’une alcoolémie délictuelle de 0,69 mg/l et 0,80 mg/l et tous deux niaient à l'origine de l'enquête avoir été le conducteur au moment de l'accident. Un technicien en identification criminelle est donc venu apporter son concours à l'enquête.
Finalement, le vendredi 10 janvier, au cours de la matinée l'homme de 64 ans reconnaît avoir conduit la voiture au moment de l'accident. Il conduisait, en plus de son alcoolémie importante, avec une annulation judiciaire du permis de conduire. Dès le vendredi 10 janvier, il a donc été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Nuutania.
Le chauffard sexagénaire y restera encore au moins jusqu’à son procès dont la date a été décidée, ce lundi, pour le 17 février prochain, le temps que l’avocat commis d’office ait le temps de préparer la défense de son client.
Les deux hommes âgés de 28 et 64 ans étaient tous les deux sous l’emprise d’une alcoolémie délictuelle de 0,69 mg/l et 0,80 mg/l et tous deux niaient à l'origine de l'enquête avoir été le conducteur au moment de l'accident. Un technicien en identification criminelle est donc venu apporter son concours à l'enquête.
Finalement, le vendredi 10 janvier, au cours de la matinée l'homme de 64 ans reconnaît avoir conduit la voiture au moment de l'accident. Il conduisait, en plus de son alcoolémie importante, avec une annulation judiciaire du permis de conduire. Dès le vendredi 10 janvier, il a donc été placé en détention provisoire à la maison d'arrêt de Nuutania.
Le chauffard sexagénaire y restera encore au moins jusqu’à son procès dont la date a été décidée, ce lundi, pour le 17 février prochain, le temps que l’avocat commis d’office ait le temps de préparer la défense de son client.