La lettre des employeurs donne cette semaine la parole au SIPOF, le Syndicat des industriels de Polynésie française (SIPOF). Le syndicat y appelle la population au patriotisme économie : "le soutien à l'inscription de notre production locale sur la liste des points à soutenir par les instances politiques est une priorité", affirment Francis Guébel et Yoann Lamisse, co-présidents du SIPOF.
"Produisons local. Achetons local. Consommons local" martèle le SIPOF, qui appelle à une "alliance patriotique soutenue par l'ensemble des partenaires économiques et sociaux". Et d'ajouter : "C'est l'alliance de l'industrie, du commerce, des services et des métiers, de l'enseignement, des syndicats et des pouvoirs publics, qui seule permettra de nous redresser économiquement et socialement".
Le SIPOF appelle le gouvernement à ne pas oublier le soutien à la production locale dans les réformes engagées pour rationaliser l’administration et l’action publique.
"Il est grand temps de passer d'une gouvernance politique à une gouvernance économique", conclut le SIPOF. "Chacun de nous, pour son avenir et celui de ses enfants, doit s’efforcer de penser, en permanence, au profit de l’économie polynésienne dans chacun de ses actes. Il est donc nécessaire de préserver l’emploi pour conserver le pouvoir d’achat".
"Produisons local. Achetons local. Consommons local" martèle le SIPOF, qui appelle à une "alliance patriotique soutenue par l'ensemble des partenaires économiques et sociaux". Et d'ajouter : "C'est l'alliance de l'industrie, du commerce, des services et des métiers, de l'enseignement, des syndicats et des pouvoirs publics, qui seule permettra de nous redresser économiquement et socialement".
Le SIPOF appelle le gouvernement à ne pas oublier le soutien à la production locale dans les réformes engagées pour rationaliser l’administration et l’action publique.
"Il est grand temps de passer d'une gouvernance politique à une gouvernance économique", conclut le SIPOF. "Chacun de nous, pour son avenir et celui de ses enfants, doit s’efforcer de penser, en permanence, au profit de l’économie polynésienne dans chacun de ses actes. Il est donc nécessaire de préserver l’emploi pour conserver le pouvoir d’achat".