PIRAE, mardi 8 octobre 2013. Les grévistes du syndicat O Oe To Oe Rima ont montré ce mardi leur mobilisation et leur fermeté devant le Centre hospitalier de Polynésie française. Le barrage filtrant installé dès ce matin est resté en place toute la journée et pourrait reprendre demain matin si rien ne vient répondre aux revendications de ces agents hospitaliers qui réclament la fin des emplois précaires au Taaone.
Ils étaient une centaine de grévistes aujourd'hui à tenir ce barrage autour de l'établissement qui a fortement handicapé l'activité et la fréquentation de l'hôpital même si les urgences, les ambulances ont pu accéder au CHPF. Une première rencontre avec la direction a eu lieu cet après-midi mais les revendications posées par le syndicat sont de compétences gouvernementales. A savoir l'intégration dans la fonction publique des agents qui ont enchaîné des CDD à répétition depuis des années, sans passer par la case concours. Une rencontre est prévue ce mardi soir à 20h30 avec la ministre de la santé Béatrice Chansin.
Pour le syndicat il n'y a rien de plus à exposer que le mois dernier. La situation de ces salariés précaires au CHPF (certains depuis dix ans) a déjà été présentée aux autorités lors du précédent mouvement de grève en septembre dernier sur les mêmes revendications. "Tout a déjà été dit en septembre" reconnaît le délégué syndical O Oe To Oe Rima de l’hôpital. "De toute façon si on n'a pas de réponse on va continuer à bloquer l'hôpital".
Ils étaient une centaine de grévistes aujourd'hui à tenir ce barrage autour de l'établissement qui a fortement handicapé l'activité et la fréquentation de l'hôpital même si les urgences, les ambulances ont pu accéder au CHPF. Une première rencontre avec la direction a eu lieu cet après-midi mais les revendications posées par le syndicat sont de compétences gouvernementales. A savoir l'intégration dans la fonction publique des agents qui ont enchaîné des CDD à répétition depuis des années, sans passer par la case concours. Une rencontre est prévue ce mardi soir à 20h30 avec la ministre de la santé Béatrice Chansin.
Pour le syndicat il n'y a rien de plus à exposer que le mois dernier. La situation de ces salariés précaires au CHPF (certains depuis dix ans) a déjà été présentée aux autorités lors du précédent mouvement de grève en septembre dernier sur les mêmes revendications. "Tout a déjà été dit en septembre" reconnaît le délégué syndical O Oe To Oe Rima de l’hôpital. "De toute façon si on n'a pas de réponse on va continuer à bloquer l'hôpital".