(FB Royal Bora Bora)
Papeete, le 27 septembre 2019 – Troisième hôtel du groupe de Christina Teihotaata après le Royal Tahitien et le Royal Huahine, le Royal Bora Bora a été inauguré samedi pour une ouverture au 1er octobre. Un établissement trois étoiles pour une offre qui n’est « pas forcément présente » sur la Perle du Pacifique.
Le Royal Bora Bora a été inauguré samedi à Nunue sur la Perle du Pacifique, pour une ouverture au public prévue le 1er octobre. L’ancien Novotel, racheté en 2017 par le groupe de Christina Teihotaata, la fille de l’homme d’affaires Dominique Auroy, déjà propriétaire du Royal Huahine et du Royal Tahitien, a été remis à neuf et proposera 40 unités lors de son ouverture, avec une capacité finale de 80 chambres qui pourront être commercialisées en début d’année prochaine. L’hôtel va employer 30 salariés lors de son ouverture, avant d’autres embauches prévues avec l’élargissement de l’offre en chambres.
« Il va amener une offre trois étoiles qui n’est pas forcément présente sur Bora Bora », explique la présidente de la société, Christina Teihotaata. L’objectif étant de se positionner dans un créneau, aujourd’hui encore peu fourni, d’hôtels d’une gamme intermédiaire entre les pensions de famille et les établissements de luxe de l’île. « On a voulu faire des hôtels plus authentiques, plus proches des Polynésiens dans le concept, la décoration, l’accueil, la restauration et aussi et surtout dans la musique qui est très présente chez nous ».
Le Royal Bora Bora a été inauguré samedi à Nunue sur la Perle du Pacifique, pour une ouverture au public prévue le 1er octobre. L’ancien Novotel, racheté en 2017 par le groupe de Christina Teihotaata, la fille de l’homme d’affaires Dominique Auroy, déjà propriétaire du Royal Huahine et du Royal Tahitien, a été remis à neuf et proposera 40 unités lors de son ouverture, avec une capacité finale de 80 chambres qui pourront être commercialisées en début d’année prochaine. L’hôtel va employer 30 salariés lors de son ouverture, avant d’autres embauches prévues avec l’élargissement de l’offre en chambres.
« Il va amener une offre trois étoiles qui n’est pas forcément présente sur Bora Bora », explique la présidente de la société, Christina Teihotaata. L’objectif étant de se positionner dans un créneau, aujourd’hui encore peu fourni, d’hôtels d’une gamme intermédiaire entre les pensions de famille et les établissements de luxe de l’île. « On a voulu faire des hôtels plus authentiques, plus proches des Polynésiens dans le concept, la décoration, l’accueil, la restauration et aussi et surtout dans la musique qui est très présente chez nous ».
Une forte demande, même à Tahiti
(FB Royal Bora Bora)
Avec ce troisième hôtel, le groupe est désormais implanté aux Raromatai et à Tahiti. Il prévoit toujours un projet hôtelier à Fakarava, mais avant cela l’année 2020 devrait voir l’agrandissement du Royal Tahitien. « Il y a une très forte demande sur Tahiti. On le voit dès qu’il y a une panne d’avion, on manque de chambres. Donc il y a la possibilité d’agrandir le nombre de chambres sur les hôtels de Tahiti », explique Christina Teihotaata.
La gérante du groupe confirme l’embellie dans le tourisme en Polynésie ces dernières années, principalement lié, selon elle, à « l’arrivée des nouvelles compagnies aériennes ». En juillet dernier, la fréquentation atteignait 225 580 touristes cumulés sur une année au fenua. Un chiffre qui n’a pas été atteint depuis le début des années 2000.
La gérante du groupe confirme l’embellie dans le tourisme en Polynésie ces dernières années, principalement lié, selon elle, à « l’arrivée des nouvelles compagnies aériennes ». En juillet dernier, la fréquentation atteignait 225 580 touristes cumulés sur une année au fenua. Un chiffre qui n’a pas été atteint depuis le début des années 2000.
Christina Teihotaata, présidente de la société Royal Bora Bora
(FB Commune de Bora Bora)
Que va apporter le Royal Bora Bora à l’offre hôtelière déjà florissante sur la Perle du Pacifique ?
