Paris, le 15 avril 2025 - Deux producteurs de rhum polynésien, Mana’o et Manutea, étaient présents au RhumFest qui s’est tenu ce week-end à Paris.
Après le Salon de l’agriculture fin février où le rhum polynésien était bien présent, certains de nos producteurs sont revenus ce week-end à Paris pour défier les rhums du monde entier au salon dédié à leur breuvage : le RhumFest, qui se tenait du côté du bois de Vincennes, au Parc floral de Paris.
Le RhumFest est devenu l’un des points de rencontre du monde du rhum à Paris. Là, l’ambiance y est plutôt bruyante, festive et, disons-le, majoritairement très virile ! Si la dégustation est au premier plan des activités des visiteurs, l’échange entre professionnels de la filière n’est cependant pas absent. D’autant que de nombreuses marques de rhum sont gérées par des distributeurs eux-mêmes en contact avec les secteurs de l’hôtellerie, des bars, restaurants, bistrots ou boîtes de nuit, grandes surfaces, etc.
La Polynésie française est donc venue faire briller ses pépites en bouteille avec la participation des rhums Mana’o et Manutea. Difficile d’approcher les stands : c’est signe que Tahiti intéresse et surtout intrigue. Notre production très originale sous de nombreux aspects (canne, terroirs, variété de produits) fait son petit chemin dans ce monde rhumier, plutôt situé au-dessus de l’Équateur.
Cependant, le RhumFest n’échappe pas à la tendance : Philippe Jugé, qui distribue Mana’o, constate que cette année, il y a moins de stands et moins de public. C’est le lot actuel des salons et expositions commerciales qui deviennent financièrement inabordables pour bon nombre de candidats exposants.
Après le Salon de l’agriculture fin février où le rhum polynésien était bien présent, certains de nos producteurs sont revenus ce week-end à Paris pour défier les rhums du monde entier au salon dédié à leur breuvage : le RhumFest, qui se tenait du côté du bois de Vincennes, au Parc floral de Paris.
Le RhumFest est devenu l’un des points de rencontre du monde du rhum à Paris. Là, l’ambiance y est plutôt bruyante, festive et, disons-le, majoritairement très virile ! Si la dégustation est au premier plan des activités des visiteurs, l’échange entre professionnels de la filière n’est cependant pas absent. D’autant que de nombreuses marques de rhum sont gérées par des distributeurs eux-mêmes en contact avec les secteurs de l’hôtellerie, des bars, restaurants, bistrots ou boîtes de nuit, grandes surfaces, etc.
La Polynésie française est donc venue faire briller ses pépites en bouteille avec la participation des rhums Mana’o et Manutea. Difficile d’approcher les stands : c’est signe que Tahiti intéresse et surtout intrigue. Notre production très originale sous de nombreux aspects (canne, terroirs, variété de produits) fait son petit chemin dans ce monde rhumier, plutôt situé au-dessus de l’Équateur.
Cependant, le RhumFest n’échappe pas à la tendance : Philippe Jugé, qui distribue Mana’o, constate que cette année, il y a moins de stands et moins de public. C’est le lot actuel des salons et expositions commerciales qui deviennent financièrement inabordables pour bon nombre de candidats exposants.