PAPEETE, le 17 novembre 2015. C’est avec indignation et consternation que le président du Taatira No Te Hau, Charles Fong Loi, son comité exécutif, son conseil fédéral et ses membres ont appris l’attentat terroriste ce vendredi 13 novembre qui a frappé Paris et a ôté la vie à d’innombrables victimes innocentes, faisant plusieurs blessés graves dont certains se trouvent encore, aujourd’hui, entre la vie et la mort.
Le Président du Taatiraa No Te Hau tient à condamner avec la plus fermeté ces odieux attentats et tueries aveugles et insensées.
Cette terrible tragédie ne touche pas seulement la France, mais toutes les nations qui sont unies autour des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. La fraternité humaine est mise à l’épreuve par de tels actes guidés par le mal. Il est nécessaire de se tenir unis dans une épreuve de cette ampleur. Aucune foi religieuse, aucune idéologie ou position politique ne justifie la mort de victimes innocentes.
En cette douloureuse circonstance, le président du Taatiraa No te Hau et l’ensemble de son parti adressent leurs condoléances les plus attristées aux familles françaises qui pleurent un père, une mère, un frère, une sœur, un ami, un voisin ou un inconnu, et souhaite un prompt rétablissement aux nombreux blessées. Ils leur témoignent leur solidarité et leur compassion.
Le Président
Charles FONG LOI
Le Président du Taatiraa No Te Hau tient à condamner avec la plus fermeté ces odieux attentats et tueries aveugles et insensées.
Cette terrible tragédie ne touche pas seulement la France, mais toutes les nations qui sont unies autour des valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité. La fraternité humaine est mise à l’épreuve par de tels actes guidés par le mal. Il est nécessaire de se tenir unis dans une épreuve de cette ampleur. Aucune foi religieuse, aucune idéologie ou position politique ne justifie la mort de victimes innocentes.
En cette douloureuse circonstance, le président du Taatiraa No te Hau et l’ensemble de son parti adressent leurs condoléances les plus attristées aux familles françaises qui pleurent un père, une mère, un frère, une sœur, un ami, un voisin ou un inconnu, et souhaite un prompt rétablissement aux nombreux blessées. Ils leur témoignent leur solidarité et leur compassion.
Le Président
Charles FONG LOI