« Il va amener une offre trois étoiles qui n’est pas forcément présente sur Bora Bora. Tout le monde n’a pas forcément les moyens d’aller en quatre, cinq ou six étoiles ou n’a pas envie d’aller en pension. C’est un créneau où on a dès le début voulu se positionner. On n’a pas cherché à faire de l’hôtellerie de luxe. On a voulu faire des hôtels plus authentiques, plus proches des Polynésiens dans le concept, la décoration, l’accueil, la restauration et aussi et surtout dans la musique qui est très présente chez nous. C’est le positionnement qu’on cherche à avoir. Et on se rend compte qu’il y a un manque sur ce secteur là aujourd’hui. »
Vous êtes aujourd’hui à la tête de trois hôtels à Bora Bora, Huahine et Papeete, avec un projet à Fakarava. Le secteur du tourisme se porte bien ?
« De notre côté, on s’est lancé dans l’hôtellerie en 2012 parce que c’est un projet qui m’a toujours tenu à cœur. C’est un métier que j’ai connu il y a 25 ans et j’ai voulu retourner à mes premiers amours. J’ai toujours cru dans le tourisme en Polynésie et quand on a démarré, le secteur n’était pas aussi florissant qu’aujourd’hui. On est content de voir que le tourisme repart avec toutes les compagnies aériennes qui desservent notre pays aujourd’hui, mais au départ c’était davantage un projet personnel qu’une opportunité à saisir sur le marché touristique. On l’a vraiment fait par amour de la Polynésie »
Vous constatez donc bien une embellie du tourisme au fenua ?
« Oui, il y a une vraie embellie. L’arrivée des nouvelles compagnies aide à faire repartir le tourisme polynésien. »
Vous prévoyez également d’agrandir le Royal Tahitien l’an prochain, cela signifie qu’il y a aussi de la demande à Tahiti ?
« Il y a une très forte demande sur Tahiti. On le voit dès qu’il y a une panne d’avion, on manque de chambres. Donc il y a la possibilité d’agrandir le nombre de chambre sur les hôtels de Tahiti. »
« Il va amener une offre trois étoiles qui n’est pas forcément présente sur Bora Bora. Tout le monde n’a pas forcément les moyens d’aller en quatre, cinq ou six étoiles ou n’a pas envie d’aller en pension. C’est un créneau où on a dès le début voulu se positionner. On n’a pas cherché à faire de l’hôtellerie de luxe. On a voulu faire des hôtels plus authentiques, plus proches des Polynésiens dans le concept, la décoration, l’accueil, la restauration et aussi et surtout dans la musique qui est très présente chez nous. C’est le positionnement qu’on cherche à avoir. Et on se rend compte qu’il y a un manque sur ce secteur là aujourd’hui. »
Vous êtes aujourd’hui à la tête de trois hôtels à Bora Bora, Huahine et Papeete, avec un projet à Fakarava. Le secteur du tourisme se porte bien ?
« De notre côté, on s’est lancé dans l’hôtellerie en 2012 parce que c’est un projet qui m’a toujours tenu à cœur. C’est un métier que j’ai connu il y a 25 ans et j’ai voulu retourner à mes premiers amours. J’ai toujours cru dans le tourisme en Polynésie et quand on a démarré, le secteur n’était pas aussi florissant qu’aujourd’hui. On est content de voir que le tourisme repart avec toutes les compagnies aériennes qui desservent notre pays aujourd’hui, mais au départ c’était davantage un projet personnel qu’une opportunité à saisir sur le marché touristique. On l’a vraiment fait par amour de la Polynésie »
Vous constatez donc bien une embellie du tourisme au fenua ?
« Oui, il y a une vraie embellie. L’arrivée des nouvelles compagnies aide à faire repartir le tourisme polynésien. »
Vous prévoyez également d’agrandir le Royal Tahitien l’an prochain, cela signifie qu’il y a aussi de la demande à Tahiti ?
« Il y a une très forte demande sur Tahiti. On le voit dès qu’il y a une panne d’avion, on manque de chambres. Donc il y a la possibilité d’agrandir le nombre de chambre sur les hôtels de Tahiti. »