PAPEETE, le 08 octobre 2014. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) Le Président Edouard Fritch et tout son gouvernement ont rencontré à 8h ce matin au cours d’une séance solennelle, l’ensemble des membres du Conseil Economique Social et Culturel.
Le Président a débuté son allocution en expliquant qu’il avait tenu à organiser cette rencontre inédite afin de marquer le respect du gouvernement de la Polynésie française pour les institutions du Pays, et en particulier pour le CESC qu’il a décrit comme « une émanation de notre autonomie ».
Edouard Fritch a également insisté sur le type de gouvernance qu’il souhaitait instaurer, basé sur la concertation et l’expérience collective de chacun des acteurs, économiques, sociaux et politiques de la Polynésie française, afin d’œuvrer ensemble dans l’intérêt général de la population : « Nous recherchons un dialogue et une concertation qui permettent le partage des informations et la confrontation des idées pour l’émergence et la prise de la meilleure décision possible ».
Le Président a aussi abordé la question du coût du travail, qui constitue aujourd'hui un réel frein à la compétitivité économique du Pays. Il a annoncé le lancement d’une réflexion en concertation avec la ministre du travail et les membres du CESC, sur la question de la cherté de la main d’œuvre et des différentes solutions envisageables, mais également plus généralement sur le code du travail ou encore la formation professionnelle.
Enfin, le Président a réitéré son souhait d’apporter plus de transparence dans la mise en œuvre des grands projets du Pays, et plus particulièrement pour le projet TahitiMahana Beach, avec la création prochaine d’un Comité de suivi du projet, qui réunira outre le président du CESC, des membres des groupes politiques présents à l’Assemblée de Polynésie française. Ce comité, qui n’aura aucun pouvoir de gestion, devrait permettre à tous de s’assurer que le projet se poursuit dans l’intérêt de la population polynésienne.
Cliquez ici pour lire l'Allocution d'Edouard Fritch à la séance solennelle du CESC (Conseil Economique, Social et Culturel)
Le Président a débuté son allocution en expliquant qu’il avait tenu à organiser cette rencontre inédite afin de marquer le respect du gouvernement de la Polynésie française pour les institutions du Pays, et en particulier pour le CESC qu’il a décrit comme « une émanation de notre autonomie ».
Edouard Fritch a également insisté sur le type de gouvernance qu’il souhaitait instaurer, basé sur la concertation et l’expérience collective de chacun des acteurs, économiques, sociaux et politiques de la Polynésie française, afin d’œuvrer ensemble dans l’intérêt général de la population : « Nous recherchons un dialogue et une concertation qui permettent le partage des informations et la confrontation des idées pour l’émergence et la prise de la meilleure décision possible ».
Le Président a aussi abordé la question du coût du travail, qui constitue aujourd'hui un réel frein à la compétitivité économique du Pays. Il a annoncé le lancement d’une réflexion en concertation avec la ministre du travail et les membres du CESC, sur la question de la cherté de la main d’œuvre et des différentes solutions envisageables, mais également plus généralement sur le code du travail ou encore la formation professionnelle.
Enfin, le Président a réitéré son souhait d’apporter plus de transparence dans la mise en œuvre des grands projets du Pays, et plus particulièrement pour le projet TahitiMahana Beach, avec la création prochaine d’un Comité de suivi du projet, qui réunira outre le président du CESC, des membres des groupes politiques présents à l’Assemblée de Polynésie française. Ce comité, qui n’aura aucun pouvoir de gestion, devrait permettre à tous de s’assurer que le projet se poursuit dans l’intérêt de la population polynésienne.
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