Après l’instabilité politique, place à l’instabilité institutionnelle !
Le vote de la loi Penchard dans le contexte actuel garantit à l’UPLD de gouverner jusqu’en 2013. L’adoption de cette loi devait rassurer les investisseurs et participer à la reprise économique à un moment où l’emploi local se fait rare. En somme, permettre le retour à stabilité politique.
Mais voilà que cet obstacle surmonté, l’actuelle majorité choisit de créer une instabilité institutionnelle en demandant la réinscription de la Polynésie française sur « la liste des pays à décoloniser ». Il n’est un secret pour personne, que cette inscription est considérée comme le préalable à l’accession à l’indépendance de notre pays.
"La priorité donnée à ce projet, atteste du décalage de réalité existant entre certains élus et le peuple qui aspire avant toute chose à satisfaire ses besoins fondamentaux tels que la nourriture, le logement et l’emploi.
Si le Président TEMARU insiste pour inscrire la Polynésie française sur « la liste des pays à décoloniser », il devrait d’abord « rendre la parole au peuple » à travers un référendum local.
En 2008, les électeurs polynésiens n’ont pas donné mandat aux élus de changer le cap institutionnel. Jeudi prochain, les représentants à l’assemblée de la Polynésie française n’ont donc aucune légitimité à voter la résolution en faveur de l’inscription de la Polynésie française sur « la liste des Pays à décoloniser ».
Te Mana Toa votera contre cette confiscation de la Démocratie !"
Le vote de la loi Penchard dans le contexte actuel garantit à l’UPLD de gouverner jusqu’en 2013. L’adoption de cette loi devait rassurer les investisseurs et participer à la reprise économique à un moment où l’emploi local se fait rare. En somme, permettre le retour à stabilité politique.
Mais voilà que cet obstacle surmonté, l’actuelle majorité choisit de créer une instabilité institutionnelle en demandant la réinscription de la Polynésie française sur « la liste des pays à décoloniser ». Il n’est un secret pour personne, que cette inscription est considérée comme le préalable à l’accession à l’indépendance de notre pays.
"La priorité donnée à ce projet, atteste du décalage de réalité existant entre certains élus et le peuple qui aspire avant toute chose à satisfaire ses besoins fondamentaux tels que la nourriture, le logement et l’emploi.
Si le Président TEMARU insiste pour inscrire la Polynésie française sur « la liste des pays à décoloniser », il devrait d’abord « rendre la parole au peuple » à travers un référendum local.
En 2008, les électeurs polynésiens n’ont pas donné mandat aux élus de changer le cap institutionnel. Jeudi prochain, les représentants à l’assemblée de la Polynésie française n’ont donc aucune légitimité à voter la résolution en faveur de l’inscription de la Polynésie française sur « la liste des Pays à décoloniser ».
Te Mana Toa votera contre cette confiscation de la Démocratie !